Actualité Serie A [2010/2011]
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
guardiola est a des années lumieres derriere mourinho
davidb2o- Membre Actif
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SIXONINE- Membre Actif
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davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
pirlo ya , c'est en qu'elel année ? 99
@mineunited- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
je pense que cété en 2001 2002 il joué attaquant a ce moment la
davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
davidb2o a écrit:guardiola est a des années lumieres derriere mourinho
Oui David, les statistiques parlent d'elles même!!
17 titres pour Mourinhou en 10 années
9 pour Guardiola en seulement 2 années
5 matches entre les deux coach, 3 victoires pour Guardiola, 1 match nul et une seule victoire pour Mourinhou
Re: Actualité Serie A [2010/2011]
Sir Alex Fergusson mala machi kane il vont se rabaisser ass3elen walid
@mineunited- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
mourinho construit ses equipes guardiiola iwfa koulech iwjed!MIM0U a écrit:davidb2o a écrit:guardiola est a des années lumieres derriere mourinho
Oui David, les statistiques parlent d'elles même!!
17 titres pour Mourinhou en 10 années
9 pour Guardiola en seulement 2 années
5 matches entre les deux coach, 3 victoires pour Guardiola, 1 match nul et une seule victoire pour Mourinhou
davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
Oui, Villa - Pedro - Bousquet - Bojan - Alves - Piqué ....
Tu voulait dire peut etre que Guardiola travaille à long terme pour l'intérêt du club, contrairement à Mourinhou qui bosse à cours terme juste pour son intérêt personnel (résultats immédiats), là je serais d'accord avec toi
Re: Actualité Serie A [2010/2011]
meme en enlevant tous les joueurs que tu a cité l'equipe aurait été favori numero 1 partout
sinon faut pa oublier aussi les 50 millions + etoo contre ibra inayak c une question de feeling
sinon faut pa oublier aussi les 50 millions + etoo contre ibra inayak c une question de feeling
davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
Vous vous souvenez encore de Christian Vieri ? Et bien, il décide de continuer sa carrière à 37 ans et devrait s'engager dans le club de Boa Vista, au Brésil ! Quand on aime le foot...
SIXONINE- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
iwiyass atrico ghezzal! jesper qu'il est contagieu
davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
ceete semaine inter naples et naples juve
aller YEBDA
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@mineunited- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
SIXONINE a écrit:Vous vous souvenez encore de Christian Vieri ? Et bien, il décide de continuer sa carrière à 37 ans et devrait s'engager dans le club de Boa Vista, au Brésil ! Quand on aime le foot...
il touchait juste 1000€ pendant son dernier contrat
@mineunited- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
Première conférence de presse de Leonardo : “Impossible de dire non à l'inter"
C’était la présentation officielle de Leonardo aujourd’hui du côté de la Pinetina, où il a été énormément applaudi et encouragé par les supporters présents à son arrivée. Il prit ensuite la direction de la salle de conférence de presse d’Appiano Gentile, le centre d’entrainement de l’Inter, pour y tenir un échange d’un peu moins d’une heure avec les journalistes, en tant que nouvel entraineur nerazzurro.
A son entrée dans la salle de presse, Leonardo, avec Branca et Moratti prirent quelques photos avec le maillot de l’Inter et la Coupe du Mondial des Clubs. Et c’est le président Moratti qui a ouvert la conférence de presse : « Je suis très heureux du choix d’avoir pris Leonardo et du fait d’être ici. J’ai toujours eu une immense estime pour lui, pour sa capacité d’apprendre rapidement et d’apporter de la sérénité partout où il est passé. De toute façon, nous ne sommes pas pressés, nous y allons à l’instinct, guidé par l’amour envers les supporters. Ce sera très important pour atteindre nos objectifs. Je souhaite à Ronaldo (ndlr : le président se corrige rapidement en souriant et redisant Leonardo, tout en l’embrassant amicalement), à Leonardo un bon travail chez nous ».
Puis c’est au tour du principal intéressé de se jeter à l’eau devant les dizaines de personnes présentes : « Bonjour à tous. C’est une situation fascinante que je suis en train de vivre, avec vous, devant des visages que je connais pour certains puisque j’ai vécu depuis 13 ans à Milan. Je connais vraiment beaucoup de monde ici et lorsque je parlais de rêve, de romance, je parlais de ça en général. Je cherchais quelques chose qui pouvait vraiment me stimuler. C’est un défi à relever, et au dessus de ce défi, je crois qu’il n’y a rien ».
Quelle joie ressentez-vous actuellement ?
Très grande, c’était impossible de dire non à ce challenge. Beaucoup de choses m’ont amené ici. A commencer par mes relations particulières avec le président Moratti qui se sont formées naturellement. Aujourd’hui est un jour très spécial pour moi, Moratti sera le président et moi l’entraîneur : il y aura du respect pour la hiérarchie. Je suis fier de mon choix et c’est réciproque.
Ne vous-êtes vous jamais senti déjà interista dans la peau ?
Je vais être sincère. J’ai toujours cherché à être libre, à être moi-même. Ce n’est pas nécessaire d’avoir mille choses en commun pour vivre ensemble. J’ai vécu 13 ans au Milan et je remercierai toujours le club rossonero pour cette longue période, durant laquelle j’ai été joueur, dirigeant et entraîneur. J’ai ma vérité, je ne me sens pas coupable et je ne regrette pas ma décision de venir ici. J’ai toujours dit aux personnes que je côtoie qu’il existe certaines réalités. Le défi de l’Inter était trop fort et trop attractif, je ne pouvais pas dire non.
Quels vont être vos premiers mots à l’intention des joueurs ?
J’arrive au cours de l’année la plus importante de l’histoire de ce club. Je suis très heureux. Les victoires créent de la complicité et de l’enthousiasme dans un groupe. Cette équipe est faite, il y a peu à remanier, rien à inventer. Elle a son identité, et je vais simplement devoir mettre les joueurs dans les meilleures conditions pour gagner, et là, les joueurs seront forts. Je ne crois pas en les valeurs de l’assouvissement : les victoires amènent de la sérénité et d’autres victoires. On me demande aujourd’hui de retrouver les choses qui ont fait gagner cette équipe par le passé, un passé qu’on connu les joueurs.
Beaucoup de monde vous présente aujourd’hui comme un traitre.
Je ne vais pas vous dire que je suis un ange, je ne veux pas me faire passer pour. Je respecte le jugement de chacun et je demande qu’on respecte aussi ma liberté de choix.
La différence entre ce que tu avais au Milan et ce que tu as ici, à l’Inter ?
Les comparaisons sont très difficiles, les réalités sont différentes. Une année est différente de l’autre même dans un même club. Je suis devenu entraîneur du Milan après 13 ans à l’intérieur de cette institution. À l’Inter la situation est différent : je n’étais jamais venu ici par exemple, à Appiano Gentile. Ce sont des situations nouvelles et j’ai beaucoup à apprendre.
Moratti va ensuite intervenir d’une manière brève : « Actuellement, l’Inter est dans une phase avec plein d’émotions. La Coupe du Monde, on fait signer Leonardo et on prend toutes les responsabilités de ce choix ».
On commence déjà à sortir certains maillots floqués Kakà dans le dos…
Je le connais bien. Mais il quittera difficilement Madrid avant de leur avoir apporté vraiment sa contribution. Il est en train de revenir. Il va de nouveau être à la disposition de son entraineur sous peu. Aujourd’hui, le joueur veut simplement donner et donner encore au Real, chose qu’il n’a pas encore pu faire.
Combien de temps avez-vous mis pour accepter l’Inter ?
Peu de temps. C’est une chose qui a évolué au fond de moi et je ne pensais pas que ça pourrait se réaliser.
Croyez-vous encore au scudetto ?
Le championnat est encore long, donc oui j’y crois. La situation est particulière, car nous avons encore deux matchs en retard. Il suffit aujourd’hui de pas grand chose pour s’insérer dans le groupe des équipes qui peuvent gagner le championnat.
Le Milan est votre adversaire principal. Comment vous le vivez ?
Les rossoneri sont en tête, ce sont eux aujourd’hui qui ont le plus de chance de gagner. Le fait que le Milan soit favori ne change pas beaucoup mes plans : nous devons penser à nous d’abord. Le Mondial des Clubs a donné quelque chose en plus à l’Inter, gagner même lorsqu’on est favori, n’est jamais une chose facile. L’Inter a couronné une année 2010 unique, et ça, c’est un point de départ.
Avez-vous déjà parlé avec le groupe de l’Inter ?
J’ai parlé avec beaucoup de personnes, j’ai essayé de m’imprégner de l’ambiance ici, de l’ambiance durant les matchs. J’ai reçu un accueil très positif. Je ne savais pas à quoi m’attendre mais je peux vous dire que ma première impression a été très bonne.
Lorsque vous êtes devenu entraîneur du Milan, on t’a souvent confronté à Ancelotti, ton prédécesseur. Et maintenant que vous êtes à l’Inter… ?
Vous parlez de Mourinho ? Josè a été extraordinaire. Je l’ai appelé et je me suis basé sur ses avis car arriver à l’Inter sans passer par lui, je crois que c’est impossible. C’est quelqu’un d’intelligent qui connaît bien l’Inter. Il est partout ici. Je le connaissais depuis longtemps et il a encore été très bien avec moi dans ses conseils et ses comparaisons. Je considère Mourinho comme une fuoriclasse, son empreinte est là, et derrière ses conférences de presse brillantes, se cache un gros travail. Mais je ne suis pas Mourinho. Je commence aujourd’hui mon job à mi-saison et seulement ma deuxième expérience sur un banc de touche, après une saison où j’ai beaucoup étudié.
Que s’est-il passé après le Milan ?
Lorsque j’ai fini mon travail avec le Milan je devais comprendre ce que je voulais faire. Ce furent six mois d’études et de réflexion, mais cette opportunité merveilleuse m’a donné la certitude de vouloir continuer à ce poste. L’Inter m’a convaincu de ce que je veux vraiment.
Pato vous a un peu chambré dans les médias…
Ce n’est pas vrai. Je l’ai eu au téléphone récemment. Il a fait sa déclaration et m’a souhaité aussi de gagner avec l’Inter. Donc bon…
Quand vous étiez à Milan, qu’est ce que représentait pour vous l’Inter ?
Je n’ai jamais vu le Milan AC comme l’ennemi juré de l’Inter. Ce club est une équipe historique, et la rivalité se vit très bien. Il y a un vrai respect de l’adversaire. J’ai toujours été fidèle au Milan durant mes années rossonere.
Les blessés de l’Inter.
Dans chaque club, des choses positives et négatives arrivent, proportionnellement aux évènements. Je ne suis pas ici pour faire un procès à qui que ce soit. Il faut repartir de l’avant en essayant de trouver la bonne formule pour qu’on limite au maximum tous ces blessés.
L’Inter semblait un peu triste dernièrement sur les terrains. Quel est-elle votre ordonnance pour remédier à cette maladie ?
Les ordonnances ou les remèdes magiques n’existent pas. L’équipe a des ressources importantes en son sein. Il y a de quoi retrouver le top et la meilleure forme possible. Je ne peux pas croire qu’une équipe gagnante se soit effondrée d’un coup. L’équipe doit seulement repenser aux belles périodes qu’elle a traversée.
Puis un journaliste s’adresse à Moratti lui demandant s’il devait s’attendre à un nouveau coup sur le mercato après la venue de Ranocchia : « Maintenant que Benitez n’est plus là, nous allons acheter au moins cinq joueurs (ndlr : rires de tout le monde dans la salle). Blague à part, je suis convaincu que notre groupe est très fort comme il est. Après il y a l’aspect technique et je remets les clés à Leonardo et Branca. Leonardo a eu une expérience de dirigeant à Milan et il connaît donc aussi les attentes économiques d’un club ». Et même Leonardo ira de sa petite réponse : « Si nous avons une opportunité intéressante, alors on verra. Mais on ne doit pas acheter pour acheter ».
Quelle langue vous emploierez avec les joueurs dans cette équipe sud-américaine ?
Il faudra trouver la clé avec chaque joueur. D’abord l’individu, ensuite le groupe. Je les prendrai en premier lieu un par un avant toute chose. Mon langage sera différent selon le joueur. Je devrai les comprendre et les valoriser pour arriver à tirer le meilleur de chacun.
Moratti enfin fermera la conférence de presse d’une simple phrase : « Je voulais remercier Benitez pour la Coupe qu’il nous a ramenée ».
C’était la présentation officielle de Leonardo aujourd’hui du côté de la Pinetina, où il a été énormément applaudi et encouragé par les supporters présents à son arrivée. Il prit ensuite la direction de la salle de conférence de presse d’Appiano Gentile, le centre d’entrainement de l’Inter, pour y tenir un échange d’un peu moins d’une heure avec les journalistes, en tant que nouvel entraineur nerazzurro.
A son entrée dans la salle de presse, Leonardo, avec Branca et Moratti prirent quelques photos avec le maillot de l’Inter et la Coupe du Mondial des Clubs. Et c’est le président Moratti qui a ouvert la conférence de presse : « Je suis très heureux du choix d’avoir pris Leonardo et du fait d’être ici. J’ai toujours eu une immense estime pour lui, pour sa capacité d’apprendre rapidement et d’apporter de la sérénité partout où il est passé. De toute façon, nous ne sommes pas pressés, nous y allons à l’instinct, guidé par l’amour envers les supporters. Ce sera très important pour atteindre nos objectifs. Je souhaite à Ronaldo (ndlr : le président se corrige rapidement en souriant et redisant Leonardo, tout en l’embrassant amicalement), à Leonardo un bon travail chez nous ».
Puis c’est au tour du principal intéressé de se jeter à l’eau devant les dizaines de personnes présentes : « Bonjour à tous. C’est une situation fascinante que je suis en train de vivre, avec vous, devant des visages que je connais pour certains puisque j’ai vécu depuis 13 ans à Milan. Je connais vraiment beaucoup de monde ici et lorsque je parlais de rêve, de romance, je parlais de ça en général. Je cherchais quelques chose qui pouvait vraiment me stimuler. C’est un défi à relever, et au dessus de ce défi, je crois qu’il n’y a rien ».
Quelle joie ressentez-vous actuellement ?
Très grande, c’était impossible de dire non à ce challenge. Beaucoup de choses m’ont amené ici. A commencer par mes relations particulières avec le président Moratti qui se sont formées naturellement. Aujourd’hui est un jour très spécial pour moi, Moratti sera le président et moi l’entraîneur : il y aura du respect pour la hiérarchie. Je suis fier de mon choix et c’est réciproque.
Ne vous-êtes vous jamais senti déjà interista dans la peau ?
Je vais être sincère. J’ai toujours cherché à être libre, à être moi-même. Ce n’est pas nécessaire d’avoir mille choses en commun pour vivre ensemble. J’ai vécu 13 ans au Milan et je remercierai toujours le club rossonero pour cette longue période, durant laquelle j’ai été joueur, dirigeant et entraîneur. J’ai ma vérité, je ne me sens pas coupable et je ne regrette pas ma décision de venir ici. J’ai toujours dit aux personnes que je côtoie qu’il existe certaines réalités. Le défi de l’Inter était trop fort et trop attractif, je ne pouvais pas dire non.
Quels vont être vos premiers mots à l’intention des joueurs ?
J’arrive au cours de l’année la plus importante de l’histoire de ce club. Je suis très heureux. Les victoires créent de la complicité et de l’enthousiasme dans un groupe. Cette équipe est faite, il y a peu à remanier, rien à inventer. Elle a son identité, et je vais simplement devoir mettre les joueurs dans les meilleures conditions pour gagner, et là, les joueurs seront forts. Je ne crois pas en les valeurs de l’assouvissement : les victoires amènent de la sérénité et d’autres victoires. On me demande aujourd’hui de retrouver les choses qui ont fait gagner cette équipe par le passé, un passé qu’on connu les joueurs.
Beaucoup de monde vous présente aujourd’hui comme un traitre.
Je ne vais pas vous dire que je suis un ange, je ne veux pas me faire passer pour. Je respecte le jugement de chacun et je demande qu’on respecte aussi ma liberté de choix.
La différence entre ce que tu avais au Milan et ce que tu as ici, à l’Inter ?
Les comparaisons sont très difficiles, les réalités sont différentes. Une année est différente de l’autre même dans un même club. Je suis devenu entraîneur du Milan après 13 ans à l’intérieur de cette institution. À l’Inter la situation est différent : je n’étais jamais venu ici par exemple, à Appiano Gentile. Ce sont des situations nouvelles et j’ai beaucoup à apprendre.
Moratti va ensuite intervenir d’une manière brève : « Actuellement, l’Inter est dans une phase avec plein d’émotions. La Coupe du Monde, on fait signer Leonardo et on prend toutes les responsabilités de ce choix ».
On commence déjà à sortir certains maillots floqués Kakà dans le dos…
Je le connais bien. Mais il quittera difficilement Madrid avant de leur avoir apporté vraiment sa contribution. Il est en train de revenir. Il va de nouveau être à la disposition de son entraineur sous peu. Aujourd’hui, le joueur veut simplement donner et donner encore au Real, chose qu’il n’a pas encore pu faire.
Combien de temps avez-vous mis pour accepter l’Inter ?
Peu de temps. C’est une chose qui a évolué au fond de moi et je ne pensais pas que ça pourrait se réaliser.
Croyez-vous encore au scudetto ?
Le championnat est encore long, donc oui j’y crois. La situation est particulière, car nous avons encore deux matchs en retard. Il suffit aujourd’hui de pas grand chose pour s’insérer dans le groupe des équipes qui peuvent gagner le championnat.
Le Milan est votre adversaire principal. Comment vous le vivez ?
Les rossoneri sont en tête, ce sont eux aujourd’hui qui ont le plus de chance de gagner. Le fait que le Milan soit favori ne change pas beaucoup mes plans : nous devons penser à nous d’abord. Le Mondial des Clubs a donné quelque chose en plus à l’Inter, gagner même lorsqu’on est favori, n’est jamais une chose facile. L’Inter a couronné une année 2010 unique, et ça, c’est un point de départ.
Avez-vous déjà parlé avec le groupe de l’Inter ?
J’ai parlé avec beaucoup de personnes, j’ai essayé de m’imprégner de l’ambiance ici, de l’ambiance durant les matchs. J’ai reçu un accueil très positif. Je ne savais pas à quoi m’attendre mais je peux vous dire que ma première impression a été très bonne.
Lorsque vous êtes devenu entraîneur du Milan, on t’a souvent confronté à Ancelotti, ton prédécesseur. Et maintenant que vous êtes à l’Inter… ?
Vous parlez de Mourinho ? Josè a été extraordinaire. Je l’ai appelé et je me suis basé sur ses avis car arriver à l’Inter sans passer par lui, je crois que c’est impossible. C’est quelqu’un d’intelligent qui connaît bien l’Inter. Il est partout ici. Je le connaissais depuis longtemps et il a encore été très bien avec moi dans ses conseils et ses comparaisons. Je considère Mourinho comme une fuoriclasse, son empreinte est là, et derrière ses conférences de presse brillantes, se cache un gros travail. Mais je ne suis pas Mourinho. Je commence aujourd’hui mon job à mi-saison et seulement ma deuxième expérience sur un banc de touche, après une saison où j’ai beaucoup étudié.
Que s’est-il passé après le Milan ?
Lorsque j’ai fini mon travail avec le Milan je devais comprendre ce que je voulais faire. Ce furent six mois d’études et de réflexion, mais cette opportunité merveilleuse m’a donné la certitude de vouloir continuer à ce poste. L’Inter m’a convaincu de ce que je veux vraiment.
Pato vous a un peu chambré dans les médias…
Ce n’est pas vrai. Je l’ai eu au téléphone récemment. Il a fait sa déclaration et m’a souhaité aussi de gagner avec l’Inter. Donc bon…
Quand vous étiez à Milan, qu’est ce que représentait pour vous l’Inter ?
Je n’ai jamais vu le Milan AC comme l’ennemi juré de l’Inter. Ce club est une équipe historique, et la rivalité se vit très bien. Il y a un vrai respect de l’adversaire. J’ai toujours été fidèle au Milan durant mes années rossonere.
Les blessés de l’Inter.
Dans chaque club, des choses positives et négatives arrivent, proportionnellement aux évènements. Je ne suis pas ici pour faire un procès à qui que ce soit. Il faut repartir de l’avant en essayant de trouver la bonne formule pour qu’on limite au maximum tous ces blessés.
L’Inter semblait un peu triste dernièrement sur les terrains. Quel est-elle votre ordonnance pour remédier à cette maladie ?
Les ordonnances ou les remèdes magiques n’existent pas. L’équipe a des ressources importantes en son sein. Il y a de quoi retrouver le top et la meilleure forme possible. Je ne peux pas croire qu’une équipe gagnante se soit effondrée d’un coup. L’équipe doit seulement repenser aux belles périodes qu’elle a traversée.
Puis un journaliste s’adresse à Moratti lui demandant s’il devait s’attendre à un nouveau coup sur le mercato après la venue de Ranocchia : « Maintenant que Benitez n’est plus là, nous allons acheter au moins cinq joueurs (ndlr : rires de tout le monde dans la salle). Blague à part, je suis convaincu que notre groupe est très fort comme il est. Après il y a l’aspect technique et je remets les clés à Leonardo et Branca. Leonardo a eu une expérience de dirigeant à Milan et il connaît donc aussi les attentes économiques d’un club ». Et même Leonardo ira de sa petite réponse : « Si nous avons une opportunité intéressante, alors on verra. Mais on ne doit pas acheter pour acheter ».
Quelle langue vous emploierez avec les joueurs dans cette équipe sud-américaine ?
Il faudra trouver la clé avec chaque joueur. D’abord l’individu, ensuite le groupe. Je les prendrai en premier lieu un par un avant toute chose. Mon langage sera différent selon le joueur. Je devrai les comprendre et les valoriser pour arriver à tirer le meilleur de chacun.
Moratti enfin fermera la conférence de presse d’une simple phrase : « Je voulais remercier Benitez pour la Coupe qu’il nous a ramenée ».
davidb2o- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
t'es content ??
@mineunited- Membre Actif
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
j'attends de voir ce que ca va donner
davidb2o- Membre Actif
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Localisation : bejaia
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
comme si l'entraineur du mob viens entraîner la jsmb
@mineunited- Membre Actif
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Localisation : old trafford
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Re: Actualité Serie A [2010/2011]
oui souvient toi latreche
davidb2o- Membre Actif
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