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Message par Benkad Dim 25 Nov - 22:18

ziko a écrit:
Non bien sur que non, mais comme on parle de chinois, je pense pas qu'ils aient du bon zit zitoun :gigi:

Ils font de la zit "Thaïwan" :D: :wink:
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Message par Frizoi Dim 25 Nov - 22:26

ziko a écrit: je pense pas qu'ils aient du bon zit zitoun :gigi:

On sais même pas l'exporté :P ,

Une usine qui voulait exporter le zitzitoune stbidounine n 5L en France!!!!!!!!!, alors que les français aiment bien les petits flacons ( tout beau tout mignon, ainsi que tout les européens d'ailleurs).
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Message par Benkad Dim 25 Nov - 23:07

PTIZOI a écrit:
On sais même pas l'exporté :P ,

Une usine qui voulait exporter le zitzitoune stbidounine n 5L en France!!!!!!!!!, alors que les français aiment bien les petits flacons ( tout beau tout mignon, ainsi que tout les européens d'ailleurs).

L'entreprise "Ifri olive" d'Ighzer Amokrane fait de très belles choses, question présentation; très réussies ...

En fait, il y a de l'olive dans tous les pays du bassin méditerranéen et dans d'autres pays où l'olivier à été planté par les "conquérants" ...
Ce qui change c'est la saveur et le parfum de l'huile d'olive suivant l'espèce, la terre, le climat, les méthodes de culture et de "huilerie" (pressing ...) ...
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Message par Frizoi Dim 25 Nov - 23:50

Benkad a écrit:
L'entreprise "Ifri olive" d'Ighzer Amokrane fait de très belles choses, question présentation; très réussies ...

En fait, il y a de l'olive dans tous les pays du bassin méditerranéen et dans d'autres pays où l'olivier à été planté par les "conquérants" ...
Ce qui change c'est la saveur et le parfum de l'huile d'olive suivant l'espèce, la terre, le climat, les méthodes de culture et de "huilerie" (pressing ...) ...

Oui, Actuellement, il ya de l'exportation d'huiles d'olives, mais après avoir donné une mauvaise image ( bidon de 5L), ils auraient pu toucher un plus grand nombre de consommateurs et donc avoir plus de benefices si ils n'avaient pas comi cette erreur ( les entreprise ça pardonne pas chére soeur, Teghlete tmoute)., la 1ére image de l'entreprise est très importante chère soeur, c'est pour ça qu'il faut toujours bien etudié le marché ainsi que le comportement du consommateur avant d'agir. :wink:.
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Message par Benkad Dim 25 Nov - 23:58

Le marché est très large et il n'y a pas que la France comme pays consommateur ... et des erreurs qui n'en fait pas? :eh: ... Qui sait, c'est peut être mieux ainsi parce que l'interieur du Pays n'est pas suffisamment couvert :ccomeça:
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Message par Frizoi Lun 26 Nov - 1:09

Benkad a écrit:Le marché est très large et il n'y a pas que la France comme pays consommateur ... et des erreurs qui n'en fait pas? :eh: ... Qui sait, c'est peut être mieux ainsi parce que l'interieur du Pays n'est pas suffisamment couvert :ccomeça:

:lol: :lol: . Makanch el kana3a 3end une entreprise qui voit loin.:wink: .

Hamoud Boualem est entrain de suivre les algeriens ou ils vont ( france, canada, Anglettre....) mais c'est pas suffisant. Attend de voir les investisseurs avec l'OMC et l'ouverture directe des marchès, Je suis sûr que les entreprises algeriennes n'ayant pas une vision stratègique a long terme Couuuuleront.

Yaw il n'ya que Sonatrach qui vien d'avoir cette prise de conscience. :lol: . et c'est pour ça qu'elle est entrain de se battre.

Elle veut rendre son statut d'entreprise de prestation de service en une entreprise a produit et elle veut créer des filiales en espagne pour redistribuer directement. ( c'est des milliards de Bénéfice ya m7aynek), vu qu'elle vend en algerie a des entreprises etrangéres avec un prix très bas et que ces memes entreprises le revende nettement plus cher a l'europe.

Donc elle ira la bas et elle vendra directement avec un prix plus elevé :up: .
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Message par massi Lun 26 Nov - 1:32

La Ligue a programmé la 15e journée pour... l’Aïd-el-Adha




La Ligue nationale de football, dans sa programmation au jour le jour du calendrier des journées de championnat au fur et à mesure que les dates des compétitions internationales se dévoilent, en arrive parfois à oublier des dates pourtant incontournables. Ainsi, dans sa dernière programmation, la LNF a désigné le jeudi 20 décembre 2007 pour la tenue de la 15e et dernière journée de la phase aller du championnat de la Division 1, alors que ce jour-là correspond au premier jour de l’Aïd-el-Adha. Comme quoi, à trop vouloir jongler avec les dates internationales et des desiderata des clubs, on en oublie même les fêtes nationales et religieuses. Bien sûr, la Ligue, une fois qu’elle se sera rendu compte de l’oubli, va reprogrammer la 15e journée pour une autre date.
le buteur
<table cellSpacing=0 cellPadding=0 width=467 border=0><tr><td class=texte style="TEXT-ALIGN: justify" vAlign=top width="100%">

</TD></TR></TABLE>

:mdr: :mdr:
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Message par Frizoi Lun 26 Nov - 1:52

Akkene akhir, comme ça, on pourra chanter Saha aidkoum et bonne année JSMB. :D:
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Message par ziko Lun 26 Nov - 10:54

PTIZOI a écrit:Akkene akhir, comme ça, on pourra chanter Saha aidkoum et bonne année JSMB. :D:
Mais non, on aurait chanter :
Y'al papiche y'al papiche! ouyana! w'chenoui kebche el aid :-)
Et juste aprés : saha aidkoum ya les rouges saha aidkoum :-)

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Message par Benkad Lun 26 Nov - 11:10

PTIZOI a écrit:...
Hamoud Boualem est entrain de suivre les algeriens ou ils vont ( france, canada, Anglettre....) ...

Yaw il n'ya que Sonatrach qui vien d'avoir cette prise de conscience. :lol: . ...
Elle veut rendre son statut d'entreprise de prestation de service en une entreprise a produit et elle veut créer des filiales en espagne pour redistribuer directement. ( c'est des milliards de Bénéfice ya m7aynek), vu qu'elle vend en algerie a des entreprises etrangéres avec un prix très bas et que ces memes entreprises le revende nettement plus cher a l'europe.

Donc elle ira la bas et elle vendra directement avec un prix plus elevé :up: .

Bonjour,

Sonatrach est une grande entreprise, ancienne et très riche; Elle peut se permettre le luxe d'aller vendre à ses clients directement chez eux. Elle n'a même pas besoin d'aller les chercher; c'est eux qui la courtisent.... Tant mieux qu'ils s'y mette malgré ce retard... mais, bien sûr, qu'il vaut mieux tard que jamais...

Pour Hamoud Boualem, c'est ( presque) pareil ... c'est une marque de prestige et de grande renommée; Elle peut, donc, (re)trouver facilement sa clientèle qui la préfère ( nettement) aux autres grandes marques auxquelles elle n'a absolument rien à envier.

Avec l'huile d'olive, c'est différent parce qu'il fut un temps où elle était "écrasée" même chez nous. Par le passé, la politique (régionaliste) du Pays associait, justement (et à tort d'ailleurs), ce magnifique produit à la Kabylie et elle a voulu le couler ...

Malgré tout le travail que cela nécéssite et toute la mobilisation de la population "productrice", le prix du litre d'huile d'olive est resté - pendant très longtemps- bien plus bas que celui de l'huile dite "sans goût" ... C'était une injustice (et une oppression) assez bien déguisée, mais Dieu merci les choses ont changé et l'huile d'olive s'est imposée dans le Pays ...

Il reste à la commercialiser dans les règles et de manière loyale et profitable en commençant par le marché intérieur. Cette précieuce huile dont la valeur nutritive est très grande devrait être consommée par tous. Il serait vraiment dommage que des Algériens, où qu'ils se trouvent, en soient privés ... c'est une affaire de santé publique avant tout.
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Message par Benkad Lun 26 Nov - 11:11

ziko a écrit:
PTIZOI a écrit:Akkene akhir, comme ça, on pourra chanter Saha aidkoum et bonne année JSMB. :D:
Mais non, on aurait chanter :
Y'al papiche y'al papiche! ouyana! w'chenoui kebche el aid :-)
Et juste aprés : saha aidkoum ya les rouges saha aidkoum :-)

:lol: :lol: :lol:
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Message par Frizoi Lun 26 Nov - 12:55

ziko a écrit:
Mais non, on aurait chanter :
Y'al papiche y'al papiche! ouyana! w'chenoui kebche el aid :-)
Et juste aprés : saha aidkoum ya les rouges saha aidkoum :-)

:P :P
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Message par boulevard boy Jeu 29 Nov - 13:20

PTIZOI a écrit:
ziko a écrit:
Mais non, on aurait chanter :
Y'al papiche y'al papiche! ouyana! w'chenoui kebche el aid :-)
Et juste aprés : saha aidkoum ya les rouges saha aidkoum :-)

:P :P

:mdr: :up: :ifri1:
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Message par boulevard boy Sam 1 Déc - 15:21

Après deux jours de tension entre alger et paris
Bouteflika et Sarkozy évitent l’incident diplomatique





Abdelaziz Bouteflika et Nicolas Sarkozy auront finalement réussi à avoir la hauteur de vue nécessaire pour désamorcer une crise coupant ainsi net l’élan de “pyromanes” qui se frottaient déjà les mains à l’idée de transformer une maladroite étincelle en véritable brasier.

Entre deux hommes d’État avertis du chemin de croix et qui ont surtout compris que tout le monde n’est pas forcément sur leur longueur d’onde, il n’était nullement question d’une franche explication, encore moins d’échange de mots aigres-doux, mais seulement d’une simple conversation téléphonique, le temps de régler leurs violons et remettre les chahuteurs à leur place. “Constitutionnellement, la politique extérieure relève du domaine réservé du président de la République et de ses plénipotentiaires dont le ministre des Affaires étrangères en particulier. Elle est conduite directement par le président ou ses services compétents dûment mandatés. En dehors des positions exprimées par ces autorités, toute déclaration ou spéculation n'engage que ses auteurs ou ceux qui les publient”, déclarait jeudi le président de la République, déniant ainsi toute attribution constitutionnelle au ministre des Moudjahidine, Chérif Abbas dans la sphère diplomatique. Bien plus qu’un recadrage, c’est un désaveu, lourd de reproches à un ministre de la République qui a oublié un moment ce que suppose comme devoir de réserve une haute fonction au sein de l’État.


Le premier magistrat du pays insistera en effet sur ce point en précisant : “Il n'est pas de nos traditions, ni dans notre interprétation du devoir de réserve qui incombe à tout responsable de l'État, de porter des jugements de valeurs sur des hommes d'États étrangers ou de nous immiscer dans la politique intérieure des autres États, notamment lorsqu'il s'agit d'un pays ami avec lequel nous entretenons des relations multiples de coopération confiantes et mutuellement bénéfiques.” Toutefois, Bouteflika ne prendra pas pour argent comptant ce qui avait été rapporté de manière tendancieuse par une certaine presse française qui a depuis longtemps affiché son désir de voir la visite de Nicolas Sarkozy en Algérie tourner court.
La nuance est de taille puisque le communiqué de la présidence, évoquant la conversation téléphonique qui a eu lieu jeudi entre les deux chefs d’État, mentionnera des déclarations “prêtées” au ministre algérien des Moudjahidine, accordant ainsi le bénéfice du doute à Chérif Abbas. Un bénéfice du doute supposé être partagé par Nicolas Sarkozy, du moins si l’on admet que les deux présidents avaient réussi à mettre à plat tous les points pouvant donner prise à un nouveau rebondissement de la polémique.
Libre donc à Chérif Abbas en tant qu’acteur de la Révolution algérienne d’avoir une opinion personnelle sur le lourd contentieux historique qui oppose l’Algérie à la France ou d’avoir des positions tranchées, mais pour le moment les propos du ministre des Moudjahidine “ne reflètent en rien la position de l'Algérie”, devait souligner le président Abdelaziz Bouteflika. “Le président français sera reçu en ami au cours de sa visite d'État en Algérie, visite essentielle pour les deux pays.” Sarkozy, qui doit se rendre dans notre pays du 3 au 5 décembre pour une deuxième visite officielle, répondra : “J’irai en ami en Algérie.” Tant pis pour les nostalgiques de l’Algérie française et tous ceux qui ont voulu souffler sur les braises. Si Bouteflika a remis un peu d’ordre de ce côté-ci de la mer, Sarkozy en a fait autant dans l’Hexagone.
À ceux qui souhaitaient une escalade, comme le socialiste Jean-Christophe Cambadelis ou encore le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale française Jean-Marc Ayrault, Nicolas Sarkozy répondait, ce jeudi sur TF1 : “L’incident est clos.”
Cambadelis n’a pas fait dans le détail en demandant l’annulation pure est simple du voyage présidentiel en Algérie. C’est carrément la surenchère dans le camp socialiste. “Il est peu probable que le général de Gaulle, François Mitterrand, voire Jacques Chirac eut passé outre de telles déclarations qui portent atteinte à l’autorité de la France”, déclarait Cambadelis.
Et Jean-Marc Ayrault de renchérir avec véhémence sur les ondes de RTL : “Nicolas Sarkozy ne peut pas aller à Alger sans obtenir avant des excuses.” “Il ne faut pas laisser passer ce genre de chose.”
Le Crif et certaines associations promptes à faire feu de tout bois ne seront pas en reste. “Les considérations de ce ministre sur l’origine juive du président ou de tel ou tel de ses ministres... témoignent de la résurgence des préjugés antisémites les plus nauséabonds.” À ce sujet, le président français avait sa petite idée et aurait pu avoir cette réflexion, dirions-nous, qui voudrait que Dieu le préserve de cette soudaine compassion que lui nourrissent socialistes et compagnie, quant à l’antisémitisme, l’islamophobie et toute forme de racisme, “il s’en charge”.
Autant dire que ni Nicolas Sarkozy ni Bouteflika n’entendent renoncer au réalisme qu’ils ont imprimé aux relations algéro-françaises puisque c’est d’un commun accord qu’ils ont renvoyé dos à dos ceux ceux qui veulent saborder “des relations multiples de coopération confiantes et mutuellement bénéfiques”. Comme l’a si bien dit le président français, “l’incident est clos”, il n’y a pas de quoi en faire un plat, d’autant plus que le ministre des Moudjahidine, Chérif Abbas, bien que plus maladroitement encore que lors de sa première sortie, s’est fendu d’un démenti qui prend un virage à 180 degrés. En effet, il s’est dit, “étonné et mécontent” qu’on lui ait attribué des propos antisémites. Mohamed Chérif Abbas expliquait mercredi dernier qu’il ne peut “assumer les spéculations irresponsables d’un quelconque journal sur un chef d’État ami", avant de préciser que dans l’entretien qu’il avait accordé au journal El Khabar ,“il n’a jamais été dans son intention d’enfreindre le principe que respectent tous les responsables algériens et que lui impose son obligation de réserve, celui de ne jamais porter atteinte à l’image d’un chef d’État étranger”. Abdelaziz Bouteflika est sûrement passé par là.

Zahir Benmostepha
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Message par Benkad Sam 1 Déc - 15:48

Salam,
Voici tout sur le (nouveau) contentieux algéro-français:

[["Chers amis,

Nous vous transmettons cet appel intitulé “France-Algérie : dépassons le contentieux historique”, paru dans “le Monde” d’aujourd’hui, daté du 1er décembre (il paraîtra, à la même date, dans le quotidien algérien
arabophone “Al Khabar”). Et nous vous recommandons vivement de le signer sur le site ldh-toulon.org

Il est signé par les personnalités qui avaient lancé le 31 octobre 2000 l’Appel des douze pour la reconnaissance par la France de la torture pratiquée durant la guerre d’Algérie : Henri Alleg, Josette Audin, Simone de Bollardière, Nicole Dreyfus, Noël Favrelière, Gisèle Halimi, et Alban Liechti. Il a reçu le soutien de nombreuses personnalités, tant françaises (Edgar Morin, Yvette Roudy, Françoise Seligmann, Jack Ralite, Yves Lacoste, Rony Brauman, Etienne Balibar, Lucette Valensi, Jean-Pierre Chrétien…), qu’algériennes (Wassyla Tamzali, Hocine Aït-Ahmed, Abdelhamid Mehri, Ali Haroun, Ali Yahya Abdennour…), et de personnalités qui estiment que le devenir – apaisé – des relations entre les deux pays est important (Mamadou Diouf, Pap Ndiaye, Fethi Benslama, Nadia Tazi, Sophie Bessis, Bachir Ben Barka…).

Au-delà de la critique des politiques mémorielles et des histoires officielles – aussi bien en France qu’en Algérie –, ce texte est une adresse « aux plus hautes autorités de la République française » pour « faire advenir une ère d’échanges et d’amitié entre les deux pays, et au-delà, entre la France et les pays indépendants issus de son ancien empire colonial ».

Il circule en Algérie comme France et a recueilli au 30 novembre 2007 les 165 signatures qui figurent ci-dessous, à la suite de l’appel.

Ont participé directement à sa rédaction, côté français, les historiens
Gilbert Meynier (professeur émérite, université Nancy II), Éric Savarese (maître de conférence en science politique, université de Perpignan Via Domitia), Raphaëlle Branche (maître de conférence, université Paris I), Jacques Frémeaux (professeur, université Paris I), Jean-Charles Jauffret (professeur, IEP d’Aix-en-Provence), Gilles Manceron, Sylvie Thénault (chargée de recherche, CNRS), Pierre Sorlin et Benjamin Stora (professeur à l’Inalco) ; côté algérien, les historiens Omar Carlier (professeur, université Paris VII), Ouarda Siari-Tenguour (université de Constantine), Malika Rahal (IHTP, Paris), Hassan Remaoun (CRASC, université Es Senia, Oran), Sadeq Benkada (CRASC, université Es Senia, Oran), Lemnouar Merouche et Mohammed Harbi (professeur émérite, université Paris VIII) ; avec le soutien de Tewfik Allal (président de l’Association du Manifeste des libertés), Brigitte Bardet-Allal (professeur de lettres), Charles Silvestre (journaliste à “l’Humanité”, initiateur de l’Appel des douze) et François Gèze (éditeur).

La liste des 165 premiers signataires et d’autres informations sur cet appel sont accessibles sur le site internet ldh-toulon.org
Contacts : france.algerie@mailfr.com
Tewfik Allal : 06 81 60 65 43 – 01 45 40 62 62
Gilles Manceron : 06 12 31 50 75
Eric Savarèse : 06 20 45 32 17


France-Algérie :
dépassons le contentieux historique

Le voyage à Alger de Sarkozy doit être l’occasion de faire face au passé et de penser l’avenir.

Le passé colonial ne cesse de resurgir, faisant obstacle à des relations apaisées entre la France et les pays qu’elle a autrefois colonisés. Dans ce passé, l’Algérie a une place particulière, en raison des drames qui s’y sont déroulés. Aujourd’hui encore, trop souvent, l’évocation de la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962) est soumise à la concurrence des victimes, avec leurs souffrances et leurs mémoires, alors que l’ensemble des citoyennes et citoyens des deux rives de la Méditerranée aspirent à passer à autre chose. Mais pour construire un avenir de partage, il faut, au présent, voir en face le passé.

L’histoire apprend, au premier chef, que le système colonial, en contradiction avec les principes affichés par la République française, a entraîné des massacres de centaines de milliers d’Algériens ; et qu’il les a dépossédés, « clochardisés » – pour reprendre le terme de l’ethnologue Germaine Tillion – à une grande échelle, exclus de la citoyenneté, soumis au Code de l’indigénat, et sous-éduqués, au déni des lois en vigueur. Elle nous apprend aussi qu’il y eut de multiples souffrances de Français, parfois déportés en Algérie pour raisons politiques, ou embrigadés dans les guerres coloniales, ou encore pris dans un système dont ils sont devenus, à son effondrement, les victimes expiatoires – comme l’ont été les harkis, enrôlés dans un guêpier qu’ils ne maîtrisaient pas –, sans compter ceux qui ont soutenu l’indépendance algérienne et qui en ont payé le prix.

Quelles qu’aient été les responsabilités de la société, c’est bien la puissance publique française qui, de la Restauration en 1830 à la Ve République en 1962, a conduit les politiques coloniales à l’origine de ces drames. Sans omettre la complexité des phénomènes historiques considérés, c’est bien la France qui a envahi l’Algérie en 1830, puis l’a occupée et dominée, et non l’inverse : c’est bien le principe des conquêtes et des dominations coloniales qui est en cause.

En même temps, nous sommes attentifs aux pièges des nationalismes et autres communautarismes qui instrumentalisent ce passé. Ainsi qu’aux pièges d’une histoire officielle qui utilise les mémoires meurtries à des fins
de pouvoir, figeant pour l’éternité la France en puissance coloniale et l’Algérie en pays colonisé. Et c’est précisément pour les déjouer – comme pour déjouer les multiples formes de retour du refoulé – que nous voulons que la souffrance de toutes les victimes soit reconnue, et qu’on se tourne enfin vers l’avenir.

Cela peut être accompli, non par des entreprises mémorielles unilatérales privilégiant une catégorie de victimes, mais par un travail historique rigoureux, conçu notamment en partenariat franco-algérien. Plus fondamentalement, dépasser le contentieux franco-algérien implique une décision politique, qui ne peut relever du terme religieux de « repentance ». Et des « excuses officielles » seraient dérisoires. Nous demandons donc aux plus hautes autorités de la République française de reconnaître
publiquement l’implication première et essentielle de la France dans les traumatismes engendrés par la colonisation en Algérie. Une reconnaissance nécessaire pour faire advenir une ère d’échanges et de
dialogue entre les deux rives, et, au-delà, entre la France et les nations indépendantes issues de son ancien empire colonial.


Liste des 165 premiers signataires au 30/11/07 :
Lahouari
Addi (sciologue), Hocine Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie), Zineb Ali-Benali (professeur de lettres), Tewfik Allal (syndicaliste, président de l’Association du Manifeste des libertés), Henri Alleg (directeur d’« Alger républicain »), Elisabeth Allès (anthropologue), Hélène d’Almeida-Topor (historienne), Salihka Amara (professeur de lettres-histoire), Linda Amiri (historienne), Josette Audin, Allassane Ba (juriste), Bertrand Badie (professeur IEP de Paris), Malika Bakhti (ingénieur), Etienne Balibar (philosophe), Brigitte Bardet-Allal (professeur de lettres), Sidi Mohamed Barkat (philosophe), François Becker (secrétaire général du Réseau européen Eglises et libertés), Yahia Belaskri (journaliste, écrivain), Bachir Ben Barka (Institut Mehdi Ben Barka-Mémoire vivante), Djamaledine Benchenouf (journaliste), Sadek Benkada (historien), Nouredine Benissad (avocat), Hamida Bensadia (responsable associative), Fethi Benslama (psychanalyste), Fatima Besnaci-Lancou (éditrice), Sophie Bessis (historienne, journaliste), Marie-Claude Blanc-Chaléard (historienne), Pierre Boilley (historien), Simone de Bollardière, Charles Bonn (professeur émérite Lyon-II), Raphaëlle Branche (historienne), Mostefa Bouchachi (avocat), Mourad Bourboune (écrivain), Khedidja Bourcart (maire adjointe de Paris), Saïd Bouziri (responsable associatif), Rony Brauman (médecin), Pierre Brocheux (historien), Omar Carlier (historien), Nadia Chaabane
(formatrice), Alice Cherki (psychanalyste), Catherine Choquet (universitaire), Jean-Pierre Chrétien (historien), Suzanne Citron (historienne), Elio Cohen-Boulakia (urbaniste), Catherine Coquery-Vidrovitch (historienne), Monique Crinon (sociologue), Ahmed
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Koutchoukali (Justitia Universalis), Yves Lacoste (géographe), Camille
Lacoste-Dujardin (anthropologue), Feriel Lalami (politologue), Mehdi
Lallaoui (réalisateur, président de l’association Au nom de la mémoire), Madjid Laribi (journaliste), Philippe Lavodrama (enseignant), Michel Laxenaire (responsable associatif), Philippe Lazar (directeur de la revue « Diasporiques »), Henri Leclerc (avocat, président d’honneur de la LDH), Gilles Lemaire (écologiste), Roland Leroy (membre honoraire du Parlement), Alban Liechti (association Cause anticoloniale), Françoise Lorcerie (politologue), Lotfi Madani (sociologue), Alain Mahé (anthropologue), Gilles Manceron (historien), Marc Mangenot (économiste-sociologue), Ngo Manh Lan (économiste), Gustave Massiah
(économiste), Claire Mauss-Copeaux (historienne), Abdelahamid Mehri
(ancien secrétaire général du parti FLN), Salima Mellah (journaliste,
Algeria-Watch), Rachid Mesli (avocat), Eric Mesnard (historien), Samia
Messaoudi (journalise, association Au nom de la mémoire), Fabienne
Messica (philosophe), Arezki Metref (écrivain, journaliste), Gilbert Meynier (historien), Nadir Moknèche (cinéaste), Edgar Morin (sociologue), Georges Morin (politologue, président de l’association Coup de soleil), Valérie Morin (historienne), François Nadiras (responsable du site LDH-Toulon.net), Pap Ndiaye (historien), Jean-Philippe Ould Aoudia (président de l’association « Marchand, Feraoun et leurs compagnons »), Paul Pandolfi (anthropologue), Zohra Perret (psychanaliste), Laure Pitti (historienne), Tramor Quemeneur (historien), Malika Rahal (historienne), Françoise Raison (historienne), Faranirana Rajaonah (historienne), Jack Ralite (ancien ministre), Hassan Remaoun (historien), Annie Rey-Goldzeiguer
(historienne), Yvette Roudy (ancienne ministre), Alain Ruscio (journaliste, historien), Noureddine Saadi (juriste, écrivain), Eric Savarese (politologue), Leïla Sebbar (écrivain), Françoise Seligmann (présidente d'honneur de la LDH), Brahim Senouci (universitaire), Ouarda Siari-Tengour (historienne), Charles Silvestre (initiateur de l’Appel des Douze du 31 octobre 2000), Mohammed Smida (juriste), Pierre Sorlin (historien), Benjamin Stora (historien), Kaoula Taleb-Ibrahimi (professeur de linguistique), Wassyla Tamzali (avocate, écrivain), Christiane Taubira (députée de Guyane), Nadia Tazi (philosophe), Jean-Claude Tchicaya (association Devoirs de mémoires), Emmanuel Terray (anthropologue), Sylvie Thénault (historienne). Michel Tubiana (avocat, président d’honneur de la LDH), Lucette Valensi (historienne), Michèle Villanueva (historienne), Georges Wajcs (président du Cercle Gaston-Crémieux), Ali Yahia-Abdenour (président d’honneur de la LADDH), Bernard Zimmermann (responsable associatif)."]]

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Message par poukipsi Sam 1 Déc - 21:40

pauvre algérie
je viens de découvrir ce que cherif a failli provoquer . un berger qui se retrouve dans un poste de responsabilité :sifle: :sifle:
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Message par Rastacool Sam 1 Déc - 22:17

Benkad a écrit:Salam,
Voici tout sur le (nouveau) contentieux algéro-français:

rs amis,

Nous vous transmettons cet appel intitulé “France-Algérie : dépassons le contentieux historique”, paru dans “le Monde” d’aujourd’hui, daté du 1er décembre (il paraîtra, à la même date, dans le quotidien algérien
arabophone “Al Khabar”). Et nous vous recommandons vivement de le signer sur le site ldh-toulon.org




[color=red]Liste des 165 premiers signataires au 30/11/07 :

Lahouari
Addi (sciologue), Hocine Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie), Zineb Ali-Benali (professeur de lettres), Tewfik Allal (syndicaliste, président de l’Association du Manifeste des libertés), Henri Alleg (directeur d’« Alger républicain »), Elisabeth Allès (anthropologue), Hélène d’Almeida-Topor (historienne), Salihka Amara (professeur de lettres-histoire), Linda Amiri (historienne), Josette Audin, Allassane Ba (juriste), Bertrand Badie (professeur IEP de Paris), Malika Bakhti (ingénieur), Etienne Balibar (philosophe), Brigitte Bardet-Allal (professeur de lettres), Sidi Mohamed Barkat (philosophe), François Becker (secrétaire général du Réseau européen Eglises et libertés), Yahia Belaskri (journaliste, écrivain), Bachir Ben Barka (Institut Mehdi Ben Barka-Mémoire vivante), Djamaledine Benchenouf (journaliste), Sadek Benkada (historien), Nouredine Benissad (avocat), Hamida Bensadia (responsable associative), Fethi Benslama (psychanalyste), Fatima Besnaci-Lancou (éditrice), Sophie Bessis (historienne, journaliste), Marie-Claude Blanc-Chaléard (historienne), Pierre Boilley (historien), Simone de Bollardière, Charles Bonn (professeur émérite Lyon-II), Raphaëlle Branche (historienne), Mostefa Bouchachi (avocat), Mourad Bourboune (écrivain), Khedidja Bourcart (maire adjointe de Paris), Saïd Bouziri (responsable associatif), Rony Brauman (médecin), Pierre Brocheux (historien), Omar Carlier (historien), Nadia Chaabane
(formatrice), Alice Cherki (psychanalyste), Catherine Choquet (universitaire), Jean-Pierre Chrétien (historien), Suzanne Citron (historienne), Elio Cohen-Boulakia (urbaniste), Catherine Coquery-Vidrovitch (historienne), Monique Crinon (sociologue), Ahmed
Dahmani (économiste), Jacky Dahomay (professeur de philosophie), Jocelyne Dakhlia (historienne), Kamel Daoud (chirurgien), François Della Sudda (professeur de lettres), Alain Desjardin, Kalidou Diallo (historien), Mamadou Diouf (historien), Karima Direche-Slimani (historienne), Habiba Djahnine (cinéaste), Ahmed Djouder (éditeur), Jean-Pierre Dozon (anthropologue), Nicole Dreyfus (avocate), Jean-Pierre Dubois (juriste, président de la LDH), Nassera Dutour (Association des familles de disparus en Algérie), Ali El-Baz (Association des travailleurs maghrébins en France), Driss El-Yazami (journaliste, secrétaire général de la FIDH), Armelle Enders (historienne), Jean-Luc Einaudi (écrivain, journaliste), Nabile Farès (psychanalyste), Noël Favrelière, Jean-Jacques de Felice (avocat), Guy Fischer (sénateur), Jacques Frémeaux (professeur d’histoire), Yvan Gastaut (historien), Jean-François Gavoury (président de l’Association des victimes de l’OAS), François Gèze (éditeur), Laurent Giovannoni (secrétaire général de la Cimade), Bachir Hadjadj (écrivain), Mimouna Hadjam (présidente d’Africa 93), Sadek Hadjeres (responsable politique, Algérie), Gisèle Halimi (avocate), Abdelhafid Hammouche (sociologue), Mohammed Harbi (historien), Ali Haroun (ancien ministre, Algérie), Eric Hazan (éditeur, écrivain), Daniel Hémery (historien), Ahmed Henni (économiste), Jean-Robert Henry (juriste), Ghazi Hidouci (économiste), Badié Hima (philosophe), Hacène Hirèche (universitaire), Catherine Hodeir (historienne), Jacques Inrep (psychanalyste), Jean-Charles Jauffret (historien), Dominique Juhé-Beaulaton (historienne), Nadia Kaci (actrice), M'Hamed Kaki (responsable associatif), Anouar
Koutchoukali (Justitia Universalis), Yves Lacoste (géographe), Camille
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Message par boulevard boy Dim 2 Déc - 13:57

pour quoi "Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie)" en gras Badri ? :eh:
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Message par Rastacool Dim 2 Déc - 14:02

boulevard boy a écrit:pour quoi "Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie)" en gras Badri ? :eh:

Akka , alors que son parti es entrain de sombrer dans uen crise interne , il trouve le temps de signer des petition !! :-) :-)
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Message par boulevard boy Dim 2 Déc - 21:34

Rastacool a écrit:
boulevard boy a écrit:pour quoi "Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie)" en gras Badri ? :eh:

Akka , alors que son parti es entrain de sombrer dans uen crise interne , il trouve le temps de signer des petition !! :-) :-)

c'est une pétition Anti Bouteflika, et Da l'Hocine en a l'Habitude :wink:
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Message par Benkad Ven 7 Déc - 0:05

Rastacool a écrit:
boulevard boy a écrit:pour quoi "Aït-Ahmed (président du FFS, Algérie)" en gras Badri ? :eh:

Akka , alors que son parti est en train de sombrer dans une crise interne , il trouve le temps de signer des petition !! :-) :-)

Mon parti ( :-)) n'est pas en train de sombrer mais j'ai signé le contentieux aussi, en rentrant dans le site: www.ldh-toulon.org
:-) :-)
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Message par massi Ven 15 Fév - 14:13

BÉJAÏA
Flagrant délit de corruption
Un fonctionnaire de la Dlep de Béjaïa S.M., a été arrêté, hier, en flagrant délit de corruption par les éléments de la police judiciaire de Béjaïa. C’est un citoyen, entrepreneur de son état, qui est à l’origine de cette arrestation. En se présentant hier matin aux guichets de la Direction du logement et de l’équipement public (Dlep), afin de débloquer sa situation comptable qui traîne depuis des mois, il tombe sur un fonctionnaire chargé de la comptabilité, qui lui exige une somme de 20.000DA en contrepartie du service rendu. Faisant mine d’accepter, l’entrepreneur saisit, immédiatement, la police judiciaire qui, suivant la procédure habituelle, a procédé à l’arrestation du fonctionnaire corrompu, la main dans le sac. Il a été immédiatement placé sous mandat de dépôt.
Des pratiques semblables sont légion dans les institutions de la République à Béjaïa et à travers tout le pays. Très rares sont les citoyens victimes qui osent se plaindre de tels agissements, puisque se contentant, en général, de subir dans le silence le diktat des fonctionnaires véreux.
Mais il se trouve toujours des citoyens, en parfaits connaisseurs de leurs droits pour dénoncer de pareils dépassements. C’est le deuxième cas de saisine de la police judiciaire porté à la connaissance du public. On se rappelle l’affaire du douanier corrompu au port de Béjaïa, également arrêté en flagrant délit d’encaissement d’une somme exigée pour le dédouanement d’une marchandise d’un importateur.
Depuis toujours, de simples citoyens ou opérateurs économiques se plaignent de la lourdeur de l’administration. Des cas de paiement de situation de travaux réalisés traînent dans les tiroirs des fonctionnaires qui temporisent au maximum pour lasser leurs victimes avant de leur exiger un pot-de-vin. Beaucoup se sont adaptés aux exigences des fonctionnaires corrompus. Sur le terrain, le gain facile s’affiche chez les fonctionnaires à travers des signes extérieurs qui sont loin de coller à leurs réalités sociales. Du véhicule flambant neuf à l’appartement et autres signes qui ne trompent pas sur l’activité sous le manteau. Dans la rue, ils sont souvent montrés du doigt et désignés comme des «corrompus», notoirement connus. Faute de preuve, ils n’ont jamais été inquiétés. De temps à autre, des citoyens osent ainsi passer à l’action cassant ainsi un tabou.
Ce qui ne manquera pas d’inciter les autres à l’action de dénonciation et à réduire un tant soit peu la corruption qui gangrène nos institutions.

Arezki SLIMANI
l'expression

Enfin il est entre les mains de service de sécurité
Je connais ce type d’ailleurs on se parle pas puisque je me suis bagarré avec lui il me cherche les problèmes c’est parce que il n’a pas reçu une tchipa de moi, je l’ai vu même avec mes propres yeux entrain de recevoir une tichipa par un entrepreneur , croyez moi il n’est pas le seul
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Message par massi Sam 19 Avr - 1:44

Serrar au sujet du président de la LNF
Ali Malek se prend pour Rambo
Le refus de reporter le match ESS-JSK a fait réagir vertement le président de l’Entente.
Serrar n’a pas été tendre avec Ali Malek qu’il juge responsable de tous les déboires de son club.

Le président de l’Entente de Sétif est hors de lui. Il n’a pas été tendre avec le président de la LNF, Ali Malek, qu’il juge comme principal responsable de tous les déboires de son club. Le refus du report du match ESS-JSK, prévu hier vendredi, a été la goutte qui fait déborder le vase.
À partir du Caire, Serrar n’a pas ménagé le patron de la LNF. “Je ne comprends pas cet acharnement contre mon club, et ce, au moment où nous représentons dignement les couleurs du pays en Ligue des champions arabes. La LNF n’est même pas administrée, sinon comment expliquer qu’on leur transmet plusieurs correspondances sans qu’on reçoive aucune réponse ? À partir de ce moment, j’ai compris qu’on a affaire à une instance désorganisée. Dans les ligues qui se respectent, un courrier doit impérativement recevoir une réponse, positive ou négative, l’essentiel est d’avoir une réponse, ce qui n’est pas le cas à la LNF. J’ai expliqué que jouer mardi soir pour rentrer le lendemain sur un vol qui dure quatre heures et disputer vendredi un match, c’est de l’insensé, on n’est pas des robots. Mais, Ali Malek ne veut rien entendre, il n’en fait qu’à sa tête. S’il veut nous faire descendre en DII, qu’il ait le courage de le faire, et on verra les conséquences. On n’a pas peur de cette sentence, la LNF aurait dû le faire avec le PAC qui ne s’est pas déplacé de Hydra au stade du 20-Août lors du match contre le MCEE, alors qu’elle ose maintenant s’attaquer à un prestigieux club algérien. S’il est courageux, il n’a qu’à nous enlever 10 points et pas quatre, comme ça il sera tranquille. Je souhaite qu’on soit éliminés de la Ligue des champions arabes pour lui faire plaisir. Je vais vous dire autre chose, Ali Malek n’a même pas le courage d’ouvrir son portable pour nous parler, malgré nos maintes tentatives de le joindre, les nombreux sms que je lui ai envoyé ne l’ont pas dérangé, il a préféré se cacher. Ce nouveau Rambo du football national veut nous casser, qu’il le fasse s’il a du courage. Ceux qui disent qu’il y avait des places dans le vol de mercredi n’ont qu’à aller travailler à Air Algérie. Nous avons des certificats médicaux attestant une intoxication alimentaire de plusieurs de nos joueurs. Les preuves sont là, mais la LNF ne veut pas nous écouter, elle le fait avec celui qu’elle veut”, nous dit-il dépité.

“Fera-t-il avec la JSK ce qu’il a fait avec l’ESS ?”
Et d’enchaîner : “Je viens d’apprendre que la JSK a demandé pour sa part le report du match contre le NAHD prévu ce lundi, on verra bien si Ali Malek ne va pas accéder au vœu de ce club ? J’attends avec impatience sa réponse sur cette demande de report, on verra bien s’il est sévère comme il le prétend en coulisses. J’assume pleinement mes responsabilités, ceux qui nous préconisent de jouer avec les juniors doivent balayer devant leur porte avant de nous donner des conseils. Je sais que le match n’a pas d’enjeu, mais c’est une question de principe, je ne veux pas qu’on nous traite comme un club de seconde zone.”

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Message par BouakaZ Sam 19 Avr - 6:42

- * :bravo: et Vive serrar ! :up:
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Message par massi Lun 12 Mai - 2:30

Université de Tizi-Ouzou
Découverte du corps d’un étudiant à Boukhalfa

B. Ahmed, 22 ans, étudiant en 2ème année à l’institut de droit à Boukhalfa a été découvert sans vie hier aux environs de 14h.

Le corps a été retrouvé au sous-sol d’un pavillon de la résidence, pendu à la conduite d’un chantier par une écharpe.

En état de décomposition avancée, sa mort pourrait remonter à deux ou trois jours.

Les services de la Protection civile, qui ont récupéré le corps, l’ont transféré au CHU Nedir-Mohammed pour déterminer les circonstances de la mort. Le défunt était originaire de Tizi-Ghénif.
DDK
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