12 Février 2011: Le début de la fin
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Bled Mickey
Le gouvernement annule l’interet sue les crédits déstinés aux jeunes.
le gouvernement a décidé l’annulation de l’intérêt sur les crédits destinés aux jeunes désirant créer des petites ou moyennes entreprises (PME), dans le cadre des mécanismes de soutien à l’emploi de jeunes. Les banques financeront quelques cent milles dossiers par an.
Le gouvernement a aussi décidé de baisser le taux de participation personnelle pour les jeunes désirant créer des petites entreprises, dans le cadre des mécanismes de soutien à l’emploi de jeunes ou celles relatives à l’ANSEJ et l’ANGEM, à 1% au lieu de 5% auparavant. Le trésor public versera le taux d’intérêt de 1% et ce, dans le but d’encourager l’investissement et le renforcement de l’économie nationale.
Des textes réglementaires relatifs à ces nouvelles mesures seront mis prêts dans les jours à venir.
Un exposé relatif à ces nouvelles mesures sera présenté devant le conseil du gouvernement par le ministre du travail, de l’emploi et de la sécurité sociale. Ces mesures tendent à améliorer les modes de soutiens publics aux jeunes concernés par les micro-crédits.
Source : Algerie 360°
Le gouvernement annule l’interet sue les crédits déstinés aux jeunes.
le gouvernement a décidé l’annulation de l’intérêt sur les crédits destinés aux jeunes désirant créer des petites ou moyennes entreprises (PME), dans le cadre des mécanismes de soutien à l’emploi de jeunes. Les banques financeront quelques cent milles dossiers par an.
Le gouvernement a aussi décidé de baisser le taux de participation personnelle pour les jeunes désirant créer des petites entreprises, dans le cadre des mécanismes de soutien à l’emploi de jeunes ou celles relatives à l’ANSEJ et l’ANGEM, à 1% au lieu de 5% auparavant. Le trésor public versera le taux d’intérêt de 1% et ce, dans le but d’encourager l’investissement et le renforcement de l’économie nationale.
Des textes réglementaires relatifs à ces nouvelles mesures seront mis prêts dans les jours à venir.
Un exposé relatif à ces nouvelles mesures sera présenté devant le conseil du gouvernement par le ministre du travail, de l’emploi et de la sécurité sociale. Ces mesures tendent à améliorer les modes de soutiens publics aux jeunes concernés par les micro-crédits.
Source : Algerie 360°
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
La vache a subitement développé un pis de plus.
Faudra mettre plus de pression les gars.
Par contre si on continue comme cela, on va vite vider les caisses.
Que restera t-il à nos enfants ? Réagir ainsi dans la précipitationmenera le pays à la banqueroute
Faudra mettre plus de pression les gars.
Par contre si on continue comme cela, on va vite vider les caisses.
Que restera t-il à nos enfants ? Réagir ainsi dans la précipitationmenera le pays à la banqueroute
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
En attendant de mettre l'accent sur la qualité de l'enseignement ..
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Aigu, circonflexe ou grave ?
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Peu importe ... assez visible c'est le plus important.
Je ne sais pas trop pourquoi, se battre juste pour le titre, alors que le plus important, n'est pas disponible.
Je ne sais pas trop pourquoi, se battre juste pour le titre, alors que le plus important, n'est pas disponible.
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Rastacool a écrit:Peu importe ... assez visible c'est le plus important.
Je ne sais pas trop pourquoi, se battre juste pour le titre, alors que le plus important, n'est pas disponible.
???
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Selon “Le Canard Enchaîné” : Chérif Rahmani possède plusieurs biens immobiliers à Paris
Dans son édition du mercredi 16 février 2011, le journal satirique français “Le Canard Enchaîné” épingle le ministre algérien de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire Chérif Rahmani.
L’hebdomadaire français révèle, en effet, que le ministre algérien, “inamovible des cercles du Pouvoir depuis 30 ans”, possède au moins
trois propriétés immobilières dans le très chic quartier parisien du XVI arrondissement. Selon cette source, M. Rahmani possède un appartement de 85m2 à la rue Singer, un studio de 20m2 à la rue Lekain et un deux pièces de 31m2 à la rue des Sablons.
Le journal français précise que ces trois propriétés sont regroupées au sein d’une société civile immobilière, la SCI Fomm détenue par l’épouse de M. Rahmani. “Le Canard Enchaîné” indique que tous ces biens ont été acquis au début des années 90 par des proches du ministre algérien, “y compris son chauffeur”, puis intégrés dans diverses SCI qui ont finalement atterri entre les mains de madame Rahmani.
L’hebdomadaire satirique donne aussi quelques détails sur la fortune du couple Rahmani en indiquant qu’il avait bénéficié, début 2000, d’une propriété de l’Etat qui accueillait l’ambassade du Pakistan à Alger pour “quelques kilos de dattes”. Une propriété que les Rahmani ont revendue 800.000 euros quelques années plus tard.
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Bouteflika mis sous tutelle de l’armée
C’est l’armée qui a pris les choses en main en Algérie. A l’annonce de l’organisation de manifestations à Alger contre le régime, les généraux ont décidé de gérer eux-mêmes cette crise.
Ainsi, le palais El Mouradia a été mis de côté et les décisions les plus importantes ont été prises au siège de l’état-major. Alors qu’au début, toute contestation contre Abdelaziz Bouteflika semblait la bienvenue de la part des militaires, la donne a radicalement changé depuis la chute de Ben Ali et de Moubarak. Aujourd’hui, les militaires algériens sont conscients que si la contestation venait à prendre, personne ne peut savoir sur quoi elle peut déboucher. C’est pourquoi la levée de l’état d’urgence a été décidée, de même que l’idée d’un vaste remaniement gouvernemental commence à faire son chemin.
Il semblerait que l’on cherche à remplacer Ahmed Ouyahiya, devenu très impopulaire. L’armée reproche au président Bouteflika et à la classe politique de ne pas avoir tiré avantage des montagnes de devises dont dispose le pays afin de relancer la machine économique. Face aux réticences du président Abdelaziz Bouteflika, les généraux ont pris les commandes et ont décidé de contrer fermement les manifestations et de lancer quelques réformes. Une manière de mettre le président sous tutelle jusqu’aux prochaines élections présidentielles.
(maghreb-intelligence.com)
le lien et la source :
http://www.algerie-focus.com/2011/02/16/bouteflika-mis-sous-tutelle-de-l%E2%80%99armee/
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
MIM0U a écrit:ça était le cas depuis toujours d'ailleurs
wellah a sidi
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
BIYOUNA FUTURE PRESIDENTE !
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Combat d'arrière garde. Trop tard !!!
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Alger :13 blindés des forces antiémeutes quadrillent une manifestation estudiantine et 28 000 étudiants de l' USTHB paralysent l’université
2011.02.16 Fadila Mokhtari/
Haua ya taliano, rak qabel oula la?
Des milliers d’étudiants des universités et des écoles supérieures, ont organisé un sit-in devant le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et ont empêché, ainsi, le employés de ministère de rejoindre leurs bureaux .
Ces étudiants ont scandé des slogans estudiantins, politiques et sportifs. Face à cette situation, le département de Harraoubia a demandé l’intervention des forces antiémeutes, après que des étudiants aient allumé des fumigènes et brûlé leurs cartes d’étudiant et certificats de scolarité qui ne valent pas un clou. Dès les premières heures de mercredi, des milliers d’étudiants, filles et garçons, se sont rassemblés devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La majorité d’entre eux sont issus des écoles supérieures, qui ont brandi des pancartes sur lesquelles l’on pouvait lire : « Rendez-nous nos diplômes d’ingénieurs d’ État. Ne nous comparez pas aux diplômés du nouveau système LMD ». La plupart des slogans visant le départ de Harraoubia « Harraoubia, dégage ! ». L’un des étudiants brandi une pancarte sur laquelle a été écrit : « Ingénieur inférieur », et a lancé : « C’est injuste d’obtenir un baccalauréat à 14/20 et rejoindre des écoles supérieures sur la base d’un concours national et puis passer des nuits à réviser pour obtenir ce précieux diplôme d’ingénieur d’ État. En revanche, on se retrouve face un décret présidentiel qui annule ce diplôme et considère notre statut à celui d’un diplômé LMD ». Ces étudiants, en colère, ont répété des slogans jusqu’à l’après-midi de mercredi, où des étudiants de la Faculté des sciences politiques et de l'information sont venus en masse rejoindre leurs collègues dans leur mouvement de protestation. Face à cette manifestation, des fonctionnaires du département de Harraoubia n’ont pu rejoindre leurs bureaux, après que ces étudiants s'étaient assis par terre. Par conséquent, 13 blindés des forces antiémeutes étaient intervenus pour disperser la foule d’étudiants et libérer les accès du ministère. Mais, les étudiants ont refusé d’évacuer les lieux. Le ministère, de son côté, a tenté de calmer les esprits des étudiants en colère, en leur demandant de designer leurs représentants pour qu’ils soient reçus par Rachid Harraoubia. Ces étudiants ne sont dupes, ils savent que ce décret présidentiel ne sera annulé que par un autre décret présidentiel. Force est de souligner, que les forces antiémeutes n’ont pas quitté le périmètre entre la Faculté des sciences politiques et de l’information et l’Institut national de planification et statistiques (INPS) ainsi que le siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
28 000 étudiants de l'USTHB ont paralysé l'université
Les étudiants de l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene (USTHB) ont bloqué tous les accès vers l’université et vers toutes les facultés de cette université. Toutes les autres structures ont été également fermées à l’instar des clubs et des bibliothèques ainsi que la station des COUS de transport d’étudiants. Cela a paralysé toute l’université qui abrite 28 000 étudiants et plus de 1500 enseignants universitaires. Ces étudiants ont menacé de durcir le ton, en procédant, d’ailleurs, à constituer une commission qui sera chargée de prendre attache avec le ministère de l’Enseignement supérieur et lui remis une liste de revendications.
Les revendications des étudiants sont :
* Maintenir le diplôme d’ingénieur d’ État sur la base du système classique
* Équivalence du diplôme d’ingénieur d’ État avec celui du Master (bac+5) par les Conseils scientifiques des facultés
* Équivalence entre le diplôme des études supérieures avec le Master 1 (bac+4) assurant l’accès de ces diplômés en Master 2
* Équivalence entre le diplôme des études supérieures avec celui du (bac+4) + études post-graduation avec celui du Master (bac+5)
* Équivalence du diplôme de magistère avec celui de la 2e année d’école doctorale (LMD) en donnant le choix aux étudiants de poursuivre leurs études avec le système LMD ou de s’inscrire en 3e année d’école doctorale
Les revendications des étudiants dépendent d’un décret présidentiel qui ne sera annulé que par un autre décret
Harraoubia réunit les représentants d’organisations estudiantines et les doyens des facultés pour contenir la pression des étudiants
Le ministre de l’Enseignement supérieur a tenu, mercredi, une rencontre avec les représentants d’organisations estudiantines vers 16h30. Il a été demandé aux représentants des étudiants, lors de cette rencontre, de présenter une liste de revendications et de préoccupations et les raisons du boycott des examens du 1er semestre dans ces universités paralysées. Une rencontre prévue aujourd’hui, entre Rachid Harraoubia, des recteurs des universités ainsi que des doyens des facultés pour contenir la pression qui règne au sein des universités. Rappelons-le, que c’était le décret présidentiel initié par le ministère de l’Enseignement supérieur le 15 décembre 2010, qui est à l’origine de la colère qui règne dans les universités du pays..[i]
2011.02.16 Fadila Mokhtari/
Haua ya taliano, rak qabel oula la?
Des milliers d’étudiants des universités et des écoles supérieures, ont organisé un sit-in devant le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et ont empêché, ainsi, le employés de ministère de rejoindre leurs bureaux .
Ces étudiants ont scandé des slogans estudiantins, politiques et sportifs. Face à cette situation, le département de Harraoubia a demandé l’intervention des forces antiémeutes, après que des étudiants aient allumé des fumigènes et brûlé leurs cartes d’étudiant et certificats de scolarité qui ne valent pas un clou. Dès les premières heures de mercredi, des milliers d’étudiants, filles et garçons, se sont rassemblés devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La majorité d’entre eux sont issus des écoles supérieures, qui ont brandi des pancartes sur lesquelles l’on pouvait lire : « Rendez-nous nos diplômes d’ingénieurs d’ État. Ne nous comparez pas aux diplômés du nouveau système LMD ». La plupart des slogans visant le départ de Harraoubia « Harraoubia, dégage ! ». L’un des étudiants brandi une pancarte sur laquelle a été écrit : « Ingénieur inférieur », et a lancé : « C’est injuste d’obtenir un baccalauréat à 14/20 et rejoindre des écoles supérieures sur la base d’un concours national et puis passer des nuits à réviser pour obtenir ce précieux diplôme d’ingénieur d’ État. En revanche, on se retrouve face un décret présidentiel qui annule ce diplôme et considère notre statut à celui d’un diplômé LMD ». Ces étudiants, en colère, ont répété des slogans jusqu’à l’après-midi de mercredi, où des étudiants de la Faculté des sciences politiques et de l'information sont venus en masse rejoindre leurs collègues dans leur mouvement de protestation. Face à cette manifestation, des fonctionnaires du département de Harraoubia n’ont pu rejoindre leurs bureaux, après que ces étudiants s'étaient assis par terre. Par conséquent, 13 blindés des forces antiémeutes étaient intervenus pour disperser la foule d’étudiants et libérer les accès du ministère. Mais, les étudiants ont refusé d’évacuer les lieux. Le ministère, de son côté, a tenté de calmer les esprits des étudiants en colère, en leur demandant de designer leurs représentants pour qu’ils soient reçus par Rachid Harraoubia. Ces étudiants ne sont dupes, ils savent que ce décret présidentiel ne sera annulé que par un autre décret présidentiel. Force est de souligner, que les forces antiémeutes n’ont pas quitté le périmètre entre la Faculté des sciences politiques et de l’information et l’Institut national de planification et statistiques (INPS) ainsi que le siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
28 000 étudiants de l'USTHB ont paralysé l'université
Les étudiants de l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene (USTHB) ont bloqué tous les accès vers l’université et vers toutes les facultés de cette université. Toutes les autres structures ont été également fermées à l’instar des clubs et des bibliothèques ainsi que la station des COUS de transport d’étudiants. Cela a paralysé toute l’université qui abrite 28 000 étudiants et plus de 1500 enseignants universitaires. Ces étudiants ont menacé de durcir le ton, en procédant, d’ailleurs, à constituer une commission qui sera chargée de prendre attache avec le ministère de l’Enseignement supérieur et lui remis une liste de revendications.
Les revendications des étudiants sont :
* Maintenir le diplôme d’ingénieur d’ État sur la base du système classique
* Équivalence du diplôme d’ingénieur d’ État avec celui du Master (bac+5) par les Conseils scientifiques des facultés
* Équivalence entre le diplôme des études supérieures avec le Master 1 (bac+4) assurant l’accès de ces diplômés en Master 2
* Équivalence entre le diplôme des études supérieures avec celui du (bac+4) + études post-graduation avec celui du Master (bac+5)
* Équivalence du diplôme de magistère avec celui de la 2e année d’école doctorale (LMD) en donnant le choix aux étudiants de poursuivre leurs études avec le système LMD ou de s’inscrire en 3e année d’école doctorale
Les revendications des étudiants dépendent d’un décret présidentiel qui ne sera annulé que par un autre décret
Harraoubia réunit les représentants d’organisations estudiantines et les doyens des facultés pour contenir la pression des étudiants
Le ministre de l’Enseignement supérieur a tenu, mercredi, une rencontre avec les représentants d’organisations estudiantines vers 16h30. Il a été demandé aux représentants des étudiants, lors de cette rencontre, de présenter une liste de revendications et de préoccupations et les raisons du boycott des examens du 1er semestre dans ces universités paralysées. Une rencontre prévue aujourd’hui, entre Rachid Harraoubia, des recteurs des universités ainsi que des doyens des facultés pour contenir la pression qui règne au sein des universités. Rappelons-le, que c’était le décret présidentiel initié par le ministère de l’Enseignement supérieur le 15 décembre 2010, qui est à l’origine de la colère qui règne dans les universités du pays..[i]
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Une grève pour rien. BAC+1 ou +18 ça change rien, y'a que el ma3rifa et tchipa qui font la différence. L'essentiel dans tout ça c'est de sortir avec un solide bagage culturel.
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
CHU. Annaba..cet aprés midi..un résident de chirurgie a été agréssé par des parents d'un malade..absence de sécurité.. c pas le premier cas..ou va la médecine algerienne..ils ont demandé l'arrivé du wali mais pas de réponse..
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
MIM0U a écrit:Une grève pour rien. BAC+1 ou +18 ça change rien, y'a que el ma3rifa et tchipa qui font la différence. L'essentiel dans tout ça c'est de sortir avec un solide bagage culturel.
+1
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
URGENT :Enseignement-diplômes - 17/02/2011 - 20:46:00 : Le diplôme d'Ingéniorat d'Etat toujours en vigueur (ministère)
moss34- Modérateurs
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Aya les jeunes, vous pouvez demander (exiger) du caviar tout les jours au ptit dej au lit, servi par le recteur, wallah, ils vous le donneront.
Erroukhss ma3endouch limit. !!!
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Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
c'est le moment de demander une augmentation ( la bourse )
Itali@no- Membre Actif
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
machi la bourse kan on veut du changement et démocratieItali@no a écrit:c'est le moment de demander une augmentation ( la bourse )
Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Pourquoi pas un abonnement annuel à l'OPOW, pendant que tu y es ?
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Si tu veux des sous et même un boulot inscris toi au FLN ya taliani.
Si tu veux plutôt des devoirs pour avoir des droits, inscrit en démocratie.
Si tu veux plutôt des devoirs pour avoir des droits, inscrit en démocratie.
Bourtouqal banafsadji- Les Rois du Forum
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Re: 12 Février 2011: Le début de la fin
Itali@no a écrit:c'est le moment de demander une augmentation ( la bourse )
Je pense que l'Algérie c'est le seul pays au monde qui offre de l'argent aux étudiants (malgré que c'est symbolique), mais ailleurs la majorité tu doit payer 3 salaires (voir plus) pour s'inscrire à une année académique (pour un diplôme reconnu mondialement, contrairement à les nôtres).
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