[Explosions] Bombes térroristes à Alger

Qui est derrière c’est deux attentas ?
Pourquoi maintenant ???
Sans commentaire, sinon adenigh la3djev :mad:

c pas normale...No comment
allah yarmhoum.

massi a écrit:Qui est derrière c’est deux attentas ?
Pourquoi maintenant ???
Sans commentaire, sinon adenigh la3djev :mad:

oublier la vie chére !!! et les problemes .....!!!! ...marcher dans les rues..... :nooon:

kelma-69 a écrit:

massi a écrit:Qui est derrière c’est deux attentas ?
Pourquoi maintenant ???
Sans commentaire, sinon adenigh la3djev :mad:

oublier la vie chére !!! et les problemes .....!!!! ...marcher dans les rues..... :nooon:

Pour que le peuple reste toujours leur esclave

Tout a l'heure le ministre ben khadem avait annoncé 27 Morts et 53 blessés!!!!

Il se fou de notre tranche ou quoi!!!!, une dizaines de voitures et bus ainsi que 2 immeubles réduits en miettes et il n'ya eu que 27 morts!!!

:nooon: . Je crains qu'il n'y est netement plus.

Un topic qui parle de l’attenta ya ptizoi existe déjà sur la page Divers :lol:

massi a écrit:Un topic qui parle de l’attenta ya ptizoi existe déjà sur la page Divers :lol:

:oops: :oops:

- * Deux attentats kamikazes font 72 morts et deux cents blessés
- * L’horreur un 11 décembre sur l’avenue du 11 Décembre !
- إنا لله و إنا إليه راجعون

Je connais bien le coin a Ben Aknoun, c'est reputé pour être calme, de même pour Hydra.
Allah Yerham li matou. :mygod :

l'ecart entre les bilans est vraiment grands ... :evilvery:

Allah yarham li matou, c'est un acte condamnable, Allah ghaleb on a pas un Etat ferme
Pauvre Algérie ! Pauvres Algériens !
Sbar kan imawlan widh iguemouthen

Retour sur les lieux du drame
A Hydra : .... suspense et terreur

“Ne me parlez pas, allez dans ce sens,” nous lance un agent de la circulation juste avant la placette de Hydra où deux camions anti-émeutes sont stationnés. Les services de sécurité sont présents partout. 11h 45 mn.

Après vérification de notre identité, on traverse le poste de contrôle situé à proximité de la bâtisse du siège de l’ONU, beaucoup de curieux, l’air hagard et perdu, accourent vers la ruelle du bâtiment où un poste de contrôle est installé. Rien à faire, l’accès est filtré. On remarque la présence de la présidente de l’Association des victimes du terrorisme et de nombreux confrères. Trois personnes ramenant des vivres ressassent: “Ouellah ma tfout “, lance avec fermeté un policier à quelqu’ un qui voulait se faufiler entre quelques habitants des lieux.

On tente une percée de l’autre accès, même tpo: des mesures draconiennes sont prises à l’encontre des journalistes de la presse nationale, les conditions de travail sont très difficiles...Presque impossibles. Un groupe de femmes sort du lieu du drame, éplorées, silencieuses...elles semblent muettes. Un jeune de 23 ans, travaillant à l’Aurassi et qui habite dans le coin vient de sortir de la zone bouclée, blessé à la tête, lui aussi. “ Celle qui vient déjeuner avec nous,... celle à la coupe carrée est tirée des décombres morte,” lance-t-il la mine défaite. Sollicité pour nous en dire plus, “Excusez-moi, je n’ai pas le droit, on nous a donné des instructions,” nous rétorque t-il avec un air de désolation.

Retour vers le 1er accès. 12 h 45. Des engins sont toujours à l’œuvre, un camion chargé de décombres sort de la zone, un autre de grand tonnage sape le petit espace contenant la grande foule compacte, que se partagent les curieux, les journalistes et les services de sécurité.

Un jeune d’une trentaine d’années le regard aussi sombre que le ciel d’Alger en cette matinée d’hier.

Il attend des nouvelles de son frère chauffeur au siège de l’ONU, 42 ans, père de 4 enfants “ On n’a aucune nouvelle de lui, il nous ont laissés ici depuis trois heures du matin, ma famille et moi,” nous dit-il, visiblement épuisé et éreinté par la dure épreuve et d’ajouter: “ Il y’a encore cinq sous les décombres, ils ont tiré quatre hommes et une femme, depuis ce matin, c’est ce qui nous laisse espérer.” Son compagnon enchaîne “personne ne nous rassure, ghir li koulek bâad ou rouh.” Ils ont tiré à 3 h du matin, un chauffeur de 32 ans, c’est ce qui nous donne du courage et de l’espoir. Une voix féminine au téléphone du 1er, c’est la mère du du chauffeur qui appelle de chez elle, à Aîn Naâdja. “Ne t’inquiète pas maman, ils sont encore en train de creuser, je t’appellerai dès qu’il y aura du nouveau”, en tentant de la rassurer. Un confrère excédé par les mesures prises à l’encontre des journalistes marmonnait. “ Et pourtant Zerhouni a affirmé hier qu’on travaille normalement, les photographes, la presse nationale.” Cour suprême. Il est 14h. Seuls les tenants des commercants limitrophes et les habitants des environs immédiats sont autorisés à passer outre le périmètre de sécurité. Deux camions-citernes de Net Com nettoient encore les lieux de la déflagration. On tente notre chance pour entrer malgré le refus, “Talkie-wallkie à la main, après confirmation avec son vis à vis, on nous signifia le refus catégorique, malgré l’accès de deux confrères arabophones. Des curieux s’agglutinent en groupes, un Chinois de passage attire l’attention des présents... il s’évapore en un temps record, on quitte les lieux avec un sentiment de frustration. Plus tard vers 16 h, on apprend que le bilan s’est alourdi à 30 morts et que nos confrères ont pu accéder aux lieux des deux drames... . La voix de la mère du chauffeur du siège de l’ONU et celle de son fils tentant de la rassurer retentissent, sans toutefois avoir de nouvelles de leur sort.



Ahmed Kessi

Le bilan officiel selon Medelci
30 morts, dont 5 étrangers et 28 blessés encore hospitalisés

Le dernier bilan officiel disponible des deux attentats qui ont frappé, mardi, la capitale, est de 30 morts, dont 5 étrangers, et 28 blessés hospitalisés, selon Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, Interviewé, au telephone hier mercredi, au micro d’Europe 1.

A la question de savoir si ces attentats risquent de mettre le pays en "situation de guerre civile", le chef de la diplomatie algérienne a répondu que "cela ne peut pas être une situation de guerre civile". Il affirmera également que la situation aujourd'hui c'est que le peuple algérien est " complètement uni contre le terrorisme".

Le chef de la diplomatie algérienne , a en outre dénoncé lors de cet entretien téléphonique les "manipulateurs qui utilisent à la fois des idées fausses mais aussi de la drogue" pour recruter des kamikazes. Interrogé sur le risque d'extension des attentats au Maghreb, il a fait savoir que : "C'est tout le monde qui est visé, aujourd'hui ou demain.", en soulignant dans ce contexte que "c'est un mal que nous sommes en mesure d'éradiquer, mais nous ne pouvons pas le faire séparément".



N.B

24 heures après les faits
Al-Qaïda aux pays du Maghreb revendique les attentats

L'ex-GSPC, labellisé Al-Qaïda, a revendiqué le double attentat qui a ciblé le siège du Conseil constitutionnel à Ben Aknoun et le siège du HCR à Hydra, mardi 11 décembre, dans un communiqué publié sur un des sites Internet de l’organisation terroriste. « Nous annonçons à la nation musulmane la bonne nouvelle : le succès de deux opérations martyres perpétrées par (...) deux héros à Alger pour défendre la nation de l'islam et humilier les croisés et leurs agents, les esclaves des Etats-Unis et les fils de France », ont indiqué les terroristes islamistes dans leur publication.

Tout en désignant leurs cibles, le siège du HCR à Alger, comme « le nid international des mécréants ». Evoquant la deuxième cible, les terroristes islamistes disent « près duquel est situé le siège de l'école de police ». L'identité de même que les photos des deux kamikazes ont été rendues publiques sur le site de l’ex-GSPC. Il s’agit d’El Cheikh Ibrahim Abou Atmane et de Abderrahmane Abou Abdenasser El Assimi.

Plus de 1 600 kg de TNT ont été utilisés par les deux kamikazes pour leur macabre besogne. Par ailleurs, les acolytes de Ben Laden au Maghreb menacent de perpétrer d’autres attentats, qu’ils promettent, meurtriers.



M. Mouloudj

Réactions suite aux attentats terroristes d' AlgerCondamnations unanimes

Les répliques au double-attentat qui a visé le siège du Conseil constitutionnel à Ben Aknoun ainsi que le siège du HCR et autres organismes de l’ONU à Hydra ne cesse d’affluer.

Ainsi, et après les réactions de la classe politique nationale, ainsi que celles d’autres organisations politiques, humanitaires, diplomatiques du monde entier, des acteurs de la scène politique algérienne et des personnalités mondiales condamnent ces lâches attentats qui ont coûté la vie à une trentaine d’innocents et plus d’une centaine de blessés, dont des étudiants et des écoliers.

L’Association des moudjahidine de la fédération de France du FLN, 1954-1962, la Wilaya 7, se disent " choqués et indignés " par les actions criminelles du 11 décembre. Ils ajoutent que ces criminels qui prétendent agir au nom de l’Islam obéissent, en réalité " à des instincts de destruction et à une soif de pouvoir qui sont encouragés de l’extérieur par tous les ennemis de l’Algérie ". Après avoir souligné que l’Islam véritable est celui de la paix et de la tolérance, les anciens de la Fédération de France du FLN estiment que la seule raison d’exister réside " dans une frénésie de massacres, croyant ainsi détourner le peuple algérien de sa détermination à édifier une société juste, prospère et solidaire, de traduire dans les faits les objectifs du 1er-Novembre 1954 ". Par ailleurs, dans la déclaration signée par Mohand Akli Benyounès, président de l’association, ils indiquent que ces actes rappellent "plus au moins, les forfaits du colonialisme français, aujourd’hui vaincu ". D’autre part, les anciens du FLN en France s’inclinent devant la mémoire des victimes, réaffirment leur solidarité avec les familles endeuillées, " appellent à une grande vigilance de tous pour vaincre ce fléau sans foi ni loi, et soutiennent l’action de Bouteflika pour rétablir la paix et la sécurité sans lesquelles aucune société viable ne peut être bâtie ". Le Forum des chefs d’entreprise, FCE, a dans une réaction aux attentats d’avant-hier, s’est dit profondément choqué par les odieux attentats. Le FCE " condamne avec fermeté " ces actes barbares, " qui viennent encore une fois frapper brutalement notre pays dans son élan vers la paix ". Plus loin, le communiqué du FCE estime que de tels actes " ne sauraient ébranler notre détermination à poursuivre inlassablement nos efforts dans la voie du développement économique et social, pour que la liberté, la sécurité et la justice triomphe dans notre pays ".

De son côté, le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie, MAK, par la voie de son président, Ferhat Mehenni, " condamne de toutes ses forces " les actes terroristes ainsi que " les auteurs de cette barbarie ". Par ailleurs le MAK dénonce " l’inconséquence du pouvoir " et particulièrement " la politique dite de réconciliation nationale, qui ne cesse d’être rejetée par les terroristes ". D’autre part, M. Mehenni considère qu’il serait malveillant, " une fois de plus ", d’appeler " à des manifestations de masse pour dénoncer le terrorisme, et en même temps soutenir la réconciliation nationale ". Pour sa part, la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme, LADDH de Me Bouchachi, a, dans une déclaration rendue publique hier, condamné avec force et sans réserve les attentats, " qui ont touché une population civile innocente et sans défense ". Par ailleurs, la LADDH s’incline devant les victimes de ces attentats et présente ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes et les assure de leur profonde sympathie. En fin, les rédacteurs de la déclaration de la LADDH appellent à un " sursaut pour l’amorce d’un véritable dialogue social et la mise en œuvre de véritables réformes démocratiques ", à même de mettre fin " aux causes qui engendrent l’exclusion, la violence et le terrorisme ".



La communauté internationale condamne le double-attentat d'Alger

Le roi du Maroc Mohammed VI a appris " avec une profonde peine, émotion et une grande indignation la nouvelle des agressions terroristes abjectes qui ont visé la capitale algérienne, causant nombre de victimes innocentes ", a rapporté l’AFP, hier matin. Selon la même source, le souverain marocain a réaffirmé sa " disposition constante à coopérer avec M. Bouteflika pour faire face à ce fléau étranger à la religion et à la culture des peuples de la région, et que récusent la religion et la loi ".

De son côté, Zine El Abidine Ben Ali, président tunisien, a adressé un message de condoléances à son homologue algérien, dans lequel il a qualifié ces actes de " crimes odieux " et exprimé ses " vifs sentiments de sympathie et de compassion avec les familles des victimes innocentes ". En outre, M. Ben Ali, a réitéré " son rejet du terrorisme sous toutes ses formes et ses manifestations ", et a fait part de " la solidarité entière de la Tunisie avec l'Algérie soeur dans sa lutte contre ce phénomène dangereux pour nos sociétés ".

Même réaction à la Péninsule d’Arabie, l'émir du Koweït, le cheikh Sabah Al Ahmed Al Sabah a condamné ces " actes de terrorisme " dans une lettre de soutien à Abdelaziz Bouteflika. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a, dans une conversation téléphonique avec le chef de l'Etat algérien, exprimé sa " compassion et sa solidarité avec le peuple algérien ".

Mêmes répliques en Europe, la Suisse a condamné " avec la plus grande fermeté les deux attentats odieux qui ont frappé la capitale algérienne ". La présidente de la Confédération, Micheline Calmy-Rey, a exprimé la solidarité du gouvernement et de la population suisse " à l'égard de tous ceux qui sont frappés par cette lâche attaque, qu'aucun motif ne saurait expliquer ou justifier ", a rapporté la presse européenne. Les mêmes réactions sont parvenues de la quasi-totalité des pays du Golfe, à l’instar du Qatar, le Yémen, les Emirats arabes unis et le Qatar ont vivement dénoncé les attentats d'Alger … Le Premier ministre portugais a exprimé au président Bouteflika sa " très vive émotion ", suite aux attentats criminels de mardi. De son côté, le Président égyptien, Hosni Moubarak, a fermement condamné les attentats terroristes perpétrés contre le siège du Conseil constitutionnel et le siège du HCR à Alger. M. Poutine a exprimé au président Bouteflika sa " condamnation " du double-attentat d'Alger. Le Programme alimentaire mondial de l'ONU (PAM) a adressé, hier, ses condoléances à la famille de l'une de ses employés tuée mardi dans les attentats d'Alger, selon un communiqué de l'organisation repris par l’AFP. La salariée du PAM, Gene Luna, 48 ans, de nationalité philippine, travaillait pour l'organisation depuis 5 ans mais n'était arrivée à Alger qu'il y a une semaine pour s'occuper des finances de l'organisation.

Le même communiqué a souligné qu’une autre employée, Lynda Matouqui, a été blessée dans l'attentat qui a totalement détruit le bâtiment abritant le PAM. Selon le même communiqué publié à Rome, l’organisation a précisé que le bilan aurait pu être beaucoup plus lourd si la plupart des salariés de l'organisation n'avaient été en formation hors de l'immeuble visé par l'attaque. Londres a aussi dénoncé, ce qu’elle appelle “une effroyable atrocité ". Le Conseil de sécurité de l'Organisation des nations unies a fermement condamné les attaques terroristes, perpétrés mardi à Alger, et appelé tous les Etats à coopérer avec l'Algérie dans la lutte antiterroriste, lit-on dans un communiqué rendu public mardi.

Selon la presse de l’Hexagone, Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, a dépêché l'administrateur du Programme des nations unies pour le développement (PNUD), Kamal Davis, à Alger, afin d’apporter son soutien aux victimes du double-attentat qui a ciblé, presque simultanément, le siège du Conseil constitutionnel et celui du HCR et du PNUD à Hydra. Dans une déclaration rapportée par la presse française, M. Ban Ki-moon, qui se trouvait hier à Bali à la conférence internationale sur le changement climatique, s'est dit "choqué" et en "colère" après les attentats d'Alger. Ban Ki-moon considère que ces attentats sont "injustifiables et indécents" et qui " ont fait au moins 11 morts parmi les employés de l'ONU ". "Les auteurs de ce crime n'échapperont pas à la plus forte condamnation" a-t-il promis.

En outre, il faut signaler qu’à Bali, les chefs d'Etat et de gouvernement présents à la tribune de la conférence ministérielle de l'ONU sur le changement climatique ainsi que les 130 ministres de l'Environnement qui participaient à cette rencontre ont observé, hier matin " une minute de silence à la mémoire des victimes des deux attentats d'Alger ", ont rapporté des agences de presse. " Cette attaque est une attaque contre nous tous et contre les idéaux qui nous tiennent à cœur ", a déclaré Rachmat Witoelar, ministre indonésien de l'Environnement et président de la conférence. Dans une déclaration, parvenue à notre rédaction M. Maxime Bernier, ministre canadien des Affaires étrangères, que le Canada " condamne avec fermeté les lâches attentats terroristes (…) qui visaient d’innocentes victimes, dont des étudiants et des employés des Nations unies ". La déclaration de M. Maxime Bernier ajoute qu’au nom des Canadiennes et des Canadiens, le ministre des Affaires étrangères du Canada, tient à offrir aux familles des victimes." Mes “plus sincères condoléances. Nos pensées les accompagnent en ces moments difficiles ". Plus loin, le chef de la diplomatie canadienne souligne que son pays " continuera d’appuyer les efforts des autorités algériennes pour combattre le terrorisme et ramener la paix en Algérie ".

Mohamed Mouloudj

- * Les deux Kamikazes identifiés ( l'un 30ans et l'autre 64ans ) du double attentats de Hydra et BenAknoun , Le GSPC revendique dans un communiqué publié sur un site internet .

L'autre il est vieux :shock: :shock: . :pleure: :pleure: .

Bouakase a écrit:- * Les deux Kamikazes identifiés ( l'un 30ans et l'autre 64ans ) du double attentats de Hydra et BenAknoun , Le GSPC revendique dans un communiqué publié sur un site internet .

tu peu me donne se site internaite

Bouakase a écrit:- * Les deux Kamikazes identifiés ( l'un 30ans et l'autre 64ans ) du double attentats de Hydra et BenAknoun , Le GSPC revendique dans un communiqué publié sur un site internet .

Yakhi wouhouche ... :evilvery:

Une jeune soeur à moi est enseignante juste à côté de l'endroit de l'explosion de Hydra; elle m'a raconté que lorsqu'ils ont entendu la première déflagration, un collègue à elle a dit que c'était une bombe, et en maligne qu'elle était, elle s'est mise à commenter que Hydra était l'endroit le plus sécurisé d'Alger quand çà a explosé à quelques mètres d'eux... Ils ont échappé mais ils ont vu l'horreur ...

Même le ministère des affaires religieuses, qui se trouve à 20 mètres, n'a pas été épargné; les carreaux ont volé en éclats ...

Cà ne peut être que l'oeuvre d'une secte de mutants ... et aucune pitié ne leur sera accordée dorénavant parce qu'ils l'ont bien cherché.