c'est beau...!

massilia a écrit:Et Marseille dans tous ça !!!!!!!!!!! ah j'ais compris je vous es saoulé avec ma ville !!! :D: ! Belle illustration Nassilyah !

Haylik ya Nassim !!

Awah t'es le plus fort Lamine, ya 3atek saha chriki, mamaye cette photo wellah :up: . Le plus marseillais des bougiotes sahbi, c'est bel et bien toi :wink: !

belle tof sur marseille, mais c koi le haut de la tof, une moské ou une église? :ccomeça:

notre dae d'europe :P

Notre-Dame de la garde!!!! et pourtant Marseille est la 49eme Willaya de l'Algerie :P

massilia a écrit:Awah t'es le plus fort Lamine, ya 3atek saha chriki, mamaye cette photo wellah :up: . Le plus marseillais des bougiotes sahbi, c'est bel et bien toi :wink: !

Merci :oops:

la cruche a écrit:Notre-Dame de la garde!!!! et pourtant Marseille est la 49eme Willaya de l'Algerie :P

Oui notre dame de la Garde, notre Bonne Mère ! kima fi el a3ssima, avec notre Dame d'Afrique oula Santa Cruz fi Wahran !

trop fort nassilah merci :mdr:

Marseille, sa « Bonne Mère », son cher club de foot l’ « Ohême », ses 800 et quelques milliers d’habitants… et ses dizaines de kilomètres de bords de mer sur la Méditerranée que visiteurs et autochtones apprécient d’autant plus les jours de beau temps.

« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, dans quelques minutes nous arriverons en gare de Marseille Saint-Charles. Marseille Saint-Charles, terminus de ce train. Prenez garde à ne rien oublier dans les voitures. Nous espérons que vous avez fait un bon voyage. La S.N.C.F. vous remercie et vous souhaite une agréable fin de journée. »
Depuis quelques minutes déjà, le train a fortement ralenti l’allure. Sortie d’un long tunnel. La lumière du jour réapparaît. En contrebas de la voie ferrée à droite, quelques blocs de maisons basses, au style provençal. Puis très vite, plus rien. Et la voici qui s’impose au regard. Immense Méditerranée. Majestueusement bleue. Un horizon infini. Avec la ville toute entière qui semble se serrer contre ses rives. Sur son siège, un touriste eurasien est en admiration. A l’aide d’un appareil photo numérique, il filme la perspective offerte à son regard. La mer disparaît soudain du paysage, masqué par de hautes constructions. Puis ressurgit aussitôt, semblant encore plus vaste et azurée. En ce dimanche après-midi, jour de beau temps, la « Grande Bleue » est recouverte de tâches multicolores se déplaçant au gré du vent. Des véliplanchistes sur leurs planches, disséminés par dizaines sur les flots.


Le Vieux-Port, crique naturelle où la ville fut fondée il y a 2600 ans

Quelques minutes après la descente du train, sur le Vieux-Port de Marseille, tout à la fois le berceau et un cœur de la cité phocéenne. Souvent le voyageur y parvient après avoir cheminé le long de la Canebière, cette artère légendaire, large, grouillante de bruits, de trams, de voitures, de vélos, de scooters, de motos et de passants. Véritable théâtre urbain sur le long duquel les Marseillais aiment à déambuler et où Marseille-la cosmopolite par excellence donne à voir toute sa diversité. On débouche alors quai des Belges, qui ferme le Vieux-Port. D’ici partent les navettes transportant par voie de mer les hordes de touristes en direction des îles du Frioul et du château d’If, au large de la cité. Succession de terrasses de cafés ou de restaurants, tohu-bohu de véhicules en tous genres souvent serrés pare-chocs contre pare-chocs, entrées de métro presque les pieds dans l’eau, étals d’un marché aux poissons dont la renommée a dépassé les frontières depuis bien longtemps et regorgeant de produits tout juste rapportés de la pêche… étonnant paradoxe d’une atmosphère éminemment urbaine fleurant pourtant déjà la mer et les embruns.

D’un bout à l’autre du Vieux-Port, tout le long du chemin, à tout moment de la journée et particulièrement en été, une activité incessante d’esquifs en partance, à l’arrivée, en inspection ou en réfection. Et sur voie terrestre, le long des quais, du passage, ininterrompu, ainsi qu’une foule de badauds venant pour observer le paysage ou se détendre. Le Vieux-Port de Marseille constitue une crique naturelle, forme de petite baie ou de petite anse. Quai des Belges, face à la Méditerranée, une plaque commémorative rappelle qu’ici, il y a 2600 ans, des marins venus d’Asie Mineure donnèrent naissance à Massalia, Marseille, à ce jour la plus ancienne ville de France.

Tout autour du Vieux-Port, hormis la mer et l’activité qu’elle génère, les curiosités ne manquent pas qui interpellent le visiteur. Ainsi, le théâtre situé à l’ouest, quai de Rive-Neuve. Cette salle de spectacle a vu le jour en 1981 dans l’ancienne halle aux poissons, la façade en atteste, où l’on vendait autrefois… à la criée. A l’opposé, sur la rive est, il fait bon se promener au pied du fort Saint-Jean, dont la construction remonte au XIIème siècle et qui est dotée d’une Tour Carrée marquant en quelque sorte l’entrée occidentale du Vieux-Port de Marseille. Ici, au pied de murailles contre lesquelles des bancs de pierre permettent de se prélasser, on apprécie le charme d’un soudain silence, le panorama offert par le va-et-vient des embarcations naviguant à deux brasses de distance. Avec en arrière-plan, une vue remarquable sur la colline au sommet de laquelle la basilique Notre-Dame de la Garde surplombe la ville.

Comment oublier que le Vieux-Port de Marseille servit de décor à la célèbre trilogie théâtrale de Marcel Pagnol, « Topaze », « Marius » et « Fanny » ? En y flânant, on a par instants le sentiment d’être plongé dans les pages de ces livres qui ont fait le tour du monde. Ou d’être au cœur de ces mêmes histoires immortalisées plus tard à l’écran grâce à l’interprétation magistrale de l’acteur Raimu. Récits bourrés de galéjades, illustrant de la plus remarquable des façons la légendaire faconde marseillaise, cette grande facilité à parler avec abondance de mots. Sur le Vieux-Port, un symbole de la permanence de cet esprit proprement marseillais et pagnolesque : le fameux ferry-boat (rebaptisé « ferry-boâte » dans l’œuvre du grand Marcel). Il assure gratuitement et de façon ininterrompu la plus courte liaison maritime du monde, à peine plus de deux cent mètres, entre le renommé « Bar de la marine » à l’est, qui existe toujours, jusqu’à l’Hôtel de Ville, situé sur la rive d’en face.
En poursuivant au loin sur les quais est du Vieux-Port, on parvient enfin au palais du Pharo. Construit pour le bon plaisir du prince Louis Napoléon, ce bâtiment prestigieux est devenu un centre d'accueil international pour l'organisation de congrès et de concerts. Les jardins qui l’entourent offrent un panorama réellement imprenable sur le Vieux-Port et la côte nord de Marseille. Calme, verdure et dans le dos du bâtiment, un point de vue remarquable qui plonge à pic sur les flots. C’est l’anse du Pharo, étroit goulot par lequel transitent forcément toutes les embarcations entrant ou sortant du port. De là, on surplombe de si près le trafic maritime qu’on croirait presque pouvoir toucher mâts et voiles de bateaux.


Un littoral méditerranéen pour bonne part zone naturelle et long de cinquante quatre kilomètres

Deuxième ville de France en terme de population, la commune de Marseille s’étend en revanche sur une surface grande comme cinq fois celle de Lyon et deux fois et demi celle de Paris. Au sein de ce périmètre, quelques éléments disent à eux seuls la force du lien entre la cité et la mer : quatre ports de plaisance importants pouvant accueillir à quai un total de plus de huit mille embarcations, ce qui fait de Marseille l’un des trois plus grands complexe d’Europe en la matière ; deux cent vingt liaisons maritimes régulières reliant la ville à trois cent vingt ports de cent vingt pays différents ; un port autonome s’étendant jusqu’à la commune de Port-Saint-Louis-du-Rhône traitant annuellement plus de cent millions de tonnes de marchandises, à partir duquel ont transité un million huit cent mille passagers en 2004 et trois cent soixante mille croisiéristes en 2005, ce qui en fait le premier port autonome de France et de Méditerranée, et le quatrième en Europe ; presque cent sites de plongée sous-marine; enfin, près d’une vingtaine de plages situées sur la commune même de Marseille proposant une offre de baignade en mer diverse et variée.

Parmi les sites à proximité immédiate du centre-ville et du Vieux-Port, la corniche Kennedy s’étend à l’ouest en direction de Cassis. Elle offre le spectacle d’un surplomb spectaculaire sur la mer à partir duquel des vues remarquables sur le grand large, le château d’If et les îles proches du Frioul s’offrent au regard les jours de temps clair, très nombreux à Marseille. Les Phocéens ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, qui s’y bousculent l’été afin de garnir les terrasses des établissements situés en bord de mer, sur la falaise. Rangées de convives rassemblées autour de tables dressées pour la restauration. Ou simple alignements de corps allongés et se faisant dorer au soleil.

Toujours près du centre-ville, le long de la Corniche en contrebas, le très attachant et pittoresque quartier du vallon des Auffes. Magnifique port de pêche situé sur un site classé, calanque naturelle aménagée par l’homme. Le vallon est un délice de carte postale. Avec la colline qui le domine, l’enchevêtrement de ses ruelles entourant les maisons de pêcheurs et le pont par-delà duquel on entre de plain-pied dans la mer.
Plage des Catalans, 7ème arrondissement de Marseille… A seulement sept stations de bus du Vieux-Port, un lieu qui surprend et séduit. Quelques dizaines de mètres carrés seulement. Une grève de sable, un poste de secours, une buvette, des douches, des sanitaires et un terrain de volley-ball. Un ensemble d’autant plus charmant qu’il se trouve littéralement engoncé au sein d’un environnement minéral et bétonné.
Les sites marseillais qui raviront les amateurs de jolies rives marines ou de plages agréables et reposantes sont en vérité fort nombreux. Ainsi, les calanques, à l’est, incomparable zone sauvage s’étendant sur plusieurs de dizaines de kilomètres, particulièrement chère aux Provençaux, dont le charme a été vanté récemment par Patrick Mouton, autre écrivain du cru, et en passe de devenir parc naturel national à l’horizon 2010. Ou bien le quartier et le petit port de pêche de l’Estaque, situés à l’opposé, plein ouest. Celui-ci ressemble à un village paisible de bord de mer, bénéficiant d’une lumière naturelle ayant attiré bon nombre de peintres impressionnistes, fauvistes ou cubistes au tournant des XIXème et XXème siècle. Havre de paix prisé des Marseillais, il contraste avec l’hyper activité régnant en centre-ville. Enfin, autre site d’exception attenant au quartier de l’Estaque, les plages et jardins de Corbières, aux confins occidentaux de la ville. Un point de vue exceptionnel sur la rade de Marseille. Une promenade abritée du vent entre hautes parois rocheuses, talus escarpés et récifs du bord de mer. Des grèves de sable et de galets agrémentés d’une végétation d’essences pour la plupart exotiques aux pieds de falaises comportant des éléments architecturaux remarquables, tel ce fortin bâti au XIXème siècle.


De la plage des Catalans au Vieux-Port en passant par le vallon des Auffes, la corniche Kennedy, les calanques, l’Estaque ou les jardins de Corbières, cinquante-quatre kilomètres de littoral au total, qu’on peut apprécier pour une bonne part comme autant d’hommages différents rendus par la capitale de la Provence à la « Grande Bleue », la Méditerranée, à laquelle cette cité doit tant. Jusqu’à ce nouvel aménagement réalisé en plein centre-ville : l’esplanade du J4. A l’entrée maritime de Marseille, adossé au fort Saint-Jean, situé à quelques brasses du Pharo, d’un côté, et du nouveau port de La Joliette, de l’autre. Habitants et visiteurs s’y pressent depuis quelques années pour venir y respirer l’air iodé, apprécier le silence, admirer les constructions environnantes, partager les sensations des pêcheurs à la ligne, observer l’incessant ballet des navires de plaisance, bateaux de pêche et autres cargos aux long cours entrant ou quittant la rade de Marseille. Ou bien encore pour seulement fixer l’horizon infini en s’émerveillant de la beauté du grand large.


Frédéric Blanc

:app:

:8-): :wink: :up:

marseille :-030-:

prépart les papier pour cnep_cool ya massilia

Mariage arrangé m3a el roumia oula chawala ya Cnep_cool, seqsi ya Angel ! :mdr:

awah, il lu faut une veai romia pur les papiers
aya ya khaled donne_ lui tes conditions :-009-:

sahbi wella te3ref une vrai marseillaise ki aime les algérien et les brun chui la, lmariage cet été direct :mdr:

aya massilia, dirl7oum une bonne affaire pour tes freres

Sahbi hadi na3rfa mlih ! t'en pense quoi ! :mdr: :mdr:

rah darlkoum une tres bonne affaire lol

:mdr: aya ta osé touché a ma femme,
sahbi hadi qaletli malazemch tsom remdan, bessah je peu pa me séparé delle daretli waqila s'hour :mdr:

ANGEL DI MARIA a écrit:rah darlkoum une tres bonne affaire lol

maderlna walou hadi c ma femme :mdr:

imala je connais un bon Marabou fi bejaïa :-019-:

massilia a écrit:imala je connais un bon Marabou fi bejaïa :-019-:

vive 3assban ta3 mayou :-019-:

C'est où ?