En Algerie...!!!
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Re: En Algerie...!!!
une Algèrie pour le peuple
une Kabylie en PAYS comme le PAYS DE GALLES , ECOSSE .
UNE CATALOGNE LIBRE ET SURTOUT PLUS DE TOULON DES RIGOLOS !
WWW.MARC-SABATES.COM :-lol-: :-lol-: :-lol-: :-lol-: :-lol-: :-lol-:
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Re: En Algerie...!!!
Preuve que tu te fou de nous, je vais demander à ce qu'on te bannisse pour de bon le porto! :arrow:
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
NaSSiLyaH a écrit:Preuve que tu te fou de nous, je vais demander à ce qu'on te bannisse pour de bon le porto! :arrow:
Ya Bla sebates fais attention à Bakhta,quand elle se :enervé:.
ELYBAK_35- Nombre de messages : 761
Age : 52
Localisation : CANADA
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: En Algerie...!!!
ta vu il a posté son site sur toutes les pages du forum, c étonnant qu'on laisse faire :?:Rastacool a écrit:Nassilyah tefqe3 sans pitié :-) :-)
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
NaSSiLyaH a écrit:ta vu il a posté son site sur toutes les pages du forum, c étonnant qu'on laisse faire :?:Rastacool a écrit:Nassilyah tefqe3 sans pitié :-) :-)
Bahh c'est sabates, ceux qui peuvnt banir c'est les admins ...ils sont peut etre occupé !
Re: En Algerie...!!!
pour le moment je suis là, attend qu'il revienne :tongue:Rastacool a écrit:NaSSiLyaH a écrit:ta vu il a posté son site sur toutes les pages du forum, c étonnant qu'on laisse faire :?:Rastacool a écrit:Nassilyah tefqe3 sans pitié :-) :-)
Bahh c'est sabates, ceux qui peuvnt banir c'est les admins ...ils sont peut etre occupé !
ps: faudrait les prévenirs quand meme
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
NaSSiLyaH a écrit:pour le moment je suis là, attend qu'il revienne :tongue:Rastacool a écrit:Bahh c'est sabates, ceux qui peuvnt banir c'est les admins ...ils sont peut etre occupé !NaSSiLyaH a écrit:ta vu il a posté son site sur toutes les pages du forum, c étonnant qu'on laisse faire :?:Rastacool a écrit:Nassilyah tefqe3 sans pitié :-) :-)
ps: faudrait les prévenirs quand meme
balake il faut pas banire sabat non khati :(:
Dernière édition par *JOKER* le Jeu 29 Mai - 23:55, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
*JOKER* a écrit:
balake il faut banire sabat non khati :(:
Mazale anweketh chwya felasse aprés assensereh :-)
arrissou- Membre Actif
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Age : 30
Localisation : El houma ..
Date d'inscription : 09/11/2007
Re: En Algerie...!!!
arrissou a écrit:*JOKER* a écrit:
balake il faut banire sabat non khati :(:
Mazale anweketh chwya felasse aprés assensereh :-)
khati khati il faut juste lui signaler quelque truc c tout s'est quelqu'un de bien :wink:
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
*JOKER* a écrit:
khati khati il faut juste lui signaler quelque truc c tout s'est quelqu'un de bien :wink:
Ouii mais SEBATE inesse GABA is3a la friperie :-)
arrissou- Membre Actif
- Nombre de messages : 6781
Age : 30
Localisation : El houma ..
Date d'inscription : 09/11/2007
Re: En Algerie...!!!
Merci à la libertè d ' expression et aux administrateurs de ce super site .
Au revoir !
Marc Sabatés i Morisson
Fubol Club Barcelona 1899 //*// . :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: ADEU !
Au revoir !
Marc Sabatés i Morisson
Fubol Club Barcelona 1899 //*// . :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: ADEU !
Re: En Algerie...!!!
Tu Vas nous manquè :oops:
:mdr: :mdr: :mdr:
:mdr: :mdr: :mdr:
SIXONINE- Membre Actif
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Age : 36
Localisation : Camp Nou au 2ème étage
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: En Algerie...!!!
au revoir l'amis :bravo: Et vive le barça :wink:marc sabatés morisson a écrit:Merci à la libertè d ' expression et aux administrateurs de ce super site .
Au revoir !
Marc Sabatés i Morisson
Fubol Club Barcelona 1899 //*// . :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: ADEU !
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
*JOKER* a écrit:
au revoir l'amis :bravo: Et vive le barça :wink:
:-) :8-): :8-):
SIXONINE- Membre Actif
- Nombre de messages : 4309
Age : 36
Localisation : Camp Nou au 2ème étage
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: En Algerie...!!!
NaSSiLyaH a écrit:il est fou ce mec
Ahlillll sousem kan ! :-)
SIXONINE- Membre Actif
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Age : 36
Localisation : Camp Nou au 2ème étage
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: En Algerie...!!!
Bon oubliez ce sabatos portos, retour au sujet :arrow: essayé de nous postez des articles bien sbitar de notre cher tres cher pays :fuleur2:
Invité- Invité
Re: En Algerie...!!!
Attaque terroriste à Aït Toudert
Le tenancier d’un bar et son fils assassinés jeudi
Durant la nuit de jeudi à vendredi, le tenancier d’un bar (débit de boissons clandestin) et son fils ont été froidement assassinés par des terroristes. Les victimes, K. Salem (53 ans) et son fils Abdellah (30 ans) géraient ce bar dans la commune d’Aït Toudert non loin du siège de l’APC.
C’est au moment de la fermeture, aux environs de 22 h que le groupe terroriste composé de près de 20 éléments armés de kalachinkovs, a fait irruption dans les lieux presque évacués par les clients. Les terroristes ont demandé la somme de 5 millions de dinars au gérant du bar afin de l’épargner. Un échange verbal et une négociation serrée eurent lieu entre les terroristes et le tenancier.
Ce dernier a résisté et opposé un niet catégorique à la demande des terroristes. Refusant de céder, s’en est suivie une altercation verbale : les terroristes tirent des coups de sommation pour enfin abattre froidement le patron et son fils.
Ces derniers, selon une source sûre n’étaient pas armés. Après avoir accompli leur forfait, le groupe terroriste a pris la direction de la forêt avoisinante et s’est volatilisé dans la nature.
La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans toute la région, plongée dans l’émoi total.
Ce n’est que quelques heures plus tard, que les forces de sécurité installées à Ouacifs-Centre et dans toute la localité, furent alertées. Ce groupe de terroristes a déjà été signalé en pleine montagne du Djurdjura au lieu dit “Aswel”, où ils ont procédé il y a de cela quelques mois au saccage systématique de quelques gargotes de fortune installées sur les lieux par des jeunes chômeurs. Aussi, durant la semaine écoulée, un faux barrage a été dressé à Takhoukht sur le chemin menant aux Ouacifs. Cette mobilité avec une facilité déconcertante de ce groupe signalé à plusieurs surprise dans des endroits et terrains limitrophes à la commune d’Aït Toudert, fait craindre le pire dans les jours à venir en dépit de la présence de points de contrôle des forces de l’ANP, particulièrement à Takhoukht. Il faut dire que la localité de Ouacifs et ses environs, ainsi que le chemin de Takhoukht, ont connu une accalmie pendant plus de cinq ans, après le cauchemar des années 93 à 2000. Ce groupe écume les massifs forestiers de la région de Ouacif (Aït Toudert), qui donne accès en longeant le pied de la montagne du Djurdjura aux forêts de Boumhani à l’ouest et à Bouira du côté est.
C’est depuis l’élimination de Hamid Mouffok, originaire de Zaknoun, à Ouacifs-et qui a grandi à Alger-que ce tronçon a retrouvé quiétude et sérénité. Il était l’émir le plus dangereux de la wilaya de Tizi Ouzou mais à l’époque, Hamid Mouffok protégeait sa localité de tous les dépassements, c’était la tactique utilisée pour s’assurer une adoption. C’est en 2004, que les forces de sécurité ont réussi sa neutralisation à Ouacifs-Centre.
Depuis, les terroristes activant dans la région se sont déportés vers d’autres localités, ce n’est que ces derniers mois que ce groupe de retour et maintes fois signalé, vient de signer son premier forfait.
DDK
Le tenancier d’un bar et son fils assassinés jeudi
Durant la nuit de jeudi à vendredi, le tenancier d’un bar (débit de boissons clandestin) et son fils ont été froidement assassinés par des terroristes. Les victimes, K. Salem (53 ans) et son fils Abdellah (30 ans) géraient ce bar dans la commune d’Aït Toudert non loin du siège de l’APC.
C’est au moment de la fermeture, aux environs de 22 h que le groupe terroriste composé de près de 20 éléments armés de kalachinkovs, a fait irruption dans les lieux presque évacués par les clients. Les terroristes ont demandé la somme de 5 millions de dinars au gérant du bar afin de l’épargner. Un échange verbal et une négociation serrée eurent lieu entre les terroristes et le tenancier.
Ce dernier a résisté et opposé un niet catégorique à la demande des terroristes. Refusant de céder, s’en est suivie une altercation verbale : les terroristes tirent des coups de sommation pour enfin abattre froidement le patron et son fils.
Ces derniers, selon une source sûre n’étaient pas armés. Après avoir accompli leur forfait, le groupe terroriste a pris la direction de la forêt avoisinante et s’est volatilisé dans la nature.
La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans toute la région, plongée dans l’émoi total.
Ce n’est que quelques heures plus tard, que les forces de sécurité installées à Ouacifs-Centre et dans toute la localité, furent alertées. Ce groupe de terroristes a déjà été signalé en pleine montagne du Djurdjura au lieu dit “Aswel”, où ils ont procédé il y a de cela quelques mois au saccage systématique de quelques gargotes de fortune installées sur les lieux par des jeunes chômeurs. Aussi, durant la semaine écoulée, un faux barrage a été dressé à Takhoukht sur le chemin menant aux Ouacifs. Cette mobilité avec une facilité déconcertante de ce groupe signalé à plusieurs surprise dans des endroits et terrains limitrophes à la commune d’Aït Toudert, fait craindre le pire dans les jours à venir en dépit de la présence de points de contrôle des forces de l’ANP, particulièrement à Takhoukht. Il faut dire que la localité de Ouacifs et ses environs, ainsi que le chemin de Takhoukht, ont connu une accalmie pendant plus de cinq ans, après le cauchemar des années 93 à 2000. Ce groupe écume les massifs forestiers de la région de Ouacif (Aït Toudert), qui donne accès en longeant le pied de la montagne du Djurdjura aux forêts de Boumhani à l’ouest et à Bouira du côté est.
C’est depuis l’élimination de Hamid Mouffok, originaire de Zaknoun, à Ouacifs-et qui a grandi à Alger-que ce tronçon a retrouvé quiétude et sérénité. Il était l’émir le plus dangereux de la wilaya de Tizi Ouzou mais à l’époque, Hamid Mouffok protégeait sa localité de tous les dépassements, c’était la tactique utilisée pour s’assurer une adoption. C’est en 2004, que les forces de sécurité ont réussi sa neutralisation à Ouacifs-Centre.
Depuis, les terroristes activant dans la région se sont déportés vers d’autres localités, ce n’est que ces derniers mois que ce groupe de retour et maintes fois signalé, vient de signer son premier forfait.
DDK
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Re: En Algerie...!!!
De jeunes algériens découvrent le nouvel Eldorado
Ils veulent s’engager dans la Légion étrangère
Ils sont d’Alger, de Annaba, de Guelma, de Constantine, de Skikda, d’El Tarf, de Souk Ahras… à s’échanger l’adresse du site internet officiel de recrutement de la Légion étrangère. D’un simple clic, le rêve s’entame et s’installe dans les esprits à la lecture de l’offre présentée pour le recrutement dans ce corps militaire sans qu’aucune condition, hormis physique, ne soit exigée, y compris celle inhérente au niveau d’instruction. « Quelles que soient votre origine, votre religion, votre nationalité. Quels que soient vos diplômes et niveau scolaire.
Quelle que soit votre situation familiale ou professionnelle, la Légion étrangère vous offre une nouvelle chance pour une nouvelle vie », peuvent lire les jeunes Algériens sur le site d’accueil de la Légion étrangère. C’est la juste mesure d’autant plus qu’ils seront blanchis et nourris comme légionnaires, jusqu’au grade de caporal inclus, soit 2 à 4 ans. Pour eux, c’est un palliatif des risques que représente la tentative souvent périlleuse des harraga. Aucun obstacle donc à franchir si ce n’est celui du visa. Là encore, une facilité tacite est de mise. Il suffit de présenter un dossier dans lequel le candidat affiche l’ambition d’être sous le drapeau de la Légion française, être programmé au test, avoir plus de 17 ans et moins de 40 ans et un billet aller-retour (le retour est prévu en cas de non-admission) et le tour est joué. Muni d’un visa, les jeunes candidats iront subir les épreuves dans l’un des deux centres de présélection d’Aubagne ou de Paris. Pour « les chanceux », ils iront rejoindre l’un des onze régiments comptant globalement 7700 hommes engagés dans les rangs de la Légion étrangère et issus de 136 nationalités dont celles représentant les pays du Maghreb. Après formation selon la spécialité, les recrues seront affectées dans différents pays marqués par des conflits militaires tels le Kosovo, la République de Côte d’Ivoire, l’Indonésie, l’Afghanistan, la République de Centrafrique, le Liban, le Tchad ou Haïti avec un salaire de départ de 1043 euros. Les plus veinards assureront des missions intérieures telles que celles de Vigipirate, d’assistance aux populations sinistrées,etc. « J’ai été à Aubagne pour y subir le test de logique ne faisant appel à aucune connaissance scolaire, une visite médicale approfondie, des épreuves sportives, des entretiens de motivation et de sécurité ainsi que des tests de personnalité. Malheureusement, je n’étais pas concluant sur le plan physique, car je présentais une défaillance cardiaque que je viens de découvrir. Mon frère moins âgé que moi a, quant à lui, été retenu. Autant d’ailleurs que plusieurs Algériens et Marocains qui ont subi des épreuves concluantes. Ils sont plusieurs dizaines de jeunes candidats qui se disent être des diplômés, mais en chômage. D’ailleurs, je leur souhaite une bonne chance », avouera R. Mohamed, un jeune de 35 ans, habitant la cité populaire Didouche Mourad de Annaba. Cependant, leur mission n’est pas une sinécure. Les jeunes Algériens courent un risque mortel tant qu’ils auront à servir la France là où elle est présente, notamment dans ses anciennes colonies.
Elwatan
Ils veulent s’engager dans la Légion étrangère
Ils sont d’Alger, de Annaba, de Guelma, de Constantine, de Skikda, d’El Tarf, de Souk Ahras… à s’échanger l’adresse du site internet officiel de recrutement de la Légion étrangère. D’un simple clic, le rêve s’entame et s’installe dans les esprits à la lecture de l’offre présentée pour le recrutement dans ce corps militaire sans qu’aucune condition, hormis physique, ne soit exigée, y compris celle inhérente au niveau d’instruction. « Quelles que soient votre origine, votre religion, votre nationalité. Quels que soient vos diplômes et niveau scolaire.
Quelle que soit votre situation familiale ou professionnelle, la Légion étrangère vous offre une nouvelle chance pour une nouvelle vie », peuvent lire les jeunes Algériens sur le site d’accueil de la Légion étrangère. C’est la juste mesure d’autant plus qu’ils seront blanchis et nourris comme légionnaires, jusqu’au grade de caporal inclus, soit 2 à 4 ans. Pour eux, c’est un palliatif des risques que représente la tentative souvent périlleuse des harraga. Aucun obstacle donc à franchir si ce n’est celui du visa. Là encore, une facilité tacite est de mise. Il suffit de présenter un dossier dans lequel le candidat affiche l’ambition d’être sous le drapeau de la Légion française, être programmé au test, avoir plus de 17 ans et moins de 40 ans et un billet aller-retour (le retour est prévu en cas de non-admission) et le tour est joué. Muni d’un visa, les jeunes candidats iront subir les épreuves dans l’un des deux centres de présélection d’Aubagne ou de Paris. Pour « les chanceux », ils iront rejoindre l’un des onze régiments comptant globalement 7700 hommes engagés dans les rangs de la Légion étrangère et issus de 136 nationalités dont celles représentant les pays du Maghreb. Après formation selon la spécialité, les recrues seront affectées dans différents pays marqués par des conflits militaires tels le Kosovo, la République de Côte d’Ivoire, l’Indonésie, l’Afghanistan, la République de Centrafrique, le Liban, le Tchad ou Haïti avec un salaire de départ de 1043 euros. Les plus veinards assureront des missions intérieures telles que celles de Vigipirate, d’assistance aux populations sinistrées,etc. « J’ai été à Aubagne pour y subir le test de logique ne faisant appel à aucune connaissance scolaire, une visite médicale approfondie, des épreuves sportives, des entretiens de motivation et de sécurité ainsi que des tests de personnalité. Malheureusement, je n’étais pas concluant sur le plan physique, car je présentais une défaillance cardiaque que je viens de découvrir. Mon frère moins âgé que moi a, quant à lui, été retenu. Autant d’ailleurs que plusieurs Algériens et Marocains qui ont subi des épreuves concluantes. Ils sont plusieurs dizaines de jeunes candidats qui se disent être des diplômés, mais en chômage. D’ailleurs, je leur souhaite une bonne chance », avouera R. Mohamed, un jeune de 35 ans, habitant la cité populaire Didouche Mourad de Annaba. Cependant, leur mission n’est pas une sinécure. Les jeunes Algériens courent un risque mortel tant qu’ils auront à servir la France là où elle est présente, notamment dans ses anciennes colonies.
Elwatan
Voyageur- Nombre de messages : 448
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Date d'inscription : 27/12/2007
Re: En Algerie...!!!
Alors que les immigrés préfèrent le «bled»
Les riches se soignent les dents en Tunisie
Combien d’Algériens peuvent se targuer d’avoir une dentition parfaite? Au prix où sont les soins, seule une minorité peut se permettre d’aller chez le dentiste autant que nécessaire alors que, depuis quelques années, une certaine catégorie se rend en Tunisie pour se faire... des implants.
A un tarif situé entre 1.500 et 2.000 dinars la dent, soigner sa dentition n’est pas à la portée de tout le monde. Avec le pouvoir d’achat au plus bas, le revenu des ménages est absorbé en grande partie par la nourriture, les factures ménagères et le loyer. Toutes les études faites sur la structure des budgets des ménages ont démontré qu’une faible part est réservée aux soins médicaux de toutes sortes. Pour ce qui est des soins dentaires, la majorité ne se rend chez le dentiste qu’en cas d’urgence, une fois la rage de dent éclatée et parvenue aux limites de l’insupportable. A vrai dire, la personne malade ne consulte que lorsque la maladie bucco-dentaire atteint un stade avancé, à savoir l’infection ou le chevauchement, ce qui ne facilite pas la tâche au médecin spécialiste.
C’est que cette catégorie d’actes médicaux est rarement prise en charge par la CNAS, à l’instar de nombreux pays dont les systèmes de sécurité ne remboursent pas les soins dentaires, ni les prothèses inhérentes. Dans un cabinet dentaire à Alger-centre, une mère de famille, accompagnant sa fille de 13 ans, en parle. «Les soins sont chers et si on veut vraiment suivre ses enfants, il faut ne travailler que pour cela. Je me demande comment font ceux qui ont une famille nombreuse. Moi, je viens ici tous les six mois, comme il le faut, mais rien qu’une simple visite me coûte 700 dinars. C’est vraiment beaucoup!»
Le dentiste qui nous reçoit, brièvement, il faut le dire, car la clientèle est aussi nombreuse que pressée, nous donne un autre son de cloche. Diplômé de l’université de Paris, il exerce dans son cabinet algérois et fait le va-et-vient pour enseigner en France. «Effectivement, les tarifs sont chers et ils s’expliquent surtout par la cherté des produits et du matériel qui sont tous importés à 100%, jusqu’au dernier gant que nous sommes obligés de changer pour chaque patient.»
Passé son explication, notre praticien tente de relativiser les choses en affirmant connaître des gens qui viennent de l’étranger pour se soigner en Algérie. «Si, pour les nationaux, les tarifs sont chers, ils sont six fois moins chers pour les Algériens qui vivent en France ou ailleurs. Pas plus tard qu’il y a deux mois, j’ai soigné un Algérien qui vit au Canada et qui a attendu de venir ici pour passer chez un dentiste.
Il m’a dit qu’il a économisé l’équivalent de la moitié de son billet aller-retour, puisqu’une extraction de dent pour une urgence coûte jusqu’à 1.500 dollars canadiens!» Et d’ajouter: «Pour les émigrés en France, les choses sont claires: même lorsqu’ils sont inscrits à une mutuelle, se refaire toute la dentition en Algérie revient au moins deux fois moins cher». Le compte est bon: pour se refaire «une fausse dent», cela revient à 20.000 dinars en Algérie, pas moins de 900 euros en France!
Selon notre interlocuteur, il y aurait encore moins cher que les cabinets algériens. Un autre dentiste de ses connaissances, selon ses confidences, travaille avec des confrères tunisiens vers lesquels il oriente une certaine catégorie de ses clients. Cela arrive lorsqu’il est question de se faire des implants pour un travail d’une qualité irréprochable.
Contact pris avec ce dernier, il nous apprendra par téléphone que «les dentistes tunisiens ne font, en fait, qu’imiter une tendance née dans les pays de l’Est. Il s’agit de proposer des ‘séjours dentaires’ qui apportent une double satisfaction aux personnes qui veulent avoir une dentition parfaite sans se priver de leurs vacances annuelles». C’est ainsi que l’on apprendra que des séjours d’une semaine sont possibles, soins et tourisme compris, pour un montant maximum de 9.000 euros, soit un peu plus de dix millions de nos centimes.
Le marché tunisien, qui est déjà une destination très prisée pour les thalassothérapies et la chirurgie esthétique, a pu ramener ses prix à un niveau encore plus bas qu’en Europe et avec certainement de meilleures conditions qu’en Algérie. Car bien que notre pays forme pas moins de 1.000 diplômés en médecine et en chirurgie dentaire, les cliniques tunisiennes sont parvenues à un niveau où elles font partie d’un circuit international qui leur donne les moyens financiers pour proposer de hauts salaires à des compétences plus ou moins reconnues dans la profession. Les cliniques d’implantologie et leurs prestations sont mises en ligne sur Internet avec possibilité de réservation exactement comme le sont les destinations touristiques.
Il faut dire que dans les années 1980, beaucoup de dentistes tunisiens avaient été formés en Algérie. C’est maintenant chez notre voisin de l’Est que certains de nos dentistes vont apprendre à faire des implants...
Les riches se soignent les dents en Tunisie
Combien d’Algériens peuvent se targuer d’avoir une dentition parfaite? Au prix où sont les soins, seule une minorité peut se permettre d’aller chez le dentiste autant que nécessaire alors que, depuis quelques années, une certaine catégorie se rend en Tunisie pour se faire... des implants.
A un tarif situé entre 1.500 et 2.000 dinars la dent, soigner sa dentition n’est pas à la portée de tout le monde. Avec le pouvoir d’achat au plus bas, le revenu des ménages est absorbé en grande partie par la nourriture, les factures ménagères et le loyer. Toutes les études faites sur la structure des budgets des ménages ont démontré qu’une faible part est réservée aux soins médicaux de toutes sortes. Pour ce qui est des soins dentaires, la majorité ne se rend chez le dentiste qu’en cas d’urgence, une fois la rage de dent éclatée et parvenue aux limites de l’insupportable. A vrai dire, la personne malade ne consulte que lorsque la maladie bucco-dentaire atteint un stade avancé, à savoir l’infection ou le chevauchement, ce qui ne facilite pas la tâche au médecin spécialiste.
C’est que cette catégorie d’actes médicaux est rarement prise en charge par la CNAS, à l’instar de nombreux pays dont les systèmes de sécurité ne remboursent pas les soins dentaires, ni les prothèses inhérentes. Dans un cabinet dentaire à Alger-centre, une mère de famille, accompagnant sa fille de 13 ans, en parle. «Les soins sont chers et si on veut vraiment suivre ses enfants, il faut ne travailler que pour cela. Je me demande comment font ceux qui ont une famille nombreuse. Moi, je viens ici tous les six mois, comme il le faut, mais rien qu’une simple visite me coûte 700 dinars. C’est vraiment beaucoup!»
Le dentiste qui nous reçoit, brièvement, il faut le dire, car la clientèle est aussi nombreuse que pressée, nous donne un autre son de cloche. Diplômé de l’université de Paris, il exerce dans son cabinet algérois et fait le va-et-vient pour enseigner en France. «Effectivement, les tarifs sont chers et ils s’expliquent surtout par la cherté des produits et du matériel qui sont tous importés à 100%, jusqu’au dernier gant que nous sommes obligés de changer pour chaque patient.»
Passé son explication, notre praticien tente de relativiser les choses en affirmant connaître des gens qui viennent de l’étranger pour se soigner en Algérie. «Si, pour les nationaux, les tarifs sont chers, ils sont six fois moins chers pour les Algériens qui vivent en France ou ailleurs. Pas plus tard qu’il y a deux mois, j’ai soigné un Algérien qui vit au Canada et qui a attendu de venir ici pour passer chez un dentiste.
Il m’a dit qu’il a économisé l’équivalent de la moitié de son billet aller-retour, puisqu’une extraction de dent pour une urgence coûte jusqu’à 1.500 dollars canadiens!» Et d’ajouter: «Pour les émigrés en France, les choses sont claires: même lorsqu’ils sont inscrits à une mutuelle, se refaire toute la dentition en Algérie revient au moins deux fois moins cher». Le compte est bon: pour se refaire «une fausse dent», cela revient à 20.000 dinars en Algérie, pas moins de 900 euros en France!
Selon notre interlocuteur, il y aurait encore moins cher que les cabinets algériens. Un autre dentiste de ses connaissances, selon ses confidences, travaille avec des confrères tunisiens vers lesquels il oriente une certaine catégorie de ses clients. Cela arrive lorsqu’il est question de se faire des implants pour un travail d’une qualité irréprochable.
Contact pris avec ce dernier, il nous apprendra par téléphone que «les dentistes tunisiens ne font, en fait, qu’imiter une tendance née dans les pays de l’Est. Il s’agit de proposer des ‘séjours dentaires’ qui apportent une double satisfaction aux personnes qui veulent avoir une dentition parfaite sans se priver de leurs vacances annuelles». C’est ainsi que l’on apprendra que des séjours d’une semaine sont possibles, soins et tourisme compris, pour un montant maximum de 9.000 euros, soit un peu plus de dix millions de nos centimes.
Le marché tunisien, qui est déjà une destination très prisée pour les thalassothérapies et la chirurgie esthétique, a pu ramener ses prix à un niveau encore plus bas qu’en Europe et avec certainement de meilleures conditions qu’en Algérie. Car bien que notre pays forme pas moins de 1.000 diplômés en médecine et en chirurgie dentaire, les cliniques tunisiennes sont parvenues à un niveau où elles font partie d’un circuit international qui leur donne les moyens financiers pour proposer de hauts salaires à des compétences plus ou moins reconnues dans la profession. Les cliniques d’implantologie et leurs prestations sont mises en ligne sur Internet avec possibilité de réservation exactement comme le sont les destinations touristiques.
Il faut dire que dans les années 1980, beaucoup de dentistes tunisiens avaient été formés en Algérie. C’est maintenant chez notre voisin de l’Est que certains de nos dentistes vont apprendre à faire des implants...
Voyageur- Nombre de messages : 448
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Re: En Algerie...!!!
marc sabatés morisson a écrit:VIVE LA TUNISIE !
:nooon:
SIXONINE- Membre Actif
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