Les attentats terroristes.
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Les attentats terroristes.
-Le Palais du Gouvernement a été ciblé par une voiture piégée. Une de ses façades a été complètement soufflée
-Plusieurs commissariats ont été également visés par des attentats à l’explosif dont celui de Bab Ezzouar
-Une panique généralisée dans la capitale où le carrousel des ambulances a été incessant des heures durant.
L’APS a fait état dans un premier bilan de 9 morts et 32 blessés dans l’attentat du Palais et de 8 morts et
50 blessés à Bab Ezzouar.
Pour le malheur de ses passagers, un bus de transport universitaire passait devant le Palais du Gouvernement à 10 heures 40 précises. Il s’apprêtait à arpenter la côte menant vers le boulevard Frantz-Fanon quand une énorme explosion s'est fait entendre.
A notre arrivée sur les lieux, 5 minutes plus tard, des étudiantes en pleurs, pour la plupart blessées plus ou moins gravement, étaient allongées sur le trottoir. Nos tentatives de leur arracher des témoignages étaient vaines. Elles n’ont rien vu, rien entendu. Encore sous le choc, elles sont inconsolables.
Des agents de la Protection civile, dont l’unité se trouve à quelques mètres leur prodiguaient les premiers soins et tentaient de les rassurer. Eux-mêmes n’en revenaient pas et leurs visages blêmes en disaient long sur l’horreur qu’ils viennent de vivre. Et que dire de ces policiers en pleurs. Les scènes sont trop fortes pour rester insensibles. Plusieurs de leurs collègues qui se trouvaient de service en cette matinée fatidique devant le Palais du Gouvernement figurent parmi les victimes, morts ou blessés gravement. Car des morts, il y en avait. Sur place, nous avons formellement comptabilisé 11 morts. Tous déchiquetés ou calcinés. Des images insoutenables. Trente minutes après l’attentat, les corps gisaient encore sur les trottoirs alentours et sur la chaussée. Les éléments de la Protection civile et des services de sécurité ne les ont pas encore acheminés vers les hôpitaux. Ils se sont occupés des blessés qui se comptent par dizaines, peut-être par centaines. Impossible de les compter sur place tant tout le monde semblait avoir été touché. Des jeunes filles, des gamins des vieux attendaient, allongés par terre, à recevoir les premiers soins. Les secours sont débordés.
Mais les images les plus insoutenables sont celles des corps déchiquetés. Pour la plupart des policiers et des citoyens au volant de leur véhicule. Plusieurs voitures qui passaient par les lieux au moment de l’explosion sont calcinées. Avec elles leurs occupants. Encore en flammes au moment où nous nous trouvions sur place, elles contiendraient probablement d’autres corps. La violence de l’explosion a été telle que toute la partie sud du bâtiment abritant le siège du gouvernement a été démolie. Plusieurs fonctionnaires sont également touchés. Nous avons vu au moins un corps sorti des bureaux par les éléments de la Protection civile. Une femme dont la tête est écrabouillée. La moitié de son visage est arrachée. Insoutenable. La grille du jardin d’enfants faisant face au Palais du Gouvernement a été arrachée par le souffle de la bombe. Un corps, probablement un policier ou un passant, gisait sur la pelouse, méconnaissable. Impossible de déterminer même son sexe.
Le véhicule qui a servi à l’attentat est tout simplement désintégré. Seuls les véhicules des passants, se trouvaient encore sur place, tout en flammes. Ce n’est qu’une demi-heure après l’attentat que les éléments des services de sécurité ont commencé à couvrir les cadavres de draps et de couvertures. Il y aurait probablement d’autres victimes parmi les fonctionnaires du gouvernement tant les dégât subis par la façade touchée sont importants : fenêtres arrachées, balcons et murs démolis…
-Plusieurs commissariats ont été également visés par des attentats à l’explosif dont celui de Bab Ezzouar
-Une panique généralisée dans la capitale où le carrousel des ambulances a été incessant des heures durant.
L’APS a fait état dans un premier bilan de 9 morts et 32 blessés dans l’attentat du Palais et de 8 morts et
50 blessés à Bab Ezzouar.
Pour le malheur de ses passagers, un bus de transport universitaire passait devant le Palais du Gouvernement à 10 heures 40 précises. Il s’apprêtait à arpenter la côte menant vers le boulevard Frantz-Fanon quand une énorme explosion s'est fait entendre.
A notre arrivée sur les lieux, 5 minutes plus tard, des étudiantes en pleurs, pour la plupart blessées plus ou moins gravement, étaient allongées sur le trottoir. Nos tentatives de leur arracher des témoignages étaient vaines. Elles n’ont rien vu, rien entendu. Encore sous le choc, elles sont inconsolables.
Des agents de la Protection civile, dont l’unité se trouve à quelques mètres leur prodiguaient les premiers soins et tentaient de les rassurer. Eux-mêmes n’en revenaient pas et leurs visages blêmes en disaient long sur l’horreur qu’ils viennent de vivre. Et que dire de ces policiers en pleurs. Les scènes sont trop fortes pour rester insensibles. Plusieurs de leurs collègues qui se trouvaient de service en cette matinée fatidique devant le Palais du Gouvernement figurent parmi les victimes, morts ou blessés gravement. Car des morts, il y en avait. Sur place, nous avons formellement comptabilisé 11 morts. Tous déchiquetés ou calcinés. Des images insoutenables. Trente minutes après l’attentat, les corps gisaient encore sur les trottoirs alentours et sur la chaussée. Les éléments de la Protection civile et des services de sécurité ne les ont pas encore acheminés vers les hôpitaux. Ils se sont occupés des blessés qui se comptent par dizaines, peut-être par centaines. Impossible de les compter sur place tant tout le monde semblait avoir été touché. Des jeunes filles, des gamins des vieux attendaient, allongés par terre, à recevoir les premiers soins. Les secours sont débordés.
Mais les images les plus insoutenables sont celles des corps déchiquetés. Pour la plupart des policiers et des citoyens au volant de leur véhicule. Plusieurs voitures qui passaient par les lieux au moment de l’explosion sont calcinées. Avec elles leurs occupants. Encore en flammes au moment où nous nous trouvions sur place, elles contiendraient probablement d’autres corps. La violence de l’explosion a été telle que toute la partie sud du bâtiment abritant le siège du gouvernement a été démolie. Plusieurs fonctionnaires sont également touchés. Nous avons vu au moins un corps sorti des bureaux par les éléments de la Protection civile. Une femme dont la tête est écrabouillée. La moitié de son visage est arrachée. Insoutenable. La grille du jardin d’enfants faisant face au Palais du Gouvernement a été arrachée par le souffle de la bombe. Un corps, probablement un policier ou un passant, gisait sur la pelouse, méconnaissable. Impossible de déterminer même son sexe.
Le véhicule qui a servi à l’attentat est tout simplement désintégré. Seuls les véhicules des passants, se trouvaient encore sur place, tout en flammes. Ce n’est qu’une demi-heure après l’attentat que les éléments des services de sécurité ont commencé à couvrir les cadavres de draps et de couvertures. Il y aurait probablement d’autres victimes parmi les fonctionnaires du gouvernement tant les dégât subis par la façade touchée sont importants : fenêtres arrachées, balcons et murs démolis…
Dernière édition par le Mar 17 Avr - 15:32, édité 2 fois
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Re: Les attentats terroristes.
Innâ lillâh 'wa innâ ilayhi 3âdji3oune wa lâ hawla wa lâ qouwwata illâ billâh;
Allah yehdi ma'khleq ... yâ qâtel errôuh wine trôuh
Allah yehdi ma'khleq ... yâ qâtel errôuh wine trôuh
Re: Les attentats terroristes.
Deux attentats à la bombe font 30 morts à Alger
Deux attentats à la bombe, dont l'un a visé les bureaux du Premier ministre, ont fait 30 morts à Alger, selon des sources hospitalières, renforçant les craintes de voir le pays sombrer à nouveau dans la violence.
Ces attentats ont été revendiqués par l'organisation Al Qaïda au Maghreb islamique, dans un appel à la chaîne de télévision Al Djazira.
L'agence de presse officielle algérienne APS, pour sa part, avance un bilan de 23 morts et 162 blessés dans ces deux attaques, la première contre le Palais du gouvernement, l'autre à Bab Ezzouar, un faubourg de l'est de la ville.
Selon APS, la cible de ce dernier attentat était un commissariat.
L'attaque contre le Palais du gouvernement est le premier attentat d'envergure depuis les années 1990 dans le centre de la capitale algérienne, où la sécurité a été renforcée ces derniers temps.
L'Algérie connaît depuis le début de l'année un regain de violence lié à l'évolution du principal mouvement islamiste, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
Celui-ci s'est rebaptisé en janvier Organisation Al Qaïda au Maghreb islamique et a annoncé un renforcement de ses liens avec la nébuleuse islamiste internationale.
Le groupe a revendiqué plusieurs attentats ces derniers mois et ses militants ont affronté à plusieurs reprises les forces de sécurité.
"Je croyais que les explosions à Alger, c'était fini", a dit Leila Assaoui, 25 ans, en pleurs près du Palais du gouvernement. "J'ai fait une grosse erreur."
L'Algérie avait sombré dans la violence en 1992 à la suite de la décision du gouvernement, soutenu par l'armée, d'annuler des législatives que le Front islamique du salut (Fis) était en passe de remporter.
Les violences qui ont suivi ont fait près de 200.000 morts.
UNE REPONSE A L'OFFENSIVE DE L'ARMEE ?
En dépit de plusieurs amnisties accordées aux rebelles islamistes, la violence n'a jamais complètement disparu, même si elle se cantonnait ces dernières années aux montagnes à l'est d'Alger.
Au Palais du gouvernement, qui compte six étages, l'explosion a laissé un trou béant dans la façade et a endommagé les immeubles alentour. De source policière, on a précisé que cet attentat était l'oeuvre d'un kamikaze.
Le Premier ministre Abdelaziz Belkhadem, qui est indemne, a qualifié l'attentat d'acte "criminel et lâche", poursuit l'agence APS.
A Paris, le chef de la diplomatie française, Philippe Douste-Blazy, a exprimé son "horreur" et son "indignation" et adressé ses condoléances aux familles des victimes.
"Au début, j'ai pensé qu'il s'agissait d'un séisme", a déclaré l'avocat Tahar bin Taleb. "Ma femme m'a appelé peu après en criant et en pleurant. J'ai couru chez moi où j'ai trouvé tous les carreaux et tous les miroirs brisés."
Plusieurs ambulances ont été dépêchées sirènes hurlantes dans ce quartier résidentiel, où des milliers de personnes affolées sont descendues dans les rues.
Pour Anis Rahmani, spécialiste des questions de sécurité, ces attentats semblent être une réponse des islamistes à l'offensive menée par l'armée contre leurs bastions dans la région de Bedjaïa, dans les montagnes à l'est d'Alger.
"C'est une réaction violente aux opérations de Bedjaïa où d'importants chefs d'Al Qaïda au Maghreb se retrouvent encerclés", a-t-il dit.
"Ce groupe n'a bien sûr pas la capacité de renverser le gouvernement mais il est en mesure de perturber la vie des habitants d'Alger."
Les commissariats sont une des cibles privilégiées des rebelles islamistes algériens. Le 13 février, plusieurs postes de police avaient été visés par des attentats à la bombe à l'est de la capitale. Il y a avait eu six morts et une douzaine de blessés.
Deux attentats à la bombe, dont l'un a visé les bureaux du Premier ministre, ont fait 30 morts à Alger, selon des sources hospitalières, renforçant les craintes de voir le pays sombrer à nouveau dans la violence.
Ces attentats ont été revendiqués par l'organisation Al Qaïda au Maghreb islamique, dans un appel à la chaîne de télévision Al Djazira.
L'agence de presse officielle algérienne APS, pour sa part, avance un bilan de 23 morts et 162 blessés dans ces deux attaques, la première contre le Palais du gouvernement, l'autre à Bab Ezzouar, un faubourg de l'est de la ville.
Selon APS, la cible de ce dernier attentat était un commissariat.
L'attaque contre le Palais du gouvernement est le premier attentat d'envergure depuis les années 1990 dans le centre de la capitale algérienne, où la sécurité a été renforcée ces derniers temps.
L'Algérie connaît depuis le début de l'année un regain de violence lié à l'évolution du principal mouvement islamiste, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
Celui-ci s'est rebaptisé en janvier Organisation Al Qaïda au Maghreb islamique et a annoncé un renforcement de ses liens avec la nébuleuse islamiste internationale.
Le groupe a revendiqué plusieurs attentats ces derniers mois et ses militants ont affronté à plusieurs reprises les forces de sécurité.
"Je croyais que les explosions à Alger, c'était fini", a dit Leila Assaoui, 25 ans, en pleurs près du Palais du gouvernement. "J'ai fait une grosse erreur."
L'Algérie avait sombré dans la violence en 1992 à la suite de la décision du gouvernement, soutenu par l'armée, d'annuler des législatives que le Front islamique du salut (Fis) était en passe de remporter.
Les violences qui ont suivi ont fait près de 200.000 morts.
UNE REPONSE A L'OFFENSIVE DE L'ARMEE ?
En dépit de plusieurs amnisties accordées aux rebelles islamistes, la violence n'a jamais complètement disparu, même si elle se cantonnait ces dernières années aux montagnes à l'est d'Alger.
Au Palais du gouvernement, qui compte six étages, l'explosion a laissé un trou béant dans la façade et a endommagé les immeubles alentour. De source policière, on a précisé que cet attentat était l'oeuvre d'un kamikaze.
Le Premier ministre Abdelaziz Belkhadem, qui est indemne, a qualifié l'attentat d'acte "criminel et lâche", poursuit l'agence APS.
A Paris, le chef de la diplomatie française, Philippe Douste-Blazy, a exprimé son "horreur" et son "indignation" et adressé ses condoléances aux familles des victimes.
"Au début, j'ai pensé qu'il s'agissait d'un séisme", a déclaré l'avocat Tahar bin Taleb. "Ma femme m'a appelé peu après en criant et en pleurant. J'ai couru chez moi où j'ai trouvé tous les carreaux et tous les miroirs brisés."
Plusieurs ambulances ont été dépêchées sirènes hurlantes dans ce quartier résidentiel, où des milliers de personnes affolées sont descendues dans les rues.
Pour Anis Rahmani, spécialiste des questions de sécurité, ces attentats semblent être une réponse des islamistes à l'offensive menée par l'armée contre leurs bastions dans la région de Bedjaïa, dans les montagnes à l'est d'Alger.
"C'est une réaction violente aux opérations de Bedjaïa où d'importants chefs d'Al Qaïda au Maghreb se retrouvent encerclés", a-t-il dit.
"Ce groupe n'a bien sûr pas la capacité de renverser le gouvernement mais il est en mesure de perturber la vie des habitants d'Alger."
Les commissariats sont une des cibles privilégiées des rebelles islamistes algériens. Le 13 février, plusieurs postes de police avaient été visés par des attentats à la bombe à l'est de la capitale. Il y a avait eu six morts et une douzaine de blessés.
Re: Les attentats terroristes.
Sans commentaire .
clermontois- Nombre de messages : 237
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Re: Les attentats terroristes.
C'est pas normal ces attentats, à mon avis, il y a deux hypotéses à ça :
Soit, c'est pour faire diversion et attirer l'attention sur Alger, et pérmétre aux émirs qu'il y a à Bejaia (Amizoure) de s'enfuire où se métre dans des zones moins chaudes.
Soit ce qui se passe à Bejaia c'est justement une diversion pour oublier un peu Alger et se focaliser sur Bejaia.
En dis qu'EL-QUAIDA a pérpétré ces attentats, c'est quoi leurs revondications?
Soit, c'est pour faire diversion et attirer l'attention sur Alger, et pérmétre aux émirs qu'il y a à Bejaia (Amizoure) de s'enfuire où se métre dans des zones moins chaudes.
Soit ce qui se passe à Bejaia c'est justement une diversion pour oublier un peu Alger et se focaliser sur Bejaia.
En dis qu'EL-QUAIDA a pérpétré ces attentats, c'est quoi leurs revondications?
AzIouZ- Modérateurs
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Re: Les attentats terroristes.
Et à quoi s'a sert de cacher leur visage, s'été des kamikases, et ils sont morts à présent
Re: Les attentats terroristes.
La bêtise humaine n'a vraiment pas de limite; c'est répugnant ... quand on sait que Dieu nous interdit le suicide... comment une personne se donne-t-elle le droit de donner la mort à d'autres personnes, quand elle n'a même pas le droit de tuer sa petite personne?? :enervé:
كيف يقتل النفس التي حرّمها الله الاّ بالحق
Nous présentons nos condoléances attristées à toutes les familles des victimes et les assurons de notre profonde compassion.
Rebbi idjib esber ou yerham edahâyâ
اناّ لله و اناّ اليه راجعون ... حسبنا الله و نعم الوكيل
كيف يقتل النفس التي حرّمها الله الاّ بالحق
Nous présentons nos condoléances attristées à toutes les familles des victimes et les assurons de notre profonde compassion.
Rebbi idjib esber ou yerham edahâyâ
اناّ لله و اناّ اليه راجعون ... حسبنا الله و نعم الوكيل
Re: Les attentats terroristes.
ziko2006 a écrit:C'est pas normal ces attentats, à mon avis, il y a deux hypotéses à ça :
Soit, c'est pour faire diversion et attirer l'attention sur Alger, et pérmétre aux émirs qu'il y a à Bejaia (Amizoure) de s'enfuire où se métre dans des zones moins chaudes.
Soit ce qui se passe à Bejaia c'est justement une diversion pour oublier un peu Alger et se focaliser sur Bejaia.
En dis qu'EL-QUAIDA a pérpétré ces attentats, c'est quoi leurs revondications?
tout est fini à Merdj Ouaman Ziko, les gens peuvent maintenant aller à l'endroit ou se cachés les terroristes et leurs familles sans aucun souci, même l'armée a quitté les lieu, c'est devenu un musée en plein air ou les curieux font des incessants vas et viens.
inna lilah ou inna ilayhi radjioune
je souhaite bon rétablissement aux blessés et de la patience pour la familles des gens morts dans ses terribles attentas d'Alger
Re: Les attentats terroristes.
boulevard boy a écrit:ziko2006 a écrit:C'est pas normal ces attentats, à mon avis, il y a deux hypotéses à ça :
Soit, c'est pour faire diversion et attirer l'attention sur Alger, et pérmétre aux émirs qu'il y a à Bejaia (Amizoure) de s'enfuire où se métre dans des zones moins chaudes.
Soit ce qui se passe à Bejaia c'est justement une diversion pour oublier un peu Alger et se focaliser sur Bejaia.
En dis qu'EL-QUAIDA a pérpétré ces attentats, c'est quoi leurs revondications?
tout est fini à Merdj Ouaman Ziko, les gens peuvent maintenant aller à l'endroit ou se cachés les terroristes et leurs familles sans aucun souci, même l'armée a quitté les lieu , c'est devenu un musée en plein air ou les curieux font des incessants vas et viens.
inna lilah ou inna ilayhi radjioune
je souhaite bon rétablissement aux blessés et de la patience pour la familles des gens morts dans ses terribles attentas d'Alger
Veux-tu nous expliquer, s'il te plait, comment s'est fait le dénouement de cette "traque"? Est-ce que ces "nigauds" qui se font appeler "émirs" ont été arrêtés comme ils le méritent ou bien ils ont pu fuir, ce qui serait condamnable???
Re: Les attentats terroristes.
Benkad a écrit:boulevard boy a écrit:
tout est fini à Merdj Ouaman Ziko, les gens peuvent maintenant aller à l'endroit ou se cachés les terroristes et leurs familles sans aucun souci, même l'armée a quitté les lieu , c'est devenu un musée en plein air ou les curieux font des incessants vas et viens.
Veux-tu nous expliquer, s'il te plait, comment s'est fait le dénouement de cette "traque"? Est-ce que ces "nigauds" qui se font appeler "émirs" ont été arrêtés comme ils le méritent ou bien ils ont pu fuir, ce qui serait condamnable???
j'ai des amis à Merdj Ouman, ils m'ont dit que l'armés les as tous exterminés...mais la vérité y a que dieu qui sais et bien sur la sécurité et le pouvoir .
Dernière édition par le Jeu 12 Avr - 16:38, édité 1 fois
Re: Les attentats terroristes.
boulevard boy a écrit:Benkad a écrit:boulevard boy a écrit:
tout est fini à Merdj Ouaman Ziko, les gens peuvent maintenant aller à l'endroit ou se cachés les terroristes et leurs familles sans aucun souci, même l'armée a quitté les lieu , c'est devenu un musée en plein air ou les curieux font des incessants vas et viens.
Veux-tu nous expliquer, s'il te plait, comment s'est fait le dénouement de cette "traque"? Est-ce que ces "nigauds" qui se font appeler "émirs" ont été arrêtés comme ils le méritent ou bien ils ont pu fuir, ce qui serait condamnable???
j'ai des amis à Merdj Ouman, ils m'ont dit que l'armés les as tous exterminés...mais la vérité y a que dieu qui c'est et bien sur la sécurité et le pouvoir .
Merci Boulevard boy pour ces renseignements et vivement, inch'Allah, que toute la région soit sécurisée et tout le Pays, bien sûr
Re: Les attentats terroristes.
ziko2006 a écrit:Et à quoi s'a sert de cacher leur visage, s'été des kamikases, et ils sont morts à présent
c'est des laches comment veut tu qu'ils montrent leurs visages !!
des gens comme ça c'est a exterimné au gaz, y'a pas de mots pour decrir la peur des algeriens a l'annonce de ses attentats , qcqu'ils veulent au juste , c'est quoi le but des ses attentats ??
autant de questions qui reste posé !!
comme dit hakim laalam , je fume du thé et je reste eveillé le cuahemars continue !! :| :
Re: Les attentats terroristes.
La hawala wala kouwata illa BILLèH
Quelle image ces ignorants donnent à l'islam !!!
Que Dieu accueille l'âme de ces morts innocents dans son vaste paradis et les comble de sa Miséricorde Ameene.
Quelle image ces ignorants donnent à l'islam !!!
Que Dieu accueille l'âme de ces morts innocents dans son vaste paradis et les comble de sa Miséricorde Ameene.
Re: Les attentats terroristes.
Les trois kamikazes auteurs des attentats de mercredi étaient Algériens
L’inexplicable suicide de trois jeunes Algérois
Les trois terroristes derrière le double attentat de mercredi dernier ont préféré se faire exploser plutôt que d’être arrêtés. Ils ont pris pour cibles des édifices étatiques, symboles du pouvoir exécutif.
Qui sont ces trois kamikazes qui ont pu synchroniser leur action barbare ? D’où viennent-ils ? Sont-ils fichés au niveau des commissariats ? Sont-ils des repentis ou bien sont-ils de nouvelles recrues ? Sont-ils affiliés à Al Qaïda et ont-ils donné leur vie pour une véritable cause ou pour uniquement de l’argent, parce qu’ils vivent dans la misère ? Ce sont entre autres les interrogations que se pose la population au lendemain des attentats qui ont ébranlé le cœur de la capitale. Les trois kamikazes, d’après les services de sécurité, ne sont ni des Afghans, ni de tendance chiite. Ce sont des individus de nationalité algérienne et résidant en Algérie. Selon notre source, c’est pratiquement la première fois que des individus natifs d’Alger, la capitale, commettent des attentats dans le centre-ville, non loin de leur demeure. « Durant la décennie noire, les attentats perpétrés à Alger sont à 90% commis par des terroristes résidant à l’extérieur, soit Boumerdès, Bouira ou autres... Cette fois-ci, les terroristes sont des Algérois et ils sont tous les trois très jeunes. Leur âge ne dépasse pas la trentaine », a expliqué une source qui a requis l’anonymat. Parmi les trois kamikazes, deux ne sont pas connus des services de sécurité, ce sont de nouvelles recrues. Selon certaines indiscrétions, l’un habiterait Baraki et l’autre résiderait à Larbâa. Par contre, le troisième terroriste est fiché au niveau de la police. Celui-ci aurait des antécédents avec la justice, il habite le Lotissement Michel à El Harrach. Il s’agit de Mouadh Bin Djabal, de son vrai nom Boudina Merouane, âgé de 28 ans, et dont la photo a été diffusée par l’organisation Al Qaïda au Maghreb islamique. Celle-ci a, pour rappel, revendiqué mercredi l’attentat sanglant. Boudina Merouane avait pour « mission » d’attaquer le siège du Palais du gouvernement. Selon notre source, il était bourré d’explosifs et a pris d’abord la peine de sortir de son véhicule piégé non pas pour fuir, mais pour se faire exploser en même temps que la voiture. « Ce jeune habitant dans un bidonville a accepté probablement d’être pris en photo à visage découvert parce qu’il est recherché par les services de sécurité. En somme, il est connu et il n’a donc rien à perdre ni à craindre. Tandis que les deux autres, ils ne sont pas connus. Ce sont de nouvelles têtes qui ont préféré envelopper leur visage dans un turban vert kaki pour qu’ils ne soient pas reconnus, afin de protéger leurs proches », a précisé notre source qui fera remarquer que « l’identification des terroristes demande du temps et un travail d’investigation. Nous tentons pour le moment de recouper les informations et de remonter la piste des commanditaires des deux attentats sanglants ». Depuis mercredi, les services de sécurité sont à pied d’œuvre, à la recherche du moindre indice pouvant les renseigner sur l’identité des kamikazes, sur la nature des explosifs utilisés... « Les auteurs des attentats ont été pulvérisés dans les voitures suicide qu’ils ont lancées contre leurs cibles et les indices qu’ils ont laissés, essentiellement de la ferraille calcinée et des lambeaux de vêtements, semblent ténus », ont affirmé les experts. Notons que dans un communiqué publié sur un site internet islamiste, utilisé souvent par le réseau d’Oussama Ben Laden, la branche locale d’Al Qaïda a confirmé que trois de ses combattants ont perpétré les attentats à la voiture piégée. L’attentat contre le siège d’Interpol à Bab Ezzouar a été commis par le kamikaze Zoubeir Abou Sajida et le troisième attentat qui a visé le siège des forces spéciales de la police dans la même localité a été mené par Abou Dujana. Nabila Amir
Nabila Amir
L’inexplicable suicide de trois jeunes Algérois
Les trois terroristes derrière le double attentat de mercredi dernier ont préféré se faire exploser plutôt que d’être arrêtés. Ils ont pris pour cibles des édifices étatiques, symboles du pouvoir exécutif.
Qui sont ces trois kamikazes qui ont pu synchroniser leur action barbare ? D’où viennent-ils ? Sont-ils fichés au niveau des commissariats ? Sont-ils des repentis ou bien sont-ils de nouvelles recrues ? Sont-ils affiliés à Al Qaïda et ont-ils donné leur vie pour une véritable cause ou pour uniquement de l’argent, parce qu’ils vivent dans la misère ? Ce sont entre autres les interrogations que se pose la population au lendemain des attentats qui ont ébranlé le cœur de la capitale. Les trois kamikazes, d’après les services de sécurité, ne sont ni des Afghans, ni de tendance chiite. Ce sont des individus de nationalité algérienne et résidant en Algérie. Selon notre source, c’est pratiquement la première fois que des individus natifs d’Alger, la capitale, commettent des attentats dans le centre-ville, non loin de leur demeure. « Durant la décennie noire, les attentats perpétrés à Alger sont à 90% commis par des terroristes résidant à l’extérieur, soit Boumerdès, Bouira ou autres... Cette fois-ci, les terroristes sont des Algérois et ils sont tous les trois très jeunes. Leur âge ne dépasse pas la trentaine », a expliqué une source qui a requis l’anonymat. Parmi les trois kamikazes, deux ne sont pas connus des services de sécurité, ce sont de nouvelles recrues. Selon certaines indiscrétions, l’un habiterait Baraki et l’autre résiderait à Larbâa. Par contre, le troisième terroriste est fiché au niveau de la police. Celui-ci aurait des antécédents avec la justice, il habite le Lotissement Michel à El Harrach. Il s’agit de Mouadh Bin Djabal, de son vrai nom Boudina Merouane, âgé de 28 ans, et dont la photo a été diffusée par l’organisation Al Qaïda au Maghreb islamique. Celle-ci a, pour rappel, revendiqué mercredi l’attentat sanglant. Boudina Merouane avait pour « mission » d’attaquer le siège du Palais du gouvernement. Selon notre source, il était bourré d’explosifs et a pris d’abord la peine de sortir de son véhicule piégé non pas pour fuir, mais pour se faire exploser en même temps que la voiture. « Ce jeune habitant dans un bidonville a accepté probablement d’être pris en photo à visage découvert parce qu’il est recherché par les services de sécurité. En somme, il est connu et il n’a donc rien à perdre ni à craindre. Tandis que les deux autres, ils ne sont pas connus. Ce sont de nouvelles têtes qui ont préféré envelopper leur visage dans un turban vert kaki pour qu’ils ne soient pas reconnus, afin de protéger leurs proches », a précisé notre source qui fera remarquer que « l’identification des terroristes demande du temps et un travail d’investigation. Nous tentons pour le moment de recouper les informations et de remonter la piste des commanditaires des deux attentats sanglants ». Depuis mercredi, les services de sécurité sont à pied d’œuvre, à la recherche du moindre indice pouvant les renseigner sur l’identité des kamikazes, sur la nature des explosifs utilisés... « Les auteurs des attentats ont été pulvérisés dans les voitures suicide qu’ils ont lancées contre leurs cibles et les indices qu’ils ont laissés, essentiellement de la ferraille calcinée et des lambeaux de vêtements, semblent ténus », ont affirmé les experts. Notons que dans un communiqué publié sur un site internet islamiste, utilisé souvent par le réseau d’Oussama Ben Laden, la branche locale d’Al Qaïda a confirmé que trois de ses combattants ont perpétré les attentats à la voiture piégée. L’attentat contre le siège d’Interpol à Bab Ezzouar a été commis par le kamikaze Zoubeir Abou Sajida et le troisième attentat qui a visé le siège des forces spéciales de la police dans la même localité a été mené par Abou Dujana. Nabila Amir
Nabila Amir
Re: Les attentats terroristes.
Que dire je ne justifie pas leurs gestes , mais vivre dans la misere les a poussé a commetre ça avec l'aide de certains qui se sont accaparé les religion a des fins personnels :evilvery: :evilvery: :evilvery:
Re: Les attentats terroristes.
Université de Béjaïa
Fausse alerte à la bombe à Targa Ouzemmour
l Béjaïa vit ces derniers jours au rythme des fausses alertes à la bombe. Après celle qui a eu pour théâtre la grande surface du lac où se tenait une foire commerciale, hier la peur au ventre a eu raison sur les étudiants. En effet une alerte faisant état de l’existence d’une bombe au niveau du campus de Targa Ouzemmour a été donnée par le biais d’un appel anonyme lundi aux environs de 13h 30. Suite à quoi les agents de sécurité du campus en collaboration avec les services de sécurité ont procédé à l’évacuation des lieux. Dès lors une panique indescriptible s’est emparée des étudiants qui courraient dans tous les sens. Une recherche minutieuse a été déclenchée par les services de sécurité au niveau du campus, mais point de bombe. Cette nouvelle fausse alerte survient alors que Béjaïa s’apprête à participer aujourd’hui à une marche de dénonciation des attentats du 11 avril à Alger.
la dépeche
AzIouZ- Modérateurs
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Re: Les attentats terroristes.
Un voisin de Bougie m'a parlé de ces fausses alertes, ADHISTèR REBBI BARK :| :
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