12 Février 2011: Le début de la fin
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davidb2o
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Bourtouqal banafsadji
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
autonomie peutetre que c'est uen bonne solution
mais pas guidé par des gens comme ferhat mheni ou abrika
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davidb2o- Membre Actif
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
l autonomie doit etre pour toute l algerie (oranie chaouis mzab kabylie ect.......
ce qui vont nous diriger seront facile a surveiller puisque ils seront elus par nous et pres de nous
ce qui vont nous diriger seront facile a surveiller puisque ils seront elus par nous et pres de nous
fred74- Nombre de messages : 121
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Bourtouqal banafsadji a écrit:moss34 a écrit:Bourtouqal banafsadji a écrit:C ça marre toi ya moss
a propos lamana dyalek rahi fi placa
Merci Moss. j'ai relevé.
bla l'emzia a tchina
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Selon la Banque mondiale : “L’Algérie en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques”
“Le PIB de l’Algérie par habitant (4.400 dollars en 2010) est l'un des plus élevés dans les pays de la région MENA hors-Conseil de coopération du Golfe (CCG)''
L'Algérie est en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques, mais doit relever le défi de diversifier son économie, indique la Banque mondiale dans le document portant sur le nouveau dispositif de coopération 2011-2014.
‘’L'Algérie est, aujourd'hui, en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques, tenir un rôle stratégique dans la région et contribuer à l'intégration économique entre l'Afrique du Nord, l’Europe et l’Afrique subsaharienne’’, affirme-t-elle dans sa présentation du Cadre de Partenariat Stratégique (CPS).
“Le PIB de l’Algérie par habitant (4.400 dollars en 2010) est l'un des plus élevés dans les pays de la région MENA hors-Conseil de coopération du Golfe (CCG)'', ajoute-t-elle.
Cependant, observe l’institution de Bretton Woods, à l’instar d’autres pays producteurs de pétrole, ''l'Algérie doit relever le défi de diversifier son économie, en termes d'exportations hors hydrocarbures en particulier''.
''Les progrès réalisés au cours des dernières décennies dans le développement humain et les infrastructures, et ses stocks importants en ressources énergétiques et minières fournissent des bases solides pour réaliser ce potentiel et permettent un développement économique plus fort et plus diversifié'', soutient-elle.
''Au cours des dix dernières années, l'Algérie a eu une croissance soutenue et a amélioré l'équité sociale par d’ambitieux programmes d'investissements publics'', note la BM.
''Après deux décennies de stagnation économique en conséquence de la crise des prix de pétrole dans les années 1980 et l'instabilité politique, cette tendance a été inversée durant ces dernières années'', affirme-t-elle.
''Le processus de réconciliation nationale et l’augmentation des prix du pétrole ont permis au pays de retrouver sa stabilité tandis que le gouvernement a commencé à appliquer une série de grands programmes d'investissements publics en matières d’infrastructures, d’habitat et de développement social'', poursuit la BM. Ces programmes ont été ''accompagnés par des politiques d'ouverture au commerce et à l'investissement privé, en s'appuyant sur d'importantes réformes entamées dans les années 1990'', tout en observant que le gouvernement a engagé, par la suite, une série de politiques économiques visant à réduire la dépendance du pays des importations et à soutenir les acteurs économiques locaux, inversant l'action d'ouverture du commerce et des investissements engagée auparavant.
''La rapide croissance économique enregistrée au cours des dix dernières années a été alimentée par la combinaison d'une gestion macroéconomique prudente et l’augmentation des recettes des hydrocarbures'', note la Banque mondiale.
Pour la BM, ''la politique active des dépenses centrée sur l'augmentation des investissements publics, l'amélioration des services sociaux et l'aide aux personnes défavorisées, a entraîné une réduction du chômage et de la pauvreté''.
''Cette politique budgétaire combinée avec une dette extérieure faible et une gestion économique prudente ont permis à l'Algérie de résister à l'impact de la récente crise mondiale, en dépit de la baisse des recettes des hydrocarbures''.
‘’Le rythme rapide de croissance économique hors-hydrocarbures a continué en 2009 et, malgré la forte baisse de la balance courante (en 2009) pendant la crise, la position externe est restée forte avec des réserves de change équivalant à environ 3 ans d'importations’’, note le document de cette institution.
Toutefois, constate-t-elle, ''malgré ces réalisations, l'Algérie continue à faire face à des défis majeurs en termes de diversification économique et de création d'emplois de qualité''.
''La crise économique mondiale a rappelé à l'Algérie les risques associés à la dépendance excessive du pétrole'', et la nécessité d'encourager beaucoup plus les activités hors-hydrocarbures pour créer des emplois en direction d’une ''population jeune de plus en plus qualifiée’’, explique-t-elle.
Pour cette institution financière internationale, ''l'amélioration de la qualité des dépenses publiques et les réformes significatives du climat des affaires sont des conditions préalables pour permettre cette transformation économique, assurer un meilleure ciblage des services publics, un programme d'aide sociale plus efficace, un meilleur rendement économique des investissements publics, notamment dans les infrastructures''.
Pour la BM, ''l'Algérie est à un tournant dans son développement économique. En plus de la stabilité retrouvée, elle a réalisé d'importants progrès économiques ces dernières années, une augmentation du niveau de vie et l'amélioration de ses infrastructures''.
''Son principal défi politique pour les prochaines années reste, donc, celui de la diversification de son économie, l'amélioration de la productivité et la forte création d'emplois reposant sur un nouveau modèle de croissance qui doit être plus à l'abri de la volatilité des prix du pétrole''.
APS
Prévisions de la Banque mondiale des indicateurs
macro-économiques de l’Algérie jusqu'à 2014
Voici les indicateurs macro-économiques de l’Algérie prévus par la Banque mondiale sur la période 2011-2014 (source : Document de la BM portant Cadre de Partenariat Stratégique 2011-2014) :
PIB (MDS de dollars) : 168,8 (en 2011) 178,4 (en 2012) 187,6 (en 2013) 196,2 en 2014
Taux de croissance : 3,7 % (2011) 3,6 % (2012) 3,5 % (2013) 3,4% (2014)
Hors-hydrocarbures :
Taux de croissance : 5,3 % (2011) 5,3% (2012) 5,2 % (2013) 5% (2014)
PIB/habitant : 4.798 (2011) 4.987 (2012) 5.179 (2013) 5.388 (2014) (Dollars)
Balance commerciale : 13,5 (2011) 13,7 (2012) 13,3 (2013) 12,5 (2014) (Milliards de dollars)
IDE : 1 (en 2011 et en 2012) 1,1 (en 2013 et 2014) (milliard de dollars)
Réserves de change : 171,4 (2011) 188,3 (2012) 206,9 (2013) 226,4 (2014) (milliards de dollars)
Dette publique extérieure : 3,7 (2011) 3,4 (2012) 3,2 (2013) 2,9 (2014) (milliards de dollars)
Dette pub.ext/PIB : 2,2 % (2011) 1,9 % (2012) 1,7 % (2013) 1,5% (2014)
Prix de pétrole algérien : 78,8 (2011) 82,3 (2012) 84,4 (2013) 86 (2014)
Inflation : 5 % (2011) 4,3% (2012) 4% (2013) 3,7 % (2014).
Mise en place d’un cadre de coopération quadriennal
Un nouveau cadre de coopération entre l’Algérie et la Banque mondiale va être mis en place sur la période 2011-2014 dans l’objectif de diversifier l'économie et stimuler la création d’emplois, a appris hier l’APS auprès de responsables de cette institution financière internationale.
Intitulé ''Cadre de Partenariat Stratégique'' (CPS), ce dispositif a été discuté et endossé vendredi dernier à Washington par le conseil d’administration de la BM.
Le programme d’actions pour la mise en œuvre de ce partenariat est aligné sur les priorités du gouvernement algérien qui en a validé les grandes lignes et les objectifs prioritaires.
Suite à la décision de l’Algérie, en 2004, de réduire sa dette extérieure et de ne pas recourir à des financements extérieurs pour les projets d’investissements, le portefeuille des projets avec la Banque mondiale s’est fortement réduit.
Aujourd’hui, le gouvernement souhaite organiser son partenariat avec cette institution financière au travers de prestations de conseil et d’appui ciblées dans certains secteurs et institutions publiques, explique-t-on de même source.
Dans le cadre de ce nouveau partenariat, l’intervention de la BM visera principalement à renforcer les capacités institutionnelles afin de soutenir l’objectif primordial du gouvernement de stimuler la création d’emploi par le biais d’une croissance durable et équilibrée basée sur une diversification économique.
Le CPS ''répond au choix stratégique d’un pays à revenu intermédiaire non-emprunteur, mais qui souhaite maintenir un partenariat avec la Banque mondiale reposant sur des activités de conseil et de transfert de connaissances'', explique l'institution de Bretton Woods.
Le CPS s’articulera ainsi autour de trois axes stratégiques.
Il s’agit du renforcement de la croissance par la diversification de l'économie, la promotion d’un développement durable et la réduction des disparités régionales et le renforcement des institutions de planification économique, de suivi et d'évaluation et de décision.
Pour ce qui concerne le renforcement de la croissance, il s’agira notamment de soutenir la mise en £uvre de la stratégie du développement agricole et rural, améliorer le climat d'investissement, en particulier pour les PME, et moderniser le secteur financier.
Ce qui va compléter la stratégie de la Société financière internationale (SFI, filiale de la BM) dans les activités d'assistance technique où elle a accru son engagement au cours des dernières années, notamment dans le domaine du secteur financier.
Pour l’amélioration de l'environnement des entreprises et le renforcement de diversification de l'économie, il consistera notamment à appuyer le plan d'action portant sur une stratégie industrielle centrée autour du développement de zones industrielles spécialisées, des programmes d'assistance technique et des fonds d'investissement publics aux PME (...).
Dans ce sens, l'appui de la BM consistera, dans une première phase, à l'assistance technique relative à la simplification des exigences réglementaires dans des domaines clés de l’environnement de l'entreprise et à opérer un diagnostic des mécanismes de promotion des exportations existantes (Algex notamment).
Quant au deuxième axe, il consistera à apporter un soutien technique aux initiatives du gouvernement visant à réduire les disparités régionales et d'assurer une croissance équilibrée à travers le pays, tels que le développement de pôles de compétitivité dans l'agro-industrie et d'autres secteurs, et à mettre en œuvre des initiatives de protection de l'environnement.
Le dernier axe du programme reposera notamment sur un appui technique pour renforcer la planification, la capacité de suivi et d'évaluation des différents secteurs, pour améliorer les capacités dans le domaine respectivement des statistiques et des évaluations d'impact des interventions publiques.
Pour la BM, ce programme représente un ''partenariat innovateur et stratégique'' avec un pays à revenu intermédiaire, centré principalement sur l'assistance technique où aucune opération de prêt n’est prévue, et ce, en phase avec la politique actuelle du gouvernement de ne pas engager d’emprunts extérieurs.
“Le PIB de l’Algérie par habitant (4.400 dollars en 2010) est l'un des plus élevés dans les pays de la région MENA hors-Conseil de coopération du Golfe (CCG)''
L'Algérie est en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques, mais doit relever le défi de diversifier son économie, indique la Banque mondiale dans le document portant sur le nouveau dispositif de coopération 2011-2014.
‘’L'Algérie est, aujourd'hui, en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques, tenir un rôle stratégique dans la région et contribuer à l'intégration économique entre l'Afrique du Nord, l’Europe et l’Afrique subsaharienne’’, affirme-t-elle dans sa présentation du Cadre de Partenariat Stratégique (CPS).
“Le PIB de l’Algérie par habitant (4.400 dollars en 2010) est l'un des plus élevés dans les pays de la région MENA hors-Conseil de coopération du Golfe (CCG)'', ajoute-t-elle.
Cependant, observe l’institution de Bretton Woods, à l’instar d’autres pays producteurs de pétrole, ''l'Algérie doit relever le défi de diversifier son économie, en termes d'exportations hors hydrocarbures en particulier''.
''Les progrès réalisés au cours des dernières décennies dans le développement humain et les infrastructures, et ses stocks importants en ressources énergétiques et minières fournissent des bases solides pour réaliser ce potentiel et permettent un développement économique plus fort et plus diversifié'', soutient-elle.
''Au cours des dix dernières années, l'Algérie a eu une croissance soutenue et a amélioré l'équité sociale par d’ambitieux programmes d'investissements publics'', note la BM.
''Après deux décennies de stagnation économique en conséquence de la crise des prix de pétrole dans les années 1980 et l'instabilité politique, cette tendance a été inversée durant ces dernières années'', affirme-t-elle.
''Le processus de réconciliation nationale et l’augmentation des prix du pétrole ont permis au pays de retrouver sa stabilité tandis que le gouvernement a commencé à appliquer une série de grands programmes d'investissements publics en matières d’infrastructures, d’habitat et de développement social'', poursuit la BM. Ces programmes ont été ''accompagnés par des politiques d'ouverture au commerce et à l'investissement privé, en s'appuyant sur d'importantes réformes entamées dans les années 1990'', tout en observant que le gouvernement a engagé, par la suite, une série de politiques économiques visant à réduire la dépendance du pays des importations et à soutenir les acteurs économiques locaux, inversant l'action d'ouverture du commerce et des investissements engagée auparavant.
''La rapide croissance économique enregistrée au cours des dix dernières années a été alimentée par la combinaison d'une gestion macroéconomique prudente et l’augmentation des recettes des hydrocarbures'', note la Banque mondiale.
Pour la BM, ''la politique active des dépenses centrée sur l'augmentation des investissements publics, l'amélioration des services sociaux et l'aide aux personnes défavorisées, a entraîné une réduction du chômage et de la pauvreté''.
''Cette politique budgétaire combinée avec une dette extérieure faible et une gestion économique prudente ont permis à l'Algérie de résister à l'impact de la récente crise mondiale, en dépit de la baisse des recettes des hydrocarbures''.
‘’Le rythme rapide de croissance économique hors-hydrocarbures a continué en 2009 et, malgré la forte baisse de la balance courante (en 2009) pendant la crise, la position externe est restée forte avec des réserves de change équivalant à environ 3 ans d'importations’’, note le document de cette institution.
Toutefois, constate-t-elle, ''malgré ces réalisations, l'Algérie continue à faire face à des défis majeurs en termes de diversification économique et de création d'emplois de qualité''.
''La crise économique mondiale a rappelé à l'Algérie les risques associés à la dépendance excessive du pétrole'', et la nécessité d'encourager beaucoup plus les activités hors-hydrocarbures pour créer des emplois en direction d’une ''population jeune de plus en plus qualifiée’’, explique-t-elle.
Pour cette institution financière internationale, ''l'amélioration de la qualité des dépenses publiques et les réformes significatives du climat des affaires sont des conditions préalables pour permettre cette transformation économique, assurer un meilleure ciblage des services publics, un programme d'aide sociale plus efficace, un meilleur rendement économique des investissements publics, notamment dans les infrastructures''.
Pour la BM, ''l'Algérie est à un tournant dans son développement économique. En plus de la stabilité retrouvée, elle a réalisé d'importants progrès économiques ces dernières années, une augmentation du niveau de vie et l'amélioration de ses infrastructures''.
''Son principal défi politique pour les prochaines années reste, donc, celui de la diversification de son économie, l'amélioration de la productivité et la forte création d'emplois reposant sur un nouveau modèle de croissance qui doit être plus à l'abri de la volatilité des prix du pétrole''.
APS
Prévisions de la Banque mondiale des indicateurs
macro-économiques de l’Algérie jusqu'à 2014
Voici les indicateurs macro-économiques de l’Algérie prévus par la Banque mondiale sur la période 2011-2014 (source : Document de la BM portant Cadre de Partenariat Stratégique 2011-2014) :
PIB (MDS de dollars) : 168,8 (en 2011) 178,4 (en 2012) 187,6 (en 2013) 196,2 en 2014
Taux de croissance : 3,7 % (2011) 3,6 % (2012) 3,5 % (2013) 3,4% (2014)
Hors-hydrocarbures :
Taux de croissance : 5,3 % (2011) 5,3% (2012) 5,2 % (2013) 5% (2014)
PIB/habitant : 4.798 (2011) 4.987 (2012) 5.179 (2013) 5.388 (2014) (Dollars)
Balance commerciale : 13,5 (2011) 13,7 (2012) 13,3 (2013) 12,5 (2014) (Milliards de dollars)
IDE : 1 (en 2011 et en 2012) 1,1 (en 2013 et 2014) (milliard de dollars)
Réserves de change : 171,4 (2011) 188,3 (2012) 206,9 (2013) 226,4 (2014) (milliards de dollars)
Dette publique extérieure : 3,7 (2011) 3,4 (2012) 3,2 (2013) 2,9 (2014) (milliards de dollars)
Dette pub.ext/PIB : 2,2 % (2011) 1,9 % (2012) 1,7 % (2013) 1,5% (2014)
Prix de pétrole algérien : 78,8 (2011) 82,3 (2012) 84,4 (2013) 86 (2014)
Inflation : 5 % (2011) 4,3% (2012) 4% (2013) 3,7 % (2014).
Mise en place d’un cadre de coopération quadriennal
Un nouveau cadre de coopération entre l’Algérie et la Banque mondiale va être mis en place sur la période 2011-2014 dans l’objectif de diversifier l'économie et stimuler la création d’emplois, a appris hier l’APS auprès de responsables de cette institution financière internationale.
Intitulé ''Cadre de Partenariat Stratégique'' (CPS), ce dispositif a été discuté et endossé vendredi dernier à Washington par le conseil d’administration de la BM.
Le programme d’actions pour la mise en œuvre de ce partenariat est aligné sur les priorités du gouvernement algérien qui en a validé les grandes lignes et les objectifs prioritaires.
Suite à la décision de l’Algérie, en 2004, de réduire sa dette extérieure et de ne pas recourir à des financements extérieurs pour les projets d’investissements, le portefeuille des projets avec la Banque mondiale s’est fortement réduit.
Aujourd’hui, le gouvernement souhaite organiser son partenariat avec cette institution financière au travers de prestations de conseil et d’appui ciblées dans certains secteurs et institutions publiques, explique-t-on de même source.
Dans le cadre de ce nouveau partenariat, l’intervention de la BM visera principalement à renforcer les capacités institutionnelles afin de soutenir l’objectif primordial du gouvernement de stimuler la création d’emploi par le biais d’une croissance durable et équilibrée basée sur une diversification économique.
Le CPS ''répond au choix stratégique d’un pays à revenu intermédiaire non-emprunteur, mais qui souhaite maintenir un partenariat avec la Banque mondiale reposant sur des activités de conseil et de transfert de connaissances'', explique l'institution de Bretton Woods.
Le CPS s’articulera ainsi autour de trois axes stratégiques.
Il s’agit du renforcement de la croissance par la diversification de l'économie, la promotion d’un développement durable et la réduction des disparités régionales et le renforcement des institutions de planification économique, de suivi et d'évaluation et de décision.
Pour ce qui concerne le renforcement de la croissance, il s’agira notamment de soutenir la mise en £uvre de la stratégie du développement agricole et rural, améliorer le climat d'investissement, en particulier pour les PME, et moderniser le secteur financier.
Ce qui va compléter la stratégie de la Société financière internationale (SFI, filiale de la BM) dans les activités d'assistance technique où elle a accru son engagement au cours des dernières années, notamment dans le domaine du secteur financier.
Pour l’amélioration de l'environnement des entreprises et le renforcement de diversification de l'économie, il consistera notamment à appuyer le plan d'action portant sur une stratégie industrielle centrée autour du développement de zones industrielles spécialisées, des programmes d'assistance technique et des fonds d'investissement publics aux PME (...).
Dans ce sens, l'appui de la BM consistera, dans une première phase, à l'assistance technique relative à la simplification des exigences réglementaires dans des domaines clés de l’environnement de l'entreprise et à opérer un diagnostic des mécanismes de promotion des exportations existantes (Algex notamment).
Quant au deuxième axe, il consistera à apporter un soutien technique aux initiatives du gouvernement visant à réduire les disparités régionales et d'assurer une croissance équilibrée à travers le pays, tels que le développement de pôles de compétitivité dans l'agro-industrie et d'autres secteurs, et à mettre en œuvre des initiatives de protection de l'environnement.
Le dernier axe du programme reposera notamment sur un appui technique pour renforcer la planification, la capacité de suivi et d'évaluation des différents secteurs, pour améliorer les capacités dans le domaine respectivement des statistiques et des évaluations d'impact des interventions publiques.
Pour la BM, ce programme représente un ''partenariat innovateur et stratégique'' avec un pays à revenu intermédiaire, centré principalement sur l'assistance technique où aucune opération de prêt n’est prévue, et ce, en phase avec la politique actuelle du gouvernement de ne pas engager d’emprunts extérieurs.
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Oups. Merci Moss d'avoir mis en ligne le rapport de la banque mondiale.
Hé, les étudiants en économie; où êtes vous ?
j'attends vos critiques sur ce rapport; j'en ai relevé plusieurs. Sinon, je serai fou et à aliéner si après une conclusion aussi favorable j'aille manifester contre le régime le 19 février prochain.
Car si ce rapport dit vrai et est vraiment objectif, nous autres n'habitons pas dans le même pays décrit dans ce rapport.
Aya, décortiquez le, que dis je lisez le simplement, pas besoin de se creuser la tête.
Pour vous aider, regardez qui l'a signé. (La voix de son maitre, l'APS)
Hé, les étudiants en économie; où êtes vous ?
j'attends vos critiques sur ce rapport; j'en ai relevé plusieurs. Sinon, je serai fou et à aliéner si après une conclusion aussi favorable j'aille manifester contre le régime le 19 février prochain.
Car si ce rapport dit vrai et est vraiment objectif, nous autres n'habitons pas dans le même pays décrit dans ce rapport.
Aya, décortiquez le, que dis je lisez le simplement, pas besoin de se creuser la tête.
Pour vous aider, regardez qui l'a signé. (La voix de son maitre, l'APS)
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
@ tchina ;bla l'emzia
La mise en garde de Washington : Obama met en garde Bouteflika ...
lire la suite : http://www.lematindz.net/news/3721-la-mise-en-garde-de-washington-obama-met-en-garde-bouteflika-avant-quil-ne-.html
La mise en garde de Washington : Obama met en garde Bouteflika ...
lire la suite : http://www.lematindz.net/news/3721-la-mise-en-garde-de-washington-obama-met-en-garde-bouteflika-avant-quil-ne-.html
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Les dessous du rapport de la Banque mondiale
En 2014, l'Algérie restera un pays sous-développé
Durant les quatre prochaines années, la situation économique de
l'Algérie ne va pas fondamentalement s'améliorer. C’est paradoxalement
le principal enseignement des chiffres macro-économiques en apparence
positifs, contenus dans le dernier rapport de la Banque mondiale,
dévoilé lundi 14 février par l’agence APS.
Certes, selon le rapport, le PIB (Produit intérieur brut) algérien
passera de 168,8 milliards de dollars en 2011 à 196,2 milliards en
2014, soit une hausse de 16,23% sur quatre ans. Mais dans le même
temps, le prix du baril de pétrole algérien passera de 78,8 dollars à
86 dollars, soit une hausse de 9,13%, selon la Banque mondiale. La part
du prix du baril dans cette hausse du PIB attendu est dominante. Elle
montre que l’économie algérienne restera dépendante des fluctuations
des marchés pétroliers internationaux. Car rien ne garantit qu’un
événement exceptionnel ne fasse pas passer les prix sous les 78,8
dollars d’ici à quatre ans.
L’autre indicateur inquiétant concerne les IDE (investissements direct
étrangers). Ils seront de 1 milliard de dollars en 2011 et 2012, puis
attendront 1,1 milliard respectivement en 2013 et 2014. Comprendre :
non seulement l’Algérie ne va pas attirer de nombreux investisseurs
étrangers mais les investissements étrangers vont demeurer une source
de pertes de devises pour l’Etat algérien. Les investisseurs déjà
présents vont en effet continuer d'exporter leurs dividendes vers
l’étranger (quelques milliards de dollars par an). En contrepartie, à
cause de la loi de finances complémentaire 2009, les nouveaux
investissements resteront à un niveau faible (un milliard de dollars).
Au lieu de rapporter de l’argent dans les caisses de l’Etat, les
investissements étrangers vont se transformer dans les prochaines
années en source de pertes pour l’Algérie.
A cela s’ajoute une hausse des stocks des IDE (la valeur des
investissements) qui va augmenter, représentant une richesse
supplémentaire pour les entreprises déjà implantées. Ces chiffres
montrent clairement que les mesures économiques du gouvernement Ouyahia
favorisent les investisseurs étrangers déjà présents en Algérie au
détriment de nouveaux investissements.
Dans le même temps, l’investissement privé local a de faibles chances
de se développer et de créer des richesses tant que le secteur bancaire
n’est pas réformé et les pressions politiques et fiscales sur les
entreprises les plus en vue ne reculeront pas. Actuellement, le système
bancaire favorise tous catégories d’investisseurs locaux : ceux ayant
des appuis politiques solides et ceux qui possèdent déjà d’importantes
fortunes et donc capables de fournir des garanties. Une machine à
fabriquer des inégalités.
Le troisième indicateur qui suscite l’inquiétude concerne la
croissance. Elle passera de 3,7% en 2011 à 3,4% en 2014 (en hors
hydrocarbures : de 5,3% à 5%). En clair, en 2014, l’Algérie produira
moins de richesses supplémentaires en 2014 qu’en 2011. Or, en 2014,
l’Algérie sera à seulement six à dix ans de la fin de ses exportations
de pétrole, selon les projections de spécialistes basées sur les
réserves actuelles du pays.
Enfin, le PIB par habitant ne va pas progresser fortement : il
passera de 4.798 dollars en 2011 à 5.388 dollars en 2014, soit une
hausse de 12%. Le PIB par habitant est un des principaux indicateurs du
niveau de développement d’un pays. Un pays est considéré comme
développé à partir d'un PIB par habitant de 20 000 dollars. En 2014,
l’Algérie restera un pays sous-développé et les Algériens toujours
pauvres. La perspective d’une vie meilleure, régulièrement promise par
le gouvernent, n’est pas pour demain.
Rappel des principales données publiées par la Banque mondiale :
PIB (MDS de dollars) : 168,8 (en 2011) 178,4 (en 2012) 187,6 (en 2013) 196,2 en 2014
Taux de croissance : 3,7 % (2011) 3,6 % (2012) 3,5 % (2013) 3,4 % (2014)
Taux de croissance hors hydrocarbures : 5,3 % (2011) 5,3 % (2012) 5,2 % (2013) 5 % (2014)
PIB/habitant : 4798 (2011) 4987 (2012) 5179 (2013) 5388 (2014) (Dollars)
Balance commerciale : 13,5 (2011) 13,7 (2012) 13,3 (2013) 12,5 (2014) (Milliards de dollars)
IDE: 1 (en 2011 et en 2012) 1,1 (en 2013 et 2014) (Milliard de dollars)
Réserves de change : 171,4 (2011) 188,3 (2012) 206,9 (2013) 226,4 (2014) (Milliards de dollars)
Dette publique extérieure : 3,7 (2011) 3,4 (2012) 3,2 (2013) 2,9 (2014) (Milliards de dollars)
Dette pub.ext/PIB : 2,2 % (2011) 1,9 % (2012) 1,7 % (2013) 1,5 % (2014)
Prix du pétrole algérien : 78,8 (2011) 82,3 (2012) 84,4 (2013) 86 (2014)
Inflation : 5 % (2011) 4,3% (2012) 4% (2013) 3,7 % (2014).
En 2014, l'Algérie restera un pays sous-développé
Durant les quatre prochaines années, la situation économique de
l'Algérie ne va pas fondamentalement s'améliorer. C’est paradoxalement
le principal enseignement des chiffres macro-économiques en apparence
positifs, contenus dans le dernier rapport de la Banque mondiale,
dévoilé lundi 14 février par l’agence APS.
Certes, selon le rapport, le PIB (Produit intérieur brut) algérien
passera de 168,8 milliards de dollars en 2011 à 196,2 milliards en
2014, soit une hausse de 16,23% sur quatre ans. Mais dans le même
temps, le prix du baril de pétrole algérien passera de 78,8 dollars à
86 dollars, soit une hausse de 9,13%, selon la Banque mondiale. La part
du prix du baril dans cette hausse du PIB attendu est dominante. Elle
montre que l’économie algérienne restera dépendante des fluctuations
des marchés pétroliers internationaux. Car rien ne garantit qu’un
événement exceptionnel ne fasse pas passer les prix sous les 78,8
dollars d’ici à quatre ans.
L’autre indicateur inquiétant concerne les IDE (investissements direct
étrangers). Ils seront de 1 milliard de dollars en 2011 et 2012, puis
attendront 1,1 milliard respectivement en 2013 et 2014. Comprendre :
non seulement l’Algérie ne va pas attirer de nombreux investisseurs
étrangers mais les investissements étrangers vont demeurer une source
de pertes de devises pour l’Etat algérien. Les investisseurs déjà
présents vont en effet continuer d'exporter leurs dividendes vers
l’étranger (quelques milliards de dollars par an). En contrepartie, à
cause de la loi de finances complémentaire 2009, les nouveaux
investissements resteront à un niveau faible (un milliard de dollars).
Au lieu de rapporter de l’argent dans les caisses de l’Etat, les
investissements étrangers vont se transformer dans les prochaines
années en source de pertes pour l’Algérie.
A cela s’ajoute une hausse des stocks des IDE (la valeur des
investissements) qui va augmenter, représentant une richesse
supplémentaire pour les entreprises déjà implantées. Ces chiffres
montrent clairement que les mesures économiques du gouvernement Ouyahia
favorisent les investisseurs étrangers déjà présents en Algérie au
détriment de nouveaux investissements.
Dans le même temps, l’investissement privé local a de faibles chances
de se développer et de créer des richesses tant que le secteur bancaire
n’est pas réformé et les pressions politiques et fiscales sur les
entreprises les plus en vue ne reculeront pas. Actuellement, le système
bancaire favorise tous catégories d’investisseurs locaux : ceux ayant
des appuis politiques solides et ceux qui possèdent déjà d’importantes
fortunes et donc capables de fournir des garanties. Une machine à
fabriquer des inégalités.
Le troisième indicateur qui suscite l’inquiétude concerne la
croissance. Elle passera de 3,7% en 2011 à 3,4% en 2014 (en hors
hydrocarbures : de 5,3% à 5%). En clair, en 2014, l’Algérie produira
moins de richesses supplémentaires en 2014 qu’en 2011. Or, en 2014,
l’Algérie sera à seulement six à dix ans de la fin de ses exportations
de pétrole, selon les projections de spécialistes basées sur les
réserves actuelles du pays.
Enfin, le PIB par habitant ne va pas progresser fortement : il
passera de 4.798 dollars en 2011 à 5.388 dollars en 2014, soit une
hausse de 12%. Le PIB par habitant est un des principaux indicateurs du
niveau de développement d’un pays. Un pays est considéré comme
développé à partir d'un PIB par habitant de 20 000 dollars. En 2014,
l’Algérie restera un pays sous-développé et les Algériens toujours
pauvres. La perspective d’une vie meilleure, régulièrement promise par
le gouvernent, n’est pas pour demain.
Rappel des principales données publiées par la Banque mondiale :
PIB (MDS de dollars) : 168,8 (en 2011) 178,4 (en 2012) 187,6 (en 2013) 196,2 en 2014
Taux de croissance : 3,7 % (2011) 3,6 % (2012) 3,5 % (2013) 3,4 % (2014)
Taux de croissance hors hydrocarbures : 5,3 % (2011) 5,3 % (2012) 5,2 % (2013) 5 % (2014)
PIB/habitant : 4798 (2011) 4987 (2012) 5179 (2013) 5388 (2014) (Dollars)
Balance commerciale : 13,5 (2011) 13,7 (2012) 13,3 (2013) 12,5 (2014) (Milliards de dollars)
IDE: 1 (en 2011 et en 2012) 1,1 (en 2013 et 2014) (Milliard de dollars)
Réserves de change : 171,4 (2011) 188,3 (2012) 206,9 (2013) 226,4 (2014) (Milliards de dollars)
Dette publique extérieure : 3,7 (2011) 3,4 (2012) 3,2 (2013) 2,9 (2014) (Milliards de dollars)
Dette pub.ext/PIB : 2,2 % (2011) 1,9 % (2012) 1,7 % (2013) 1,5 % (2014)
Prix du pétrole algérien : 78,8 (2011) 82,3 (2012) 84,4 (2013) 86 (2014)
Inflation : 5 % (2011) 4,3% (2012) 4% (2013) 3,7 % (2014).
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Et voilà. je ne croyais pas si bien dire. Ce qui est développé dans la critique précédente n'est pas exhaustif. Car à la lecture du rapport sur la BM développé par l'APS, tout est parfait et on n'a pas besoin d'aller chercher un autre président, ni remplacé la troïka qui nous gouverne sans partage depuis 10 ans.
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
par Yacine
,,,, ceux qui visent boutef,,,,, ne veulent pas le vrai changent enta3 essah ,,,,,, habbinha fawda bark !!!!!!! ida habbin sah eddirou un changement ,, mettez vos doigts sur le mal !!! les militaires corrompus,,, les généraux ,, les faux FLNnistes,,, les faux chouhada ,,, les faux fils de chouhada ,,,,,les nouveaux riches,, mana3reeef mnine jaw ,,,,les DRSiste !!! voilà ,,, comme ça ,, yetteeeba3koum echa3b sah sah ,,,, mais tebkaw tenbhou 3la bouteeefff ?? aw waheed mayeessma3alkouuuuuum!
,,,, ceux qui visent boutef,,,,, ne veulent pas le vrai changent enta3 essah ,,,,,, habbinha fawda bark !!!!!!! ida habbin sah eddirou un changement ,, mettez vos doigts sur le mal !!! les militaires corrompus,,, les généraux ,, les faux FLNnistes,,, les faux chouhada ,,, les faux fils de chouhada ,,,,,les nouveaux riches,, mana3reeef mnine jaw ,,,,les DRSiste !!! voilà ,,, comme ça ,, yetteeeba3koum echa3b sah sah ,,,, mais tebkaw tenbhou 3la bouteeefff ?? aw waheed mayeessma3alkouuuuuum!
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
moss34 a écrit:
Ah ya ferroudja, puisque tu l'aimes, épouse le. il est encore célibataire.
Par contre ne compte, pas trop hériter après sa mort car tout ira à son frêre.
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Je veux lui envoyer un texto, mais je l'ai pas trouver sur face, dommage!
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
moi je trouve ke ya du vrai dans ce qu'elle dit
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Bourtouqal banafsadji a écrit:moss34 a écrit:
Ah ya ferroudja, puisque tu l'aimes, épouse le. il est encore célibataire.
Par contre ne compte, pas trop hériter après sa mort car tout ira à son frêre.
Je vous présente la 1ére Dame D'Algérie : Amel Triki Bouteflika la fille du Diplomate Yahia triki un ancien Ambasadeur de l'Algérie aux Caire
boutef c'est marié pendent quelques jours pour passer president et arnaquer tous les algeriens, étant donné que notre constitution exige d'un homme d'étre marié pour être présidentiable !!! L'ARNAQUUUUE !!!!!!!!!!!!!!!!!
ils se sont marié dans un appart dans la rue duc des cars bref : et maint elle vie à Paris elle lui a dis Quelle ne vivras jamais en Algérie mais elle n'es pas médiatisé psk secret d'état exsige ché pas quelle histoire se cache deriére tous ça ( en dis que c juste pour pas dire o yeux des autre nation que boutef n'es pas marié es pour pas dire de lui qu'il es gay à la tete d'un pays arabe es musulmant ) voilà
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
La vraie question est : est ce on doit sauver l'Algérie ou se sauver de l'Algérie.
Comment tu veux rester optimiste quand tu vois des gens comme Farouja défendent ces mafieux corrompus
Comment tu veux rester optimiste quand tu vois des gens comme Farouja défendent ces mafieux corrompus
Dernière édition par Soprano le Mer 16 Fév - 3:10, édité 3 fois
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Selon All Jerry : "Ces événements qui opposent les citoyens de la localité de Chorfa à leur brigade de gendarmerie depuis trois jours sont survenus suite à l’arrestation et au tabassage de trois jeunes du même village par ce corps de l’armée algérienne."
voila une tof de l'un des blessés des affrontements qui sont éclatés entres manifestants et les gendarmes de la ville de Chorfa, commune située à 40km à l’est de Bouira, La population locale dénonce une « descente punitive ».
voila une tof de l'un des blessés des affrontements qui sont éclatés entres manifestants et les gendarmes de la ville de Chorfa, commune située à 40km à l’est de Bouira, La population locale dénonce une « descente punitive ».
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
URGENT :
Manif du Gouvernement !
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
L'entretien avec Mr Ahmed Benbitoure au forum Echourouk
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