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Bejaia telle qu'elle évolue

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Message par Benkad Sam 24 Fév - 11:52

Rastacool a écrit:qcqui t'intrigue en ça benkad .. c'est le parti unique qui nous a rendu comme ça ... :wink:

Bonjour,

Cela ne m'intrigue pas; c'est juste un constat amer...:(:
Arrêtons un peu de trouver des boucs émissaires à chaque "chose";

En fait, nous manquons d'éducation civique, écologique et citoyenne...je dirais même d'éducation tout court...
On fait du" العين بصيرة و اليد قصيرة " en prenant cet "adage" au premier degrès pour nous donner bonne conscience...On croirait que cela nous plait d'être des assistés alors que nous devrions faire chacun sa part du boulot.

Et que faisons nous de "النظافة من الايمان " :shock: ???

e même auteur "El guellil" a écrit ceci:

[..."La vie te rendra tout ce que tu lui donneras».

: :roll: : Il y va ainsi du pays, de la ville, du douar. La ville est sale, c’est que nous n’avons rien fait pour la laisser propre. On nettoie nos intérieurs pour tout balancer dehors et attendre que les autres se chargent de le ramasser, parce que, dit-on, ils sont payés pour. Mais dès leur passage, nous trouvons un malin plaisir à remplacer l’ordure par l’ordure.

Les élections, c’est pareil. On fait un mauvais vote. Notre mauvais choix, on le paye sérieusement. Les prochaines élections, au lieu de tirer des enseignement, on récidive. Et comme l’écho..."]

Bonne journée.
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Message par Rastacool Sam 24 Fév - 13:09

moi je doit dire que c'est vraie , mais que veut tu faire j'essaye de faire tout mon possible pour sortire les ordures a 21h00 mais des fois la benne a ordures n'est pas la !!

quand je marche dans la rue et que je veut jetté mon mouchoir en papier j'essaye de trouvé une poubelle un bac quelques choses qui est la pour ramassé mais je ne le trouve pas !!

que faire !!!
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Message par massi Sam 24 Fév - 23:55

Rastacool a écrit:moi je doit dire que c'est vraie , mais que veut tu faire j'essaye de faire tout mon possible pour sortire les ordures a 21h00 mais des fois la benne a ordures n'est pas la !!

quand je marche dans la rue et que je veut jetté mon mouchoir en papier j'essaye de trouvé une poubelle un bac quelques choses qui est la pour ramassé mais je ne le trouve pas !!

que faire !!!
C'est de le remettre à ta poche comme ce chinois qui a mit l'emballage d'eskimo dans sa poche lorsque il n'a pas trouvé la poubelle chez le commerçant de la place (café zoubir) ou il a acheté :lol:
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Message par Rastacool Dim 25 Fév - 14:07

massi a écrit:
Rastacool a écrit:moi je doit dire que c'est vraie , mais que veut tu faire j'essaye de faire tout mon possible pour sortire les ordures a 21h00 mais des fois la benne a ordures n'est pas la !!

quand je marche dans la rue et que je veut jetté mon mouchoir en papier j'essaye de trouvé une poubelle un bac quelques choses qui est la pour ramassé mais je ne le trouve pas !!

que faire !!!
C'est de le remettre à ta poche comme ce chinois qui a mit l'emballage d'eskimo dans sa poche lorsque il n'a pas trouvé la poubelle chez le commerçant de la place (café zoubir) ou il a acheté :lol:

et elle vas resté combien de temps dans ma poche !!
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Message par clermontois Ven 9 Mar - 23:47

SVP,qui peut me répondre pour l'avancement des travaux de l'aéroport de Béjaia(sera-t-il prêt au mois de juin?)

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Message par massi Mar 13 Mar - 1:16

Rastacool a écrit:
massi a écrit:
Rastacool a écrit:moi je doit dire que c'est vraie , mais que veut tu faire j'essaye de faire tout mon possible pour sortire les ordures a 21h00 mais des fois la benne a ordures n'est pas la !!

quand je marche dans la rue et que je veut jetté mon mouchoir en papier j'essaye de trouvé une poubelle un bac quelques choses qui est la pour ramassé mais je ne le trouve pas !!

que faire !!!
C'est de le remettre à ta poche comme ce chinois qui a mit l'emballage d'eskimo dans sa poche lorsque il n'a pas trouvé la poubelle chez le commerçant de la place (café zoubir) ou il a acheté :lol:

et elle vas resté combien de temps dans ma poche !!

Le temps que tu trouves une poubelle :lol:
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Message par Rastacool Mar 13 Mar - 13:57

massi a écrit:
Rastacool a écrit:
massi a écrit:
Rastacool a écrit:moi je doit dire que c'est vraie , mais que veut tu faire j'essaye de faire tout mon possible pour sortire les ordures a 21h00 mais des fois la benne a ordures n'est pas la !!

quand je marche dans la rue et que je veut jetté mon mouchoir en papier j'essaye de trouvé une poubelle un bac quelques choses qui est la pour ramassé mais je ne le trouve pas !!

que faire !!!
C'est de le remettre à ta poche comme ce chinois qui a mit l'emballage d'eskimo dans sa poche lorsque il n'a pas trouvé la poubelle chez le commerçant de la place (café zoubir) ou il a acheté :lol:

et elle vas resté combien de temps dans ma poche !!

Le temps que tu trouves une poubelle :lol:

je te dit fait le trajet stade- centre ville allé et retour et regarde si tu en trouve une poubelle digne de se nom !!
:wink:
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Message par massi Mer 14 Mar - 8:22

Des grande poubelles vertes, mais elle sont sale :mad:
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Message par massi Mer 14 Mar - 8:27

M. Fatmi serait sur le départ
Zerhouni probable wali de Béjaïa
La wilaya de Béjaïa pourrait avoir un nouveau wali, ce qui ne lui est pas arrivé depuis six ans.

Nommé peu après l’éclatement des évènements de 2001, en remplacement de M. Djillali Arar, Rachid Fatmi a eu à gérer toutes les épineuses sécrétions du Printemps noir. C’est une «walia», Melle Nouria Yamina Zerhouni en l’occurrence, qui devrait, à en croire les supputations dont grouillent certains microcosmes bougiotes, débarquer incessamment au pays de Yemma-Gouraya.

Wali au profil plutôt politique, Rachid Fatmi aura administré la wilaya tout en surveillant comme du lait sur le feu, un front «populaire» porté à chevaucher le moindre élan contestataire. Le développement économique s’en est trouvé quelque peu ralenti, selon la plupart des observateurs de la place. Le crédo de la wilaya semble d’éviter à tout prix de mécontenter les citoyens même quand ceux-ci recourent à des initiatives qui constituent de parfaits défis à la loi : pose anarchiques de «dos-d’âne» sur les routes, empiètement des constructions sur la voie publique, obstruction multiples aux projets de développement, débauche de violence dans les stades, etc. Zerhouni Nouria Yamina est actuellement wali de Mostaganem après avoir été en poste à Tipaza. La première et unique femme wali de l’histoire du pays est aussi l’une des nièces de l’actuel ministre de l’Intérieur. Sa venue à Béjaïa pourrait signifier une réorientation de l’attention de l’Etat vers le front du développement économique qui focalisent les récriminations de divers acteurs locaux, principalement les élus APW et les patrons de la CAP, etc.

«Je ne serais pas là avec vous pour prendre le bus», a lâché, sibyllin, M. Rachid Fatmi, hier après-midi, devant un parterre de journalistes convoqués pour la présentation de la maquette de la nouvelle gare routière de Béjaïa. Un projet que le wali estime être «au cœur des préoccupations des citoyens et des responsables» et qu’il n’est pas peu fier de livrer après avoir réussi la «gageure» de trouver un terrain de 4 hectares en plein centre-ville de Béjaïa.

Le wali semble tenir par dessus tout à léguer, à travers cet ouvrage à l’architecture futuriste, un souvenir impérissable de son passage à Béjaïa, la seule ville du pays, dira-t-il, où il se permet d’aller «de bon cœur au restaurant». La psychologie du départ semble ainsi s’installer solidement chez un wali qui aura quelque part battu un record de sédentarité. «Je devais déjà partir l’été dernier», confie-t-il en réponse à une question de la Dépêche de Kabylie.

Et sans répondre clairement à propos de son avenir immédiat, il se déclare au service de la patrie là où le devoir, c’est-à-dire la décision de la hiérarchie, l’appellera.



M. Bessa.

la depeche de k
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Message par massi Jeu 15 Mar - 3:41

Transport
Enfin, une gare routière !
l Béjaïa aura enfin sa gare routière ! Le rêve caressé par les voyageurs devrait incessamment trouver un début de concrétisation. “Le premier coup de pioche sera probablement donné cet été”, indique Rachid Fatmi, wali de Béjaïa qui a animé, mardi après-midi, une conférence de presse spécialement consacrée à cette question qui focalise, a-t-il souligné, l’attention des citoyens et des responsables.

Un plan réalisé par BART, un bureau d’études qui a bonne cote à Béjaïa, est approuvé et est pendant à la décision de la Commission nationale des marchés (CNM) laquelle, selon le wali, devrait se prononcer “d’ici un mois”.

Un budget avoisinant les 40 milliards de centimes est réclamé pour la réalisation de cet ouvrage à l’architecture futuriste sur une superficie de plus de 4 ha située à “Quatre-chemins” en plein centre-ville”.
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Message par Benkad Jeu 15 Mar - 11:47

Entretien avec Mr. Adjebli Madjid, P/APC de Tamridjet :

«Notre commune est pauvre»

Adjebli Madjid né le 01/08/1971, est l'un des P/APC les plus jeunes de la wilaya de Bgayet. Il a occupé le poste de l'adjoint-maire de l'APC de Tamridjet de 2002 à 2005, élu sous la liste FFS. Il est élu sous une liste indépendante lors des élections locales de novembre 2005. Adjebli Madjid est connu aussi pour son dévouement en faveur du mouvement associatif, il est fondateur et président de l'Association sportive Etoile Laalam de 1999 à 2005. Cet agent d'administration a travaillé comme employé des PTT à Tamridjet de 1998 à 2001, puis agent d'administration à Tamridjet.

Entretien avec Mr. Adjebli Madjid, P/APC de Tamridjet : «Notre commune est pauvre»
Racines-Izuran : Comment se présente la situation socioéconomique de la commune de Tamridjet ?

Mr. Adjebli Madjid : Tamridjet est l'une des communes les plus pauvres de la wilaya de Bgayet. Elle vit uniquement avec les subventions de l'Etat. Notre commune ne possède aucune unité de production.

Sans aucune unité de production on présume que le chômage dévore votre jeunesse. Qu'avez-vous à dire sur ce volet ?

Le chômage bat son plein à Tamridjet. La plupart de nos jeunes sont contraints de quitter la commune. Ceux qui n'ont pas les moyens de quitter le pays quittent la commune pour travailler dans les différentes grandes villes algériennes. Ceux qui restent à Tamridjet n'ont rien à espérer à part quelques postes dans le cadre du pré-emploi et de l'emploi de jeunes. Notre politique d'emploi n'est pas établie vu que les perspectives du développement économique sont floues. Parlons maintenant de l'état des routes. Peut-on savoir ce que vous avez entrepris depuis votre installation à la tête de l'APC pour l'amélioration de cette situation ? On dépense de grandes sommes d'argents pour la remise en état des 2 accès principaux de la commune. Ces deux accès sont : Tizi El Oued- Tamridjet- Laalam sur 25 km et Darguina- Tamridjet- Laalam sur 22 km. Les pistes : Ait Ameur – Laalam centre, Ait Bougeham –Akkache sont aménagées. On a réservé 800 millions de centimes des PCD 2006 pour la remise en état de la piste Akkache- Zentout. La piste Taskala est complètement détruite par le séisme de 2005 qui a frappé la région. Une fiche technique est déposée auprès des services concernés. La détérioration de la route «Taskala» constitue un véritable obstacle pour les citoyens de la région. Les travaux d'aménagement de la piste : Tamridjet - Ait bouzekri sont en cours. La piste la plus difficile, vu sa grande pente, Ourthan - Akkache est en cours de réalisation.

Qu'en est-il des infrastructures éducatives ?

Notre commune possède 6 écoles primaires, 2 CEM. L'école primaire de Tamridjet–centre est surchargée, on a lancé la consultation, l'étude du sol est faite pour construire 3 nouvelles classes. La construction démarrera incessamment. Certaines écoles primaires nécessitent des travaux d'aménagement et de réfection (toiture, sanitaires, etc…). L'ancienne école de Laalam est sévèrement endommagée par le dernier séisme, on a réparé les blocs pédagogiques, reste les blocs sanitaires non encore aménagés. Une cantine scolaire sera construite en 2007 pour la nouvelle école de Laalam. De même que le CEM de Laalam, d'après les services de l'éducation, la construction d'une cantine sera proposée en 2007.
On a aussi proposé au wali la construction d'un lycée au niveau de notre localité, mais d'après ce premier responsable de la wilaya, la carte scolaire n'a pas prévu de lycée à Tameridjet dans l'immédiat, étant donné, toujours selon la wali, le lycée de Melbou est doté d'internat pour recevoir les lycéens de Tamridjet. Pour ma part, je tiens à insister que la construction d'un lycée à Tamridjet est une nécessité. Pour le ramassage scolaire, on vient de recevoir 3 mini bus, l'année scolaire 2005-2006 on était contraint de signer une convention avec le secteur privé pour assurer le transport de nos élèves. Les 3 minibus reçus seront exploités pour le 2ème trimestre 2007. Ils assureront surtout le transport des élèves du CEM akkache, lycée Melbou et lycée Souk el Tenine. Ceci reste, biensûr, insuffisant vu la situation géographie difficile de la région. On est donc obligés de signer avec les transporteurs privés pour combler le reste, en attendant d'en acquérir d'autres.

Les citoyens nous ont signalé que beaucoup de villages souffrent toujours du problème d'alimentation en eau potable. C'est ce vrai ?

L'AEP à Tameridjet, contrairement au reste des communes, est gérée par l'APC et non pas par l'Algérienne des eaux. Ce qui nous crée beaucoup de problèmes. Ce qui a rendu notre tache encore plus difficile est le fait que nos habitants ont décidé de ne plus payer leurs factures d'eau jusqu'a la satisfaction de leur principale revendication à savoir leur procurer l'eau d'irrigation. L'histoire a commencé le jour où on a utilisé la source de Laalam qui a été utilisée par les habitants pour l'irrigation pour alimenter les maisons. Les habitants nous exigent de l'eau pour l'irrigation, c'est un sérieux problème ! A Tamridjet-centre, le réseau est défectueux et il a besoin de réfection. Deux captages essentiels «El N'keb et Ighzer N'rsas» sont détruits par le séisme. En 2007, on réservera une enveloppe spéciale pour ces 2 captages. En 2006, on a alimenté en AEP le CEM de Laalam et ses 2 écoles primaires. Pour l'exercice 2007, on compte alimenter les villages suivants : Tizft, M'barki, Bouzeroual et Ait Moussa, les travaux démarreront dès la réception de la tuyauterie. La cité Zentout est alimentée par une eau de mauvaise qualité, une fiche technique sera établie prochainement. On prévoit aussi la construction d'un château d'eau à Laalam-centre. L'Algérienne des eaux nous a proposé de prendre en charge notre réseau, ça nous déchargera d'un très lourd fardeau !

Pouvez-vous nous parler des perspectives de développement du secteur de la jeunesse et des sports ?

Notre commune est pauvre en infrastructures sportives. Elle ne possède même pas un stade communal. On a 3 aires de jeux et un stade de proximité à Tameridjet centre. Une fiche technique de 1.8 milliard de centime est établie et elle est au niveau des services concernés pour la construction d'un stade communal. Le choix du terrain est fait. On a construit une salle de sports à Tameridjet-centre. Notre grand handicap est le manque d'assiettes de terrain. Notre commune est connue surtout par son équipe d'athlétisme connue au niveau national. On a aussi un club de karaté et une équipe de volley-ball qui vient de voir le jour. La 3ème tranche de la maison de jeunes est lancée, elle sera réceptionnée au plus tard mars 2007. Un choix de terrain est fait pour la construction d'une bibliothèque communale, une fiche technique est déposée auprès des services concernés. On a proposé la création d'un stade combiné prés du CEM de Akkache qui, depuis son lancement, n'a jamais eu un enseignement de sports jusqu'à l'année passée. On a proposé aussi de construire une maison de jeunes au niveau de la localité de Laalam. Le choix du terrain est fait, l'étude de sol est faite et la fiche technique établie, on attend le lancement des travaux.

Le secteur du logement est celui qui pose le plus de problèmes au niveau national. Quels sont les projets réalisés dans ce domaine ?

Le logement est le point noir de la commune, vu le relief très difficile et accidenté et le manque flagrant d'assiette foncière pour la construction, on a proposé 20 logements sociaux à Zentout. Le reste des logements sont dans le cadre de l'habitat rural. Plus 300 habitants ont bénéficié de cette formule. Le dernier séisme a vraiment faussé nos calculs et nous a causé un retard très considérable.

Justement, pouvez-vous nous parler du séisme qui a fortement secoué votre commune ?

La terre a violemment tremblé, le lundi 20 mars 2006, à 20h40 d'une magnitude de 5,8 degrés sur l'échelle de Richter dont l'épicentre était localisé dans le village de Laâlam. Ce séisme a causé d'énormes dégâts matériels et humains, 326 maisons touchées, les écoles, réseaux d'assainissements, réseau routier, captages… sont endommagées, bref ! Toutes les infrastructures de la commune sont sévèrement touchées. Il y avait aussi les dégâts humains, 4 personnes sont mortes et 68 blessés. Pour reloger les sinistrés du séisme, 81 bénéficiaires sur 226 recensés par les services CTC (contrôle technique de la construction) ont reçu leurs aides, en attendant la 2ème liste de 29 bénéficiaires qui retirera son argent auprès de l'agence BADR d'Aokas. Les lenteurs administratives font que plusieurs sinistrés sont toujours dans les tentes, attendant de recevoir leurs aides.

Et le cas Iamarene ?

Le cas Iamarene est spécial et complexe. Les habitants d'Iamarene ont déserté leur village à cause des problèmes de terrorisme et de l'insécurité que subissait leur village dans les années 90. Ils se sont installés en 1995 prés de Laalam. Les démarches de régularisation de leur situation sont entreprises en 2003. Un citoyen de Laalam nous a vendu une parcelle de terrain qui est utilisée pour le recasement d' Iamarene. 21 familles ont bénéficié des décisions d'habitat rural. 400 millions de centimes sont débloqués pour la viabilisation du terrain. 5 familles ont démarré les travaux de construction. 7 familles occupent actuellement les édifices publics (l'antenne administrative communale de Laalam, l'agence postale, la salle de soins et les logements de fonction du CEM de Laalam) depuis le 19 octobre 2006 à ce jour. Une réunion avec les promoteurs immobiliers et les entreprises de construction bâtiments a eu lieu au siège de la daira de Souk El Tenine sous l'égide du chef de daira. Les promoteurs immobiliers et les entreprises de construction bâtiments nous ont promis des aides en matériaux de construction en faveur d'Iamarene. Pour libérer les édifices publics de Laalam et en attendant que tous les Iamarene construisent leurs maisons, l'APC a procédé à l'aménagement des hangars au niveau de Zentout.

Il y a aussi le cas de Aghdir N'bouguedouh…

Ah! Oui ! Le cas de Aghdir N'bouguedouh est compliqué. Lors d'un glissement de terrain, 12 familles ont perdu leurs maisons, ce qui rend ce cas encore plus compliqué est que ces 12 familles ne possèdent pas d'autres terrains. On a fait un choix de terrain pour les recaser, les intéressés ont reçu l'aide de l'habitat rural, ils attendent que le terrain soit aménagé.

Qu'en est-il du projet des 100 locaux commerciaux dont a bénéficié votre commune ?

Je vais le répéter une autre fois, Tamridjet souffre du problème de l'indisponibilité de terrain. Une fiche technique sera établie prochainement pour la construction de 30 locaux commerciaux.

Comment envisagez-vous régler cet épineux problème de terrain ?

On proposera une enveloppe spéciale pour l'achat de terrain. J'espère que les services de wilaya nous répondront favorablement, autrement, je ne vois pas une autre solution. Qu'en est-il de l'assainissement et de l'aménagement dans le territoire de la commune ? On a dépensé dans le cadre des PCD 2006, 1.5 milliard de centimes dans l'assainissement : 850 millions de centimes sont dépensés dans l'étude et l'assainissement des villages suivants : Ait Ameur, Ait Moussa et Taskala, 400 millions de centimes sont dépensés pour l'assainissement de Bouzeroual et 250 millions de centimes sont utilisés pour le drainage des eaux pluviales de Zentout.

Qu'en est-il du secteur de la santé ?

Notre commune possède 1 centre de santé, 3 salles de soins. Le centre de soin n'a qu'un seul médecin généraliste, un chirurgien dentaire, 3 infirmiers et une sage femme. Nos centres de soins manquent cruellement d'encadrement (aucun médecin spécialiste) et de matériaux de soins.

On vous laisse conclure Mr le maire

On souhaite que l'année 2007 soit meilleure que les précédentes. On souhaite recevoir plus de subventions pour rattraper le grand retard qu'a enregistré Tamridjet durant des décennies pour diminuer l'exode rural.

Lundi 26 Février 2007
Entretien réalisé par Hafit Zaouche
Hebdomadaire "Racines IZURAN"
ou consulter:
www.racines-izuran.com
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Message par it's me Mar 20 Mar - 18:03

massi a écrit:Transport
Enfin, une gare routière !
l Béjaïa aura enfin sa gare routière ! Le rêve caressé par les voyageurs devrait incessamment trouver un début de concrétisation. “Le premier coup de pioche sera probablement donné cet été”, indique Rachid Fatmi, wali de Béjaïa qui a animé, mardi après-midi, une conférence de presse spécialement consacrée à cette question qui focalise, a-t-il souligné, l’attention des citoyens et des responsables.

Un plan réalisé par BART, un bureau d’études qui a bonne cote à Béjaïa, est approuvé et est pendant à la décision de la Commission nationale des marchés (CNM) laquelle, selon le wali, devrait se prononcer “d’ici un mois”.

Un budget avoisinant les 40 milliards de centimes est réclamé pour la réalisation de cet ouvrage à l’architecture futuriste sur une superficie de plus de 4 ha située à “Quatre-chemins” en plein centre-ville”.
la depeche de k


Dont 30 millards dans nos poches... : :roll: :

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Message par massi Mer 21 Mar - 1:27

Plutôt Dans leurs poches :lol: :-)
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Message par Benkad Mer 11 Avr - 16:35

PAUVRES DE NOUS

[""Décharge de bouteilles de bière

Une nouvelle forme de pollution


Des milliers de bouteilles de bière vides se retrouvent chaque jour dans la nature dans une indifférence générale qui frise la bienveillante complicité."

Béjaïa. De notre bureau

"Elles jonchent le bas-côté des routes, les fossés, les bouches d’évacuation, les champs, les chaussées, et s’accumulent en certains endroits au point de les transformer en décharges publiques.
En l’absence de filières de récupération et de recyclage du verre et en dehors du manque de volonté manifeste de la part des autorités publiques à obliger tout autant les brasseurs, les vendeurs que les consommateurs à prendre leurs responsabilités, ce sont les citoyens et les collectivités publiques qui paient, à l’heure actuelle, les pots cassés. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, certaines municipalités de la Haute Soummam chargent leurs services de voirie de collecter ces déchets, du moins, ceux qui encombrent les fossés des routes. D’autres essaient désespérément d’attirer l’attention des hautes autorités de l’Etat sur ce problème qui, par certains côtés liés au statut de l’alcool dans une société musulmane, prend des allures de tabou.

Au cours de l’été dernier, les APC de Chellata, Akbou, Ighram et Tamokra ont cosigné un rapport envoyé au wali pour demander une solution à un problème qui les dépasse. A Akbou, d’après Ouali Medboua, premier adjoint au niveau de l’APC, une réunion avec les gérants des bars et des dépôts de la région a eu lieu, il n’y a pas très longtemps, dans le but de les sensibiliser au problème des déchets qu’occasionnent leurs commerces.

Le phénomène est nouveau et deux choses semblent avoir sérieusement contribué à son apparition. L’autorisation par l’Etat de magasins de boissons alcoolisées à emporter, tout autant que l’arrivée sur le marché de la petite bouteille de verre dont l’ouverture facile a fait le succès phénoménal qu’on lui connaît. Le lancement de la petite bouteille de 25 cl non retournable a constitué un tournant. Les amateurs de malt et de houblon ne sont, de ce fait, plus obligés de s’attabler dans une taverne pour étancher leur soif. Les endroits retirés, les petits coins tranquilles au bord d’une route, d’une plage ou d’une forêt sont devenus des lieux de beuveries discrets.
Les cadavres de bouteilles sont laissés sur place, transformant peu à peu des lieux de détente en décharges sauvages. A Béjaïa, certains sites touristiques, fort appréciés pour la beauté de leurs paysages ou des vestiges historiques qu’ils renferment, sont devenus au fil des ans des dépotoirs.

SONNETTE D'ALARME

Beaucoup d’amateurs de mousseuses bien fraîches picolent également au volant faisant mentir cet adage bien connu qui recommande de choisir entre boire et conduire. Pis encore, la plupart ne se gênent pas le moins du monde de balancer par dessus bord leurs vides. On ne compte plus les cas de citoyens qui ont été blessés ou d’automobilistes qui ont reçu une bouteille vide sur le capot ou le pare-brise.

En l’absence d’associations écologiques ou citoyennes, aucune sonnette d’alarme n’a été tirée pour sensibiliser sur cette inquiétante dérive qui conjugue, dans une inconscience proche du coma éthylique, pollution et incivisme. Aujourd’hui, en Kabylie comme dans tout le nord du pays, les bas-côtés des routes, les fourrés et les fossés qui les bordent croulent sous un nombre incalculable de bouteilles et de tessons de verre.

Au-delà de la preuve patente d’un alcoolisme routier aux proportions insoupçonnées, c’est une véritable catastrophe écologique qui ne semble concerner personne en particulier. A part, peut-être, les enfants qui ont trouvé là un nouveau jeu : aligner des bouteilles pour les briser avec des pierres comme dans un stand de tir. Quand, bien sûr, ils ne les fracassent pas sur le bitume, toujours par jeu ou par désœuvrement.

Les propriétaires d’habitations ou de terrains qui jouxtent les routes se plaignent régulièrement d’être les premières victimes de cet incivisme manifeste. Leurs propriétés reçoivent chaque jour leur lot de bouteilles vides. Certains n’ont rien trouvé de mieux que de joncher eux-mêmes de tessons de bouteilles et de bris de verre, les aires de stationnement et les accotements qu’affectionnent les amateurs de bière pour s’épargner un voisinage aussi gênant que polluant.

Par ailleurs, dans la nature, des millions d’insectes, attirés par le sucre que contient les fonds de bouteilles jetés, finissent piégés dedans. Argument dérisoire, bien sûr. S’inquiéter du sort de ces petites bestioles à l’heure où se joue celui des humains ressemble à une coquetterie d’excentrique, tant l’intérêt pour l’environnement semble être le dernier souci, aussi bien des autorités du pays que du simple citoyen. De tous les dépôts de boissons alcoolisées que nous avons approchés pour avoir une idée des proportions des stocks qui sont consommés chaque jour ou chaque semaine et qui, par conséquent, finissent dans la nature, aucun gérant n’a voulu communiquer ses chiffres. Motus et bouche cousue.

Ces dix dernières années, la consommation de la bière s’est frénétiquement démocratisée en Algérie. Des brasseries ultramodernes s’y sont installées, alors que de grandes marques se battent pour mettre un pied dans un marché des plus prometteurs. De buveur d’eau impénitent, l’Algérien est devenu un grand amateur de ce breuvage dont l’une des toutes premières recettes trouvée à Babylone date de 4000 ans avant Jésus Christ.

La moyenne de consommation annuelle nationale, d’après des chiffres récents, tourne autour de 5 litres. Au train où vont les choses, à chaque bière consommée en Algérie, c’est la nature et l’environnement qui trinquent. La solution serait, peut-être, que l’Etat applique enfin pour les professionnels de la bière ce bon vieux principe qu’il vient d’adopter pour l’activité minière : les pollueurs sont les payeurs.

Djamel Alilat "]
El Watan le 11 avril 2007
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Message par Rastacool Mer 11 Avr - 22:01

pffffffffffff !!

que voulez vous a signaler que la municipalité a planté des arbres , et a placé des bacs a ordures !! :wink:
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Message par R@Y@N Sam 14 Avr - 13:04

Situation critique à Béjaïa
Pollution tenace


Bien que ce ne soit pas le propre de la wilaya, Béjaïa n’arrive toujours pas à chasser la pollution qui, par endroits, gagne du terrain. Il est loisible de le constater, en tout cas, à travers le dernier rapport de la direction de l’environnement dont la poignée d’ingénieurs, dépassés, donnent l’air de ne plus savoir à quelle tête de l’hydre faut-il s’attaquer.

Traquer les fumées dans les airs ou les sachets noirs dans la nature ? Les huiles dans l’eau ou les déchets solides partout ? Il y a trois ans, 120 rejets ont été recensés dans la rivière de la Soummam qui recevait chaque jour 35 000 m3 d’eaux usées urbaines. Aujourd’hui, on se réjouit de n’avoir que 74 rejets mais, paradoxe, avec un volume de 37 000 m3/jour. Une évolution qui fait regretter presque les 120 rejets, moins polluants de 2004. En 2007, ce sont 2000 m3 d’eaux usées de plus dans l’oued, à couler aux côtés des forages destinés à l’AEP et à l’irrigation. M. Djini, le directeur de l’environnement, croit avoir une explication à cela : « Les ménages sont plus nombreux. » Sur la côte est, le nombre de rejets (29), venus polluer un peu plus la Méditerranée, a doublé. Deux stations d’épuration (STEP) ont été mises en fonction à Saket et Aokas. Cette dernière devra traiter aussi les eaux usées urbaines de Tichy. Pour la vallée de la Soummam, les « études sont achevées » pour trois STEP. Des projets qui viennent confirmer, si besoin est, que ces zones sont considérées comme les deux points chauds de la wilaya. En termes de pollution, cela s’entend. La pollution industrielle les menace également. Outre les huileries et stations de lavage, celle-ci vient des unités industrielles dépourvues de stations d’épuration. Sept seulement en ont. Le chiffre n’a pratiquement pas évolué ces dernières années. Faute d’esprit écologique doublé de « manque » de sous. A défaut d’une STEP, Icotal a trouvé la solution : sacrifier son atelier finition pour se contenter d’un bassin de décantation. Les textes ont la prétention de ne pas laisser, à l’horizon mai 2008, place aux unités polluantes. Toutes doivent se mettre à niveau. « Celles qui sont à créer ne s’installeront pas sans une STEP », a indiqué M. Djini lors de la dernière session de l’APW. Jusque-là, 8 dossiers seulement, sur les 63 études de danger et 47 audits environnementaux réalisés dans la wilaya, ont été approuvés par le ministère de tutelle qui a retenu, par ailleurs, le projet de réalisation d’une station de contrôle de la pollution atmosphérique à Béjaïa. Selon M. Djini, ce type de pollution est dans la ville de Béjaïa et pas sous le ciel de la Soummam, blanchi, tente-t-il de rassurer, par des « vapeurs d’eau ». Il s’est voulu, une nouvelle fois, lors du forum hebdomadaire de radio Soummam, rassurant quant à certaines entités économiques plus ou moins importantes comme Cevital dont « la station d’épuration est surdimensionnée », Alfaditex « la plus performante », et aussi de « Capritour, qui sera prochainement fonctionnelle à l’intérieur du village touristique ». Les huileries aussi polluent en rejetant margines et eaux dans le milieu naturel ou dans le réseau d’assainissement. Sur les 456 huileries de la wilaya, plus de la moitié n’ont pas de bassins de décantation. Si pour les transformateurs à Askarels, une entreprise espagnole compte les récupérer, le « désamiantage » des 114 établissements concernés par l’amiante et la récupération des sachets en plastique dans la nature ne sont pas encore réalité. Paradoxalement, il reste que pour la petite équipe de la direction de l’environnement, la situation « est parfaitement maîtrisée ». « Seul problème : les décharges », dit, un tantinet irréaliste, M. Djini. Réceptacle de tous types de déchets, la Soummam, et à un degré moindre l’oued Agrioune, donne l’image d’une grande marmite naturelle posée sur les fourneaux des pullulantes décharges fumantes qui la longent. Les fumées qui s’en dégagent, elles, ne sont pas de simples « vapeurs d’eau ».

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Message par BouakaZ Dim 15 Avr - 8:40

- * Salam RaYaNe ,
- * Sujet sensible à l'entourage, intérréssent et c'est sérieux ?

- * IL faut voire l'eau de l'oued-soummam , ALERTE aux autorités !!!
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Message par Rastacool Dim 15 Avr - 21:31

Bouakase a écrit:- * Salam RaYaNe ,
- * Sujet sensible à l'entourage, intérréssent et c'est sérieux ?

- * IL faut voire l'eau de l'oued-soummam , ALERTE aux autorités !!!

:mdr: :mdr: :mdr:

tu crois vraiment qu'ils ont que ça a faire !! :| :

c'est triste wellah ! :cassgueul:
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Message par Soprano Lun 16 Avr - 1:22

Alors Bougie évolue dans quel sens ? :tongue:
Il faut beau sur Paris hier et aujourd'hui, on se croit en été et dina ?

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Message par BouakaZ Lun 16 Avr - 6:28

Akhenaton a écrit:Alors Bougie évolue dans quel sens ? :tongue:
Il faut beau sur Paris hier et aujourd'hui, on se croit en été et dina ?

Vive Lavhar :up:

- * Lavhar ikker !!!
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Message par Rastacool Lun 16 Avr - 17:53

Bouakase a écrit:
Akhenaton a écrit:Alors Bougie évolue dans quel sens ? :tongue:
Il faut beau sur Paris hier et aujourd'hui, on se croit en été et dina ?

Vive Lavhar :up:

- * Lavhar ikker !!!

et il fait frais un peu !!

un temps nuageux avec une fine pluie et du brouillards :-)
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Message par Benkad Lun 16 Avr - 18:16

Rastacool a écrit:
Bouakase a écrit:
Akhenaton a écrit:Alors Bougie évolue dans quel sens ? :tongue:
Il faut beau sur Paris hier et aujourd'hui, on se croit en été et dina ?

Vive Lavhar :up:

- * Lavhar ikker !!!

et il fait frais un peu !!

un temps nuageux avec une fine pluie et du brouillards :-)

tu es Monsieur météo maintenant, toi ?!! :defil: et pourquoi n'as tu pas parlé de la vitesse du vent ? :gigi:
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Message par Rastacool Lun 16 Avr - 18:24

franchement je ne connais rien en meteo !! c'est juste que se temps la au mi d'avril ça fait un peu bizzare :wink:
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Message par Benkad Lun 16 Avr - 19:07

Rastacool a écrit:franchement je ne connais rien en meteo !! c'est juste que se temps là à la mi avril ça fait un peu bizzare :wink:

Ne dit-on pas:"Au mois d'avril, ne te découvres pas d'un fil"?
et "au mois de mai, fais ce qui te plait"?? :lol2:
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Message par Rastacool Lun 16 Avr - 20:29

oui on le dit !!

mais juste qu'au moi de decembre on etais presque en demi manche !! :-) :-)
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