abus de biens publics: Saïdani écarté par Bouteflika
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abus de biens publics: Saïdani écarté par Bouteflika
Selon El Khabar Hebdo
Saïdani écarté par Bouteflika pour abus de biens publics
La non-candidature, pour un troisième mandat à ces élections législatives du 17 mai prochain, de Amar Saïdani, président de l’Assemblée populaire nationale, a suscité de moult interrogations. De même que son surprenant éloignement du cercle présidentiel. La surprise a été mal perçue par le président de l’APN, suite à sa non-configuration en tête de liste pour la wilaya d’El Oued, lors de l’annonce des listes du parti du Front de libération national pour les législatives. Ce dernier, le président de la Chambre basse, aurait suscité la colère et le mécontentement du président de la République, Abdelaziz Bouteflika suite à différents rapports, qui auraient impliqué l’ancien député de la wilaya d’El Oued. Selon une enquête publiée, avant-hier, par notre confrère arabophone El Khabar Hebdo, " les raisons de la colère du Président envers Saïdani seraient relatives à des dossiers qu’il aurait reçus sur des pratiques douteuses dont il(Saïdani) serait coupable ".
Il s’agirait, entre autres, d’une villa qu’il aurait acquise à Hydra, sur les hauteurs d’Alger, d’un montant de 26,5 milliards de centimes et une carrière à Hameur-El-Aïn, dans la wilaya de Tipaza, au moment où l’Algérie a vécu une pénurie et une crise de gravats ", précise l’hebdomadaire. Plus que cela, Saïdani aurait acquis une ferme, d’une grande superficie, à Bouchaoui, non loin du site touristique de Sidi Fredj. Après le transfert du dossier, la justice a décidé d’arrêter les travaux d’aménagements jusqu'à nouvel ordre. " Tout cela vient pour s’ajouter à la gestion de l’APN ", précise l’article qui cite des sources anonymes qui qualifient cette gestion de " catastrophique ". La preuve ? Une commission de la Cour des comptes est à pied d’œuvre pour examiner la comptabilité de l’Assemblée. Il aurait été constaté " qu’il se passe des choses anormales au sein de l’Assemblée ".
Parmi les griefs retenus contre le président du Parlement sortant, la même source a cité la pléthore des fonctionnaires, soit entre 800 à 900 travailleurs.
Et d’ajouter que Saïdani a mis à sa disposition plusieurs véhicules de service, entre 8 à 9 voitures, alors que certains députés en ont été privés, même dans le cadre du travail. La question qui se pose actuellement est de savoir à qui le tour après Saïdani… ?
Nabila Belbachir
Saïdani écarté par Bouteflika pour abus de biens publics
La non-candidature, pour un troisième mandat à ces élections législatives du 17 mai prochain, de Amar Saïdani, président de l’Assemblée populaire nationale, a suscité de moult interrogations. De même que son surprenant éloignement du cercle présidentiel. La surprise a été mal perçue par le président de l’APN, suite à sa non-configuration en tête de liste pour la wilaya d’El Oued, lors de l’annonce des listes du parti du Front de libération national pour les législatives. Ce dernier, le président de la Chambre basse, aurait suscité la colère et le mécontentement du président de la République, Abdelaziz Bouteflika suite à différents rapports, qui auraient impliqué l’ancien député de la wilaya d’El Oued. Selon une enquête publiée, avant-hier, par notre confrère arabophone El Khabar Hebdo, " les raisons de la colère du Président envers Saïdani seraient relatives à des dossiers qu’il aurait reçus sur des pratiques douteuses dont il(Saïdani) serait coupable ".
Il s’agirait, entre autres, d’une villa qu’il aurait acquise à Hydra, sur les hauteurs d’Alger, d’un montant de 26,5 milliards de centimes et une carrière à Hameur-El-Aïn, dans la wilaya de Tipaza, au moment où l’Algérie a vécu une pénurie et une crise de gravats ", précise l’hebdomadaire. Plus que cela, Saïdani aurait acquis une ferme, d’une grande superficie, à Bouchaoui, non loin du site touristique de Sidi Fredj. Après le transfert du dossier, la justice a décidé d’arrêter les travaux d’aménagements jusqu'à nouvel ordre. " Tout cela vient pour s’ajouter à la gestion de l’APN ", précise l’article qui cite des sources anonymes qui qualifient cette gestion de " catastrophique ". La preuve ? Une commission de la Cour des comptes est à pied d’œuvre pour examiner la comptabilité de l’Assemblée. Il aurait été constaté " qu’il se passe des choses anormales au sein de l’Assemblée ".
Parmi les griefs retenus contre le président du Parlement sortant, la même source a cité la pléthore des fonctionnaires, soit entre 800 à 900 travailleurs.
Et d’ajouter que Saïdani a mis à sa disposition plusieurs véhicules de service, entre 8 à 9 voitures, alors que certains députés en ont été privés, même dans le cadre du travail. La question qui se pose actuellement est de savoir à qui le tour après Saïdani… ?
Nabila Belbachir
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