L'Internet en Algérie
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Re: L'Internet en Algérie
anisU a écrit:toujours pas de connection
meskin tu dit @ amine de t'envoyer kelk Méga octet de france via sms
Re: L'Internet en Algérie
nteren shabine l'eepad
BAG-06- Membre Actif
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Re: L'Internet en Algérie
Woleh Nentèr Mlih
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Re: L'Internet en Algérie
Ouled El Hamra a écrit:anisU a écrit:toujours pas de connection
meskin tu dit @ amine de t'envoyer kelk Méga octet de france via sms
oukssanegh
Re: L'Internet en Algérie
Bonne nouvelle pour les abonnées de l’EEPAD.
Normalement demain la connexion sera rétablie.
Normalement demain la connexion sera rétablie.
Re: L'Internet en Algérie
R@Y@N a écrit:Bonne nouvelle pour les abonnées de l’EEPAD.
Normalement demain la connexion sera rétablie.
imala atkhelsset mabrouk à omar
Re: L'Internet en Algérie
R@Y@N a écrit:wa3lach, ana howa BENHARZELLAH PDG de l'EEPAD.
non, mais c'est toi son client qui serra doublement heureux avec le rétablissement de la connexion
Re: L'Internet en Algérie
Oui c'est vrai, imala nkhelssek wahda Gazouz nefrançaOuled El Hamra a écrit:R@Y@N a écrit:wa3lach, ana howa BENHARZELLAH PDG de l'EEPAD.
non, mais c'est toi son client qui serra doublement heureux avec le rétablissement de la connexion
Re: L'Internet en Algérie
Tu peux toujours rèver Omar Mazel Din
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Re: L'Internet en Algérie
Algérie Télécom n'est pas intéressé par le rachat de l'Eepad
Près d'un mois après l'éclatement du conflit entre Algérie Télécom et Eeapad, aucune solution ne semble en vue. L'opérateur historique de télécommunication réclame toujours 3,5 milliards de dinars au provider privé. Cette somme correspond au montant de la dette détenue auprès de cette entreprise privée.
L'opérateur historique a rejeté l'offre du PDG du provider privé de prendre une participation dans son capital en échange de l'effacement de ces dettes. "L'offre de l'Eepad d'entrer dans son capital n'a pas été acceptée par le conseil d'administration d'Algérie Télécom qui a demandé davantage d'éléments économiques sur cette entreprise", a déclaré, lundi 28 septembre, à la radio chaîne III le PDG d'Algérie Télécom, Moussa Benhamadi.
Le patron de l'opérateur historique a affirmé que son entreprise réclame le paiement de ses dettes auprès de l'Eepad. Il a réfuté les accusation selon lesquelles Algérie Télécom cherche à faire disparaître l'Eepad. "Il y a deux échéanciers de paiement de cette dette qui n'ont pas été respectés par l'Eepad pour des raisons que nous ignorons", a dit M. Benhamadi.
Le PDG d'Algérie Télécom a expliqué que la concrétisation du plan gouvernement de développement des télécoms et technologies de l'information (TIC) baptisé e-2013 nécessite l'apport des providers et des opérateurs privés.
M. Benhamadi a également exprimé ses regrets aux 40.000 abonnés internet d'Eepad, dont la connexion est suspendue depuis plusieurs semaines, faute d'un accord entre les deux parties en conflit. M. Belhamadi n'a avancé aucun délai pour le règlement du conflit qu'il a qualifié de « purement commercial ».
Source TSA
Près d'un mois après l'éclatement du conflit entre Algérie Télécom et Eeapad, aucune solution ne semble en vue. L'opérateur historique de télécommunication réclame toujours 3,5 milliards de dinars au provider privé. Cette somme correspond au montant de la dette détenue auprès de cette entreprise privée.
L'opérateur historique a rejeté l'offre du PDG du provider privé de prendre une participation dans son capital en échange de l'effacement de ces dettes. "L'offre de l'Eepad d'entrer dans son capital n'a pas été acceptée par le conseil d'administration d'Algérie Télécom qui a demandé davantage d'éléments économiques sur cette entreprise", a déclaré, lundi 28 septembre, à la radio chaîne III le PDG d'Algérie Télécom, Moussa Benhamadi.
Le patron de l'opérateur historique a affirmé que son entreprise réclame le paiement de ses dettes auprès de l'Eepad. Il a réfuté les accusation selon lesquelles Algérie Télécom cherche à faire disparaître l'Eepad. "Il y a deux échéanciers de paiement de cette dette qui n'ont pas été respectés par l'Eepad pour des raisons que nous ignorons", a dit M. Benhamadi.
Le PDG d'Algérie Télécom a expliqué que la concrétisation du plan gouvernement de développement des télécoms et technologies de l'information (TIC) baptisé e-2013 nécessite l'apport des providers et des opérateurs privés.
M. Benhamadi a également exprimé ses regrets aux 40.000 abonnés internet d'Eepad, dont la connexion est suspendue depuis plusieurs semaines, faute d'un accord entre les deux parties en conflit. M. Belhamadi n'a avancé aucun délai pour le règlement du conflit qu'il a qualifié de « purement commercial ».
Source TSA
SIXONINE- Membre Actif
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Re: L'Internet en Algérie
Changement d'avatar pour moi, merci Algérie Télécoms, et merci ya Si Harzallah!
pow_camp- Nombre de messages : 119
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Re: L'Internet en Algérie
Algérie Télécom et Eepad négocient sur un accord de 10 points
Les négociations entre Algérie Télécom et le fournisseur privé d'accès Internet Eepad se poursuivent. Selon nos informations, les deux parties discutent actuellement autour d'un accord de dix points, mis en place en fin de semaine, avec la médiation de l'Association des fournisseurs d'accès Internet (AFSI).
Parmi les propositions contenues dans l'accord figurent notamment deux points essentiels : la reprise du management de l'Eepad par Algérie Télécom et le rapatriement en Algérie de la plate-forme de Zala France. Cette dernière est une société spécialisée notamment dans la VoIP (téléphonie sur Internet) et la conception de logiciel. Elle appartient à l'Eepad et réalise un chiffre d'affaires mensuel de 800 000 euros dans la téléphonie, grâce à la vente en gros de minutes téléphoniques vers l'Algérie.
La proposition d'accord a été acceptée par le direction d'Algérie Télécom. Interrogé par TSA, l'Eepad a reconnu l'existence de telles négociations mais s'est abstenu de les commenter ou de donner sa position sur le dossier.
Les nouvelles discussions interviennent après l'échec de l'option d'une reprise totale de l'Eepad par Algérie Télécom. Il y a quelques jours, le Conseil d'administration de l'opérateur historique a rejeté la proposition de rachat du provider privé. Selon nos sources, Eepad a été valorisé à 4 milliards de dinars. Ce montant inclut les dettes du provider auprès d'AT, estimées à 3,5 milliards de dinars. Mais l'opération, qui avait l'aval du management d'Algérie Télécom, n'a pas été approuvée par le gouvernement.
En réalité, en adoptant une position de fermeté dans le dossier, le gouvernement semble vouloir éviter de créer un précédent. Si Eepad est rachetée après avoir refusé de payer ses dettes auprès de l'opérateur historique, d'autres providers ou entreprises privées activant dans divers secteurs pourraient être tentées par l'option d'un non-paiement de leurs créances auprès de l'Etat ou des sociétés publiques. Une situation qui ouvrirait la voix à tous les dérapages
Les négociations entre Algérie Télécom et le fournisseur privé d'accès Internet Eepad se poursuivent. Selon nos informations, les deux parties discutent actuellement autour d'un accord de dix points, mis en place en fin de semaine, avec la médiation de l'Association des fournisseurs d'accès Internet (AFSI).
Parmi les propositions contenues dans l'accord figurent notamment deux points essentiels : la reprise du management de l'Eepad par Algérie Télécom et le rapatriement en Algérie de la plate-forme de Zala France. Cette dernière est une société spécialisée notamment dans la VoIP (téléphonie sur Internet) et la conception de logiciel. Elle appartient à l'Eepad et réalise un chiffre d'affaires mensuel de 800 000 euros dans la téléphonie, grâce à la vente en gros de minutes téléphoniques vers l'Algérie.
La proposition d'accord a été acceptée par le direction d'Algérie Télécom. Interrogé par TSA, l'Eepad a reconnu l'existence de telles négociations mais s'est abstenu de les commenter ou de donner sa position sur le dossier.
Les nouvelles discussions interviennent après l'échec de l'option d'une reprise totale de l'Eepad par Algérie Télécom. Il y a quelques jours, le Conseil d'administration de l'opérateur historique a rejeté la proposition de rachat du provider privé. Selon nos sources, Eepad a été valorisé à 4 milliards de dinars. Ce montant inclut les dettes du provider auprès d'AT, estimées à 3,5 milliards de dinars. Mais l'opération, qui avait l'aval du management d'Algérie Télécom, n'a pas été approuvée par le gouvernement.
En réalité, en adoptant une position de fermeté dans le dossier, le gouvernement semble vouloir éviter de créer un précédent. Si Eepad est rachetée après avoir refusé de payer ses dettes auprès de l'opérateur historique, d'autres providers ou entreprises privées activant dans divers secteurs pourraient être tentées par l'option d'un non-paiement de leurs créances auprès de l'Etat ou des sociétés publiques. Une situation qui ouvrirait la voix à tous les dérapages
SIXONINE- Membre Actif
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Re: L'Internet en Algérie
Communiqué de l'Eepad
L’Eepad s'excuse auprès des ses abonnés pour les désagréments causés par la coupure de son réseau ‘’Assila’’ survenue le 02 Septembre 2009.
Eepad informe ses clients que les négociations sont en cours entre les deux parties du différend qui est sur le point d’être définitivement réglé.
Eepad assure ses chers clients d’une compensation avec un bonus dès la reprises des ses services.
http://www.eepad.dz/
L’Eepad s'excuse auprès des ses abonnés pour les désagréments causés par la coupure de son réseau ‘’Assila’’ survenue le 02 Septembre 2009.
Eepad informe ses clients que les négociations sont en cours entre les deux parties du différend qui est sur le point d’être définitivement réglé.
Eepad assure ses chers clients d’une compensation avec un bonus dès la reprises des ses services.
http://www.eepad.dz/
Re: L'Internet en Algérie
...en attendant, ses abonnés se barrent chez AT!
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Re: L'Internet en Algérie
Ses abonnés demeurent dans l’incertitude
Bessalah : “Le dossier de l’Eepad n’est pas clos”
Par :Nabila Saïdoun
Algérie Télécom a signé hier une convention avec plusieurs ISP offrant des ristournes de 20 à 35 %.
Au moment même où le débat bat son plein sur la préparation du terrain pour la migration de l’IPV4 à l’IPV6, l’Algérie peine toujours à offrir aux abonnés algériens une connexion “respectable”. La disparition de l’Eepad pour des déboires financiers n’est pas pour arranger les choses puisque les abonnés vivent toujours dans l’incertitude, ne sachant vraiment pas à quel saint se vouer. Algérie Télécom fait d’énormes efforts pour répondre favorablement à toutes les demandes, mais il est évident que l’absorption ne peut se faire de manière systématique sans anicroches. Les pouvoirs publics persistent pourtant à dire que “le dossier Eepad n’est pas encore clos et que les deux parties sont toujours en négociation pour trouver une solution”, comme affirmé pas plus tard qu’hier par Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (PTIC), même si tous les indices démontrent le contraire. Certaines indiscrétions, notamment du côté d’Algérie Télécom (AT), assurent que ce fournisseur d’accès aux services d’Internet n’est pas près de reprendre ses activités compte tenu de l’importance du volume de la dette dont il doit s’acquitter vis-à-vis d’elle et d’autres parties.
C’est d’ailleurs la raison même, selon nos sources, qui a rendu impossible toute tentative de “sauvetage” de cette entreprise qui, du reste, était la seule à offrir non seulement l’accès à Internet, mais aussi des services à valeur ajoutée en développant des contenus pédagogiques au côté d’autres offres à l’image du “Five Play” (TV sur Internet), etc. Un vide qui ne pouvait continuer à faire tache d’huile, ce qui expliquerait, entre autres, la convention signée hier entre Algérie Télécom et plusieurs ISP. Cela consiste à mettre les infrastructures d’AT à la disposition des providers.
Ces derniers n’auront pas à supporter de lourds investissements en ce sens et n’auront qu’à s’abonner auprès de l’opérateur public, bénéficiant d’une ristourne allant de 20 à 35%. Cette initiative profitera évidemment à AT pour étendre le réseau (170 Actels sur tout le territoire national), mais n’est pas pour autant sans conditions. Les ISP sont tenus de développer le contenu et la valeur ajoutée sur les offres. Ainsi, les choses ne sont pas dites mais il semble clair qu’on procède au remplacement de l’Eepad en donnant l’opportunité aux ISP d’émerger.
M. Bessalah, pour sa part, parle de “réhabilitation des providers” et Moussa Benhamadi, P-DG d’AT, souligne la pertinence de mettre les providers en compétition et offrir de nouveaux services et surtout de meilleure qualité aux Algériens et désigner des interlocuteurs directs. M. Bessalah ne manquera pas à l’occasion d’aborder les problèmes récurrents du débit et ira jusqu’à reconnaître certaines “mauvaises options” dans le choix des équipements et même la mauvaise gestion. Il présentera comme seule alternative pour sortir de ce marasme technologique l’urgence de la modernisation de l’administration à travers l’intensification de l’utilisation des TIC. Du déjà-vu et déjà entendu aussi bien auprès de l’actuel ministre en charge du secteur, que de la part de ses prédécesseurs sans pour autant que cela change d’un iota depuis déjà bien des années, alors que l’Algérie s’est investie dans les réformes depuis l’année 2000. Aujourd’hui, tous les espoirs sont fondés sur l’e-Algérie 2013 sans que personne ne soit en mesure réellement de faire de réelles perspectives. En attendant de voir plus clair, l’Algérie continue à accuser un retard flagrant dans le domaine de l’Internet et se retrouve classée à la 6e position au niveau africain bien après la Tunisie, le Maroc, l’Égypte, le Gabon, les Seychelles selon le dernier rapport de la Cnuced (Information Economy Report 2009), qui attribue ce retard, entre autres, à l´absence d´infrastructures de télécommunications fixes.
Liberté
Bessalah : “Le dossier de l’Eepad n’est pas clos”
Par :Nabila Saïdoun
Algérie Télécom a signé hier une convention avec plusieurs ISP offrant des ristournes de 20 à 35 %.
Au moment même où le débat bat son plein sur la préparation du terrain pour la migration de l’IPV4 à l’IPV6, l’Algérie peine toujours à offrir aux abonnés algériens une connexion “respectable”. La disparition de l’Eepad pour des déboires financiers n’est pas pour arranger les choses puisque les abonnés vivent toujours dans l’incertitude, ne sachant vraiment pas à quel saint se vouer. Algérie Télécom fait d’énormes efforts pour répondre favorablement à toutes les demandes, mais il est évident que l’absorption ne peut se faire de manière systématique sans anicroches. Les pouvoirs publics persistent pourtant à dire que “le dossier Eepad n’est pas encore clos et que les deux parties sont toujours en négociation pour trouver une solution”, comme affirmé pas plus tard qu’hier par Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (PTIC), même si tous les indices démontrent le contraire. Certaines indiscrétions, notamment du côté d’Algérie Télécom (AT), assurent que ce fournisseur d’accès aux services d’Internet n’est pas près de reprendre ses activités compte tenu de l’importance du volume de la dette dont il doit s’acquitter vis-à-vis d’elle et d’autres parties.
C’est d’ailleurs la raison même, selon nos sources, qui a rendu impossible toute tentative de “sauvetage” de cette entreprise qui, du reste, était la seule à offrir non seulement l’accès à Internet, mais aussi des services à valeur ajoutée en développant des contenus pédagogiques au côté d’autres offres à l’image du “Five Play” (TV sur Internet), etc. Un vide qui ne pouvait continuer à faire tache d’huile, ce qui expliquerait, entre autres, la convention signée hier entre Algérie Télécom et plusieurs ISP. Cela consiste à mettre les infrastructures d’AT à la disposition des providers.
Ces derniers n’auront pas à supporter de lourds investissements en ce sens et n’auront qu’à s’abonner auprès de l’opérateur public, bénéficiant d’une ristourne allant de 20 à 35%. Cette initiative profitera évidemment à AT pour étendre le réseau (170 Actels sur tout le territoire national), mais n’est pas pour autant sans conditions. Les ISP sont tenus de développer le contenu et la valeur ajoutée sur les offres. Ainsi, les choses ne sont pas dites mais il semble clair qu’on procède au remplacement de l’Eepad en donnant l’opportunité aux ISP d’émerger.
M. Bessalah, pour sa part, parle de “réhabilitation des providers” et Moussa Benhamadi, P-DG d’AT, souligne la pertinence de mettre les providers en compétition et offrir de nouveaux services et surtout de meilleure qualité aux Algériens et désigner des interlocuteurs directs. M. Bessalah ne manquera pas à l’occasion d’aborder les problèmes récurrents du débit et ira jusqu’à reconnaître certaines “mauvaises options” dans le choix des équipements et même la mauvaise gestion. Il présentera comme seule alternative pour sortir de ce marasme technologique l’urgence de la modernisation de l’administration à travers l’intensification de l’utilisation des TIC. Du déjà-vu et déjà entendu aussi bien auprès de l’actuel ministre en charge du secteur, que de la part de ses prédécesseurs sans pour autant que cela change d’un iota depuis déjà bien des années, alors que l’Algérie s’est investie dans les réformes depuis l’année 2000. Aujourd’hui, tous les espoirs sont fondés sur l’e-Algérie 2013 sans que personne ne soit en mesure réellement de faire de réelles perspectives. En attendant de voir plus clair, l’Algérie continue à accuser un retard flagrant dans le domaine de l’Internet et se retrouve classée à la 6e position au niveau africain bien après la Tunisie, le Maroc, l’Égypte, le Gabon, les Seychelles selon le dernier rapport de la Cnuced (Information Economy Report 2009), qui attribue ce retard, entre autres, à l´absence d´infrastructures de télécommunications fixes.
Liberté
Re: L'Internet en Algérie
Ils vont finir par fermer. Presque tout le monde est chez AT maintenant. le site d'EEPAD est hébergé en France, je pense que ce n'est qu'un leurre. Ça sent le mini-Khalifa!
Pour ma part, je passe chez AT. Eepad, ma bqatch.
Pour ma part, je passe chez AT. Eepad, ma bqatch.
pow_camp- Nombre de messages : 119
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Re: L'Internet en Algérie
L’EEPAD se redéploie : Un groupe d’investisseurs algériens entre dans le capital
Le conflit qui oppose le groupe Algérie Télécom au fournisseur privé de l’internet Eepad va-t-il connaître son dénouement ? C’est le souhait en tout cas de Nouar Harzallah, PDG de l’Eepad, qui a multiplié les démarches pour sauver l’entreprise de l’effondrement.
De source sûre, on a appris qu’un groupe d’investisseurs industriels algériens a investi dans le capital. Cette nouvelle équipe a été installée et réfléchit actuellement à formuler des propositions concrètes à Algérie Télécom pour sortir de l’impasse. L’urgence est de renégocier l’échéancier de paiement des dettes avec l’opérateur public reconnu comme un partenaire stratégique. Ce groupe a aussi l’intention de remettre sur la table l’examen du dossier des coupures et de la TVA.
Le souci est de sauver les emplois et d’éviter la disparition de l’Eepad. Par ailleurs, la justice a demandé une expertise pour pouvoir statuer définitivement sur ce litige après la plainte déposée par l’Eepad contre Algérie Télécom pour avoir violé des clauses relatives à la nécessité d’assurer « la continuité de service en cas de litige ».
Cette affaire a eu des conséquences sur le provider privé : en effet, plusieurs abonnés, estimé par Harzallah à 6000, ont quitté la société et se sont inscrits à Algérie Télécom, car l’accès à Internet pour les entreprises est primordial. S’exprimant sur le conflit Eepad-AT, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de
l’information et de la communication, a rappelé que le dossier est entre les mains de la justice et qu’AT a le droit de récupérer son argent. Il donne l’impression de vouloir rester au-dessus de la mêlée, en déclarant à plusieurs reprises que le différend est « purement commercial et doit être réglé entre les deux opérateurs dans le cadre de négociations bilatérales ».
Il a affirmé, en outre, après la signature d’un accord entre Algérie Télécom et des représentants de fournisseurs d’accès le 25 octobre 2009, que « nous voulons que l’Eepad reste pour nous accompagner dans
le plan d’action du secteur ». Alors que le ministère veut relancer les providers, cette affaire embarrasse. L’Algérie, qui était l’une des leaders de l’introduction de l’ADSL en 2002, a perdu du terrain au
profit des pays voisins. Dix ans après l’ouverture du secteur, plusieurs personnes en Algérie sont aujourd’hui exclues de l’internet haut débit. La fracture numérique aggrave les fractures sociales et territoriales.
A l’origine de cette inégalité : l’architecture du réseau téléphonique sur lequel s’appuie la grande majorité des accès haut débit. L’Algérie a besoin de multiplier les providers pour rattraper son retard, des providers considérés comme des fournisseurs de contenus et non seulement comme un ensemble de tuyaux interconnectés d’accès à Internet.
Par Kamel Benelkadi
Le conflit qui oppose le groupe Algérie Télécom au fournisseur privé de l’internet Eepad va-t-il connaître son dénouement ? C’est le souhait en tout cas de Nouar Harzallah, PDG de l’Eepad, qui a multiplié les démarches pour sauver l’entreprise de l’effondrement.
De source sûre, on a appris qu’un groupe d’investisseurs industriels algériens a investi dans le capital. Cette nouvelle équipe a été installée et réfléchit actuellement à formuler des propositions concrètes à Algérie Télécom pour sortir de l’impasse. L’urgence est de renégocier l’échéancier de paiement des dettes avec l’opérateur public reconnu comme un partenaire stratégique. Ce groupe a aussi l’intention de remettre sur la table l’examen du dossier des coupures et de la TVA.
Le souci est de sauver les emplois et d’éviter la disparition de l’Eepad. Par ailleurs, la justice a demandé une expertise pour pouvoir statuer définitivement sur ce litige après la plainte déposée par l’Eepad contre Algérie Télécom pour avoir violé des clauses relatives à la nécessité d’assurer « la continuité de service en cas de litige ».
Cette affaire a eu des conséquences sur le provider privé : en effet, plusieurs abonnés, estimé par Harzallah à 6000, ont quitté la société et se sont inscrits à Algérie Télécom, car l’accès à Internet pour les entreprises est primordial. S’exprimant sur le conflit Eepad-AT, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de
l’information et de la communication, a rappelé que le dossier est entre les mains de la justice et qu’AT a le droit de récupérer son argent. Il donne l’impression de vouloir rester au-dessus de la mêlée, en déclarant à plusieurs reprises que le différend est « purement commercial et doit être réglé entre les deux opérateurs dans le cadre de négociations bilatérales ».
Il a affirmé, en outre, après la signature d’un accord entre Algérie Télécom et des représentants de fournisseurs d’accès le 25 octobre 2009, que « nous voulons que l’Eepad reste pour nous accompagner dans
le plan d’action du secteur ». Alors que le ministère veut relancer les providers, cette affaire embarrasse. L’Algérie, qui était l’une des leaders de l’introduction de l’ADSL en 2002, a perdu du terrain au
profit des pays voisins. Dix ans après l’ouverture du secteur, plusieurs personnes en Algérie sont aujourd’hui exclues de l’internet haut débit. La fracture numérique aggrave les fractures sociales et territoriales.
A l’origine de cette inégalité : l’architecture du réseau téléphonique sur lequel s’appuie la grande majorité des accès haut débit. L’Algérie a besoin de multiplier les providers pour rattraper son retard, des providers considérés comme des fournisseurs de contenus et non seulement comme un ensemble de tuyaux interconnectés d’accès à Internet.
Par Kamel Benelkadi
Re: L'Internet en Algérie
vous parlé encore de épad !
en tous cas je sais une chose peut importe la vitesse de ta connexion 1Méga ou 100 mbites elle est TOUJOUR NUL .
en tous cas je sais une chose peut importe la vitesse de ta connexion 1Méga ou 100 mbites elle est TOUJOUR NUL .
Re: L'Internet en Algérie
Eepad est meilleure que AT
j'avais Eepad et je trouve qu'il ya bcp de différence entre le 512 de Eepad et celui de AT
j'avais Eepad et je trouve qu'il ya bcp de différence entre le 512 de Eepad et celui de AT
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